Il est interdit de discriminer

Ou l’art subtil de l’antichristianisme

Il est interdit de n’accueillir que des chrétiens

Unknown-25Le tribunal administratif de Grenoble a annulé une délibération de la commune de Charvieu-Chavagneux (Isère) visant à accueillir des réfugiés du Moyen-Orient exclusivement chrétiens. Le tribunal a jugé, dans une décision du 16 mars 2017, que la mairie

« n’est pas fondée à soutenir que les chrétiens réfugiés en France se trouveraient dans une situation différente des autres réfugiés (…) ni que la différence de traitement entre réfugiés, résultant de la délibération attaquée, serait justifiée par l’intérêt général ».

La ville avait plaidé que les chrétiens d’Orient étaient la communauté la plus persécutée dans les pays du Moyen-Orient et qu’ils

« ne mettent pas en danger la sécurité d’autrui ; qu’ils n’attaquent pas les trains armés de Kalachnikov, qu’ils n’abattent pas des journalistes réunis au sein de leur rédaction et qu’ils ne procèdent pas à la décapitation de leur patron comme nous l’avons vu à quelques kilomètres de notre commune ».

Cette décision sur le fond intervient après une suspension en référé en novembre 2015, suite à un recours de la préfecture de l’Isère.

Début mars, la même mairie avait suspendu les cours d’arabe et de turc. Et le maire Gérard Dezempte a donné son parrainage à Marine Le Pen.Source Lesalonbeige

Il est interdit de discriminer

La décomposition de l’église qui est en France

L’Église en France : un état des lieux.
La majorité des diocèses français traversent depuis plusieurs décennies une crise d’une ampleur particulièrement inquiétante laissant deviner que plusieurs d’entre eux sont désormais en fin de vie : absence de vocations, effondrement de la pratique religieuse, enseignement catéchétique vidé de tout contenu, indifférence massive vis-à-vis de la foi, etc.
Ces symptômes sont ceux d’une pathologie qui comprend d’abord une crise spirituelle se manifestant à travers une complète décomposition de la vie liturgique, ensuite l’état d’abandon et de délabrement moral et humain d’une partie non négligeable du clergé et qui se répercute sur la vie chrétienne des fidèles.
Prenons d’abord la crise spirituelle.
Dans la quasi-totalité des diocèses français, la liturgie est proprement pulvérisée, défaite. En effet, malgré un unique Missel romain et l’interdiction faite aux célébrants de modifier les rites (cf. Vatican II et Missel romain), n’y a plus aujourd’hui deux messes célébrées de la même manière. Ici, le curé célèbre sans chasuble ; là, le célébrant remplace les rites constitutifs du sacrifice eucharistique par des pratiques sorties de son imagination ; alors que les églises servent de plus en plus de salles de concerts, on célèbre sous des chapiteaux de cirques, dans des salles de spectacle, dans des stands de fêtes foraines. Un peu partout, le mauvais goût, la désinvolture et l’indigence théologique règnent en maîtres dans les célébrations dont l’élaboration relève généralement des caprices et de l’arbitraire du célébrant ou d’une “équipe liturgique”. Quant aux chants qui ponctuent ces célébrations partout amputées, outre qu’ils n’ont aucun avenir et ne transmettent rien tellement leur pauvreté est évidente, ils n’ont généralement aucun rapport avec les textes sacrés du jour. Dans la plupart des paroisses, le chant grégorien est victime d’un ostracisme en totale contradiction avec les enseignements de la Constitution de Vatican II sur la liturgie dont on se réclame.
Comment justifier l’absence complète de réaction des autorités diocésaines face aux multiples abus, déformations et affadissements liturgiques qui ont cours à peu près partout ? Comment expliquer que des évêques “gardiens et promoteurs de la liturgie DE L’ÉGLISE” s’appliquent à célébrer eux-mêmes des messes totalement désordonnées ?
Il résulte de cette situation qui a été voulue et est entretenue que presque partout la liturgie est défigurée à un point tel qu’elle est complètement méconnaissable et vidée de son sens : les quelques fidèles qui n’ont pas encore abandonné toute pratique sont donc privés de la rencontre avec Dieu à travers l’expérience d’une liturgie digne, belle et pleinement conforme à ce que l’Église a établi.
Aujourd’hui, de très nombreux fidèles vivent un drame intérieur silencieux mais très profond : ils ont la foi et sont attachés à l’Église, mais souffrent de cette situation de décomposition liturgique dans laquelle sont irrémédiablement plongées les célébrations paroissiales. Beaucoup, qui ne savent même plus où aller à la messe le dimanche, ne souhaitent pas pour autant rejoindre les mouvements “traditionalistes” qui prônent un retour pur et simple à l’ancienne discipline liturgique ; ce qu’ils souhaitent, c’est de simplement pouvoir bénéficier, dans la sérénité, de la liturgie restaurée à la suite du Concile, célébrée dignement, dans un esprit de prière et un enracinement dans la grande Tradition spirituelle de l’Église.
Abordons maintenant la question de la situation morale du clergé et de ses répercussions sur la vie des fidèles.
On ne compte plus le nombre de prêtres qui sont moralement et psychiquement “au bout du rouleau”. Outre le fait que de nombreux prêtres sont laissés seuls sur le front de la sécularisation, ils sont à présent pris en otage par des équipes de “laïcs en responsabilité” qui leur imposent des orientations pastorales ne tenant aucunement compte des enseignements de l’Église. Abandonnés par leur hiérarchie, ces prêtres n’ont pas le soutien moral et humain dont ils auraient besoin pour assurer leur mission dans la sérénité qui réconforte.
Par ailleurs, si l’on en croit les témoignages de séminaristes ou de jeunes prêtres qui osent parler, il apparaît que la formation délivrée dans les séminaires en vue du sacerdoce soit souvent déficiente : on touche un peu à tout – même à ce qui est sans rapport direct avec le sacerdoce – sans jamais rien approfondir. Cet ensemble de signaux inquiétants conduit inévitablement dans un climat d’insécurité spirituelle dû à l’arbitraire doctrinal, liturgique et catéchétique qu’on constate dans la plupart des paroisses. Avec un clergé peu formé épaulé (ou entravé) par des “équipes d’animation pastorale” proprement incompétentes, il est fatiguant et déprimant pour les fidèles de se demander, quand ils envoient leurs enfants au catéchisme, si l’enseignement qui leur sera prodigué sera véritablement chrétien ou s’il ne sera pas qu’un salmigondis d’idées plus ou moins à la mode exprimées dans le cadre d’une séance de coloriage ; il est fatiguant et déprimant pour les fidèles de se demander, lorsqu’ils se rendent à la messe, s’ils ne vont pas perdre la foi au cours d’une célébration décousue parsemées de créations personnelles et de considérations verbeuses du célébrant ; il est fatiguant et déprimant pour les fidèles, lorsque l’un de leurs proches vient à décéder, d’avoir à se battre pour obtenir simplement la réconfortante liturgie des défunts telle qu’elle est reçue de l’Église, et non la célébration fade et morne habituellement proposée qui exprime tout… sauf la foi chrétienne touchant à la vie éternelle.
Face à cette situation créée par l’abandon que subissent les prêtres, l’attitude des fidèles est variable : à côté de ceux qui, souvent pour d’obscures, se complaisent dans la destruction de la vie ecclésiale, beaucoup d’entre eux, meurtris et spirituellement épuisés, cessent tout simplement de pratiquer ; d’autres – de moins en moins nombreux – persistent et supportent dans une sorte de résignation la désagrégation liturgique et spirituelle en cours en espérant des jours meilleurs qui tardent à venir ; d’autres enfin cherchent des solutions dans des communautés répondant à leurs goûts personnels, à leur sensibilité, à leurs choix de liturgie, ce qui comme le soulignait le Cardinal Ricard en 2006, ne saurait constituer l’Église du Christ.
Conclusion.
Si aucun effort de redressement pastoral, liturgique et catéchétique n’est très rapidement entrepris, alors dans 50 ans le catholicisme, réduit à quelques groupuscules, aura disparu du paysage français. [Mais cela fait déjà 50 ans que la destruction a commencé et par Paul VI le démolisseur principal de la Liturgie, ce qui reste désormais ce ne sont que des ruines et il ne faudra pas 50 autres années pour en venir à bout]
Face à cette situation d’une gravité inédite, les fidèles attendent de leurs évêques qu’ils n’apparaissent plus comme de simples “gestionnaires de crise” ou comme des créateurs de structures tournant à vide, mais qu’ils prennent des mesures courageuses et à la hauteur des enjeux de notre temps : des mesures qui, sans tomber dans aucun excès, rompent véritablement avec cinquante années de déconstruction méthodique de tous les aspects de la vie de l’Église.[Mais quelles mesures courageuses prendre quand on a apostasié la foi en renonçant au Règne Social du Chris-Roi, quand on se prostitue avec les fausses religions dans un œcuménisme pervers et que l’on est parfaitement soumis au dogme de la laïcité maçonnique obligatoire ?]

La décomposition de l’église qui est en France

La Tradition contre la subversion

En Inde

alencherry.jpgLe synode syro-malabar demande aux paroisses de continuer la pratique traditionnelle du jeudi saint, qui est de laver les pieds de 12 hommes ou garçons. Le cardinal George Alencherry, archevêque majeur de l’Église syro-malabare (photo), a publié et envoyé une circulaire en ce sens aux prêtres, religieux et responsables laïcs de son diocèse d’Ernakulam, et d’autres évêques ont fait de même.

Dans l’Église syro-malankar, on fait savoir qu’il n’y aura pas de circulaire de ce genre, car la tradition est que seuls les évêques pratiquent ce rite, que c’est seulement avec des hommes, et que les fidèles connaissent la tradition.

Selon le cardinal Alencherry, la Congrégation pour les Églises orientales aurait précisé que la modification du rite inventée puis imposée par François ne concerne que l’Église latine.

Le chef de l’Église syro-malabare précise que pour les Églises d’Orient (mais c’était le cas pour l’Église latine avant François, dont il se démarque ainsi ouvertement) ce rite du jeudi saint est un signe du sacrifice rédempteur du Christ sur la croix : le lavement des pieds n’est pas seulement un symbole d’humilité et d’égalité, mais un moyen de faire atteindre le mystère rédempteur à toute la race humaine. Il rappelle que le Christ a lavé les pieds de ses seuls 12 apôtres et leur a commandé de faire de même en sa mémoire. Source Y.Daoudal

Note de la rédaction : Il faut une singulière perte du sens de la foi pour penser qu’un pape puisse subvertir la Liturgie et réhabiliter Luther, ce qui n’a pas même provoqué de dubia de la part la plus haute de la hiérarchie, pour ne citer que ces faits. Il est vrai qu’après la révolution montinienne il ne reste plus grand chose à démolir.

La Tradition contre la subversion

L’invasion islamique

Aux dirigeants des États-membres de l’UE.

Le nouveau président du Parlement européen a annoncé que 20 millions d’immigrants provenant d’Afrique arriveraient bientôt en Europe. Cette vague migratoire se compose essentiellement de jeunes musulmans âgés de 18 à 35 ans. Si chacun d’eux fait ensuite venir son épouse, il y aura 20 millions d’entre eux en plus. Si cette famille n’avait ensuite que 3 enfants, par exemple – bien que les familles musulmanes aient une moyenne de 8 enfants -, l’Europe hébergera 100 millions d’Arabes et d’Africains dans un futur proche. De plus, l’influx des migrants, et pas seulement en provenance de l’Afrique, s’accroît de façon constante. Des « personnes qui essaient de ranimer la foi de l’Europe » et dont 70% sont complètement analphabètes, proviennent de l’Afghanistan. Les jeunes musulmans ne sont pas des réfugiés. En accord avec leur religion, leur programme est la guerre sainte (djihad) ! Chaque musulman est un soldat de l’Islam.

Ils veulent assujettir l’Europe à la loi de la charia. Ils sont amenés ici dans un but très clair ! Une bonne sécurité financière et de bons vêtements, ainsi que des instructions spécifiques sur la façon de procéder, indiquent un haut niveau d’organisation. Il y aura bientôt tellement d’immigrants djihadistes au sein de l’Union européenne, qu’ils n’auront même pas à attendre que leur nombre croisse par les naissances. S’ils parvenaient à avoir des armes, ils pourraient même à présent assujettir toute l’Europe. Les forces de police et les armées des États individuels n’interviennent pas contre eux, parce que les gouvernements sont secrètement subordonnés aux élites supranationales. Par exemple, en Allemagne, la simple publication des crimes commis par les islamistes est passible de cinq années d’emprisonnement ! Par contraste, leurs crimes ne sont ni investigués, ni punis !
Les architectes du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) qui ont ourdi un projet d’islamisation de l’Europe, sont aussi en train de travailler sur un projet de réduction de l’humanité jusqu’à un soi-disant milliard doré de personnes (et à présent, ils parlent même de seulement un demi-milliard de personnes). Récemment, ils ont inventé un nouveau virus fatal de la « grippe aviaire », ainsi que des micro-puces placées dans les vaccins et qui provoquent une stérilité totale. Cette méthode, à elle seule, devrait réduire la population de la planète de deux-tiers. Lorsque M. Gates a présenté son programme de dépopulation lors d’une conférence en Suisse, les participants l’ont applaudi avec enthousiasme.
Les architectes du N.O.M., via l’ONU, l’OMS ainsi que d’autres organismes supranationaux, et avec également les plus gros banquiers de la planète, ont imposé des conventions maléfiques et, en utilisant une terminologie positive, ont changé les législations dans le monde entier. Ceci a permis d’introduire un système de justice pour les mineurs qui vole les enfants à leurs propres parents ! Par conséquent, les familles en Europe redoutent même d’avoir un seul enfant ! Une éducation appropriée est désormais étiquetée comme étant une violence psychologique ou économique. Les enfants sont volés à leurs parents, et sont brisés psychologiquement et moralement. Ce sont des crimes contre l’humanité ! Cependant, le « pape » François ne montre aucune pitié envers ces victimes : il reste hypocritement silencieux. De plus, le système scolaire, qui débute dès le jardin d’enfants, détruit les enfants moralement et psychologiquement, et les transforme en une espèce de genre indéfini disposé aux perversions sexuelles, aux narcotiques et à l’euthanasie. Une guerre psychologique intensive pour l’extermination de l’Europe est en cours. François affirme hypocritement que les catholiques doivent éprouver de la pitié pour les occupants islamiques, ces soi-disant réfugiés, plutôt que pour les enfants volés. Il exige littéralement des « vertus héroïques » de la part des croyants! Malheureusement, ce n’est pas pour l’amour du Christ ni pour le salut des âmes, mais pour l’Antéchrist et le génocide du christianisme en Europe. Ceci est également la raison pour laquelle il promeut ouvertement la perversion du genre. Si, en temps de guerre, le pape Pie XII avait lavé et embrassé publiquement les pieds des agents de la Gestapo, cela aurait signifié qu’il eût pris sur lui-même et sur l’Église tous les crimes du fascisme. Aujourd’hui, François lave les pieds de transsexuels ! Par ce geste, il a rejeté la loi de Dieu, et a pleinement endossé et pris le blâme pour les processus auto-génocidaires maléfiques – et, par le fait même, pour l’Église catholique.
La malédiction spirituelle qui est en train de progresser en Europe aujourd’hui, trouve ses racines les plus profondes dans le Concile de Vatican II, et tout spécialement dans la déclaration Nostra Aetate. Cette Déclaration stipule de façon fourbe et hérétique que le Dieu Trinitaire des chrétiens est le même que le Dieu islamique de La Mecque qui dit dans le Coran que l’on doit couper les mains, les pieds et la tête des chrétiens. Cependant, les néo-modernistes hérétiques ont le même dieu que les bouddhistes, les hindous et les autres païens – parce qu’ils ont déchu de la foi et n’adorent plus le véritable Dieu. Ils croient être classés dans les rangs de ce que l’on appelle les grandes religions abrahamiques, avec les musulmans. A ceux qui disaient « Abraham est mon père », Jésus répondit « Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, parce que vous cherchez à Me tuer » (cf. Jn, 8:44). Aujourd’hui, les modernistes tuent les chrétiens spirituellement, et les adorateurs d’Allah tuent aussi les chrétiens physiquement.
Le fait que l’islamisation de l’Europe, visant à détruire le christianisme, ait été planifiée, est clair pour toute personne qui n’a pas encore perdu tout sens de la raison. Malheureusement, les catholiques, tel un troupeau aveugle, répètent les mantras pro-réfugiés de François concernant une pseudo-pitié suicidaire.
Le Concile de Vatican II n’ouvrit pas seulement les portes du paganisme, mais aussi des pratiques occultes qui y sont connectées (cf. Dt., 18:9). Lorsque la nation se détourna du vrai Dieu et embrassa l’adoration des idoles païennes, elle fut punie par des guerres et par la captivité à Babylone. L’Église postconciliaire, plutôt que d’avertir, a fait la promotion du néo-paganisme occulte et de ses prétendues pratiques de guérison et de méditation, telles que l’homéopathie, l’acupuncture, l’hypnose, le zen et les méditations liées au yoga… L’hypnose occulte a toujours été associée à la transe, et au démonisme païen. L’homéopathie occulte a pavé la voie à l’immoralité homosexuelle que l’Écriture appelle une abomination, et Dieu la punit par l’annihilation (cf. 2P. 2:6; Jud 7).
L’Église postconciliaire fut silencieuse concernant l’expansion de la musique occulte qui trouve ses racines dans le vaudou satanique. Le Vatican resta également silencieux à propos de Kinsey et de sa révolution sexuelle perverse. Le Vatican resta muet lorsque l’hindouisme fut popularisé par le yoga, les méditations du yoga et divers séminaires tenus par des gourous qui sont adorés comme des dieux. Le Vatican fut muet lorsque le bouddhisme fut popularisé via les arts martiaux, la méditation zen, et les enseignements bouddhistes. Tout ceci dut être toléré en droite ligne avec le Concile de Vatican II, et toute forme d’apologie – de défense de la foi – fut éliminée. Le Vatican resta silencieux à propos de la légalisation de l’homosexualité, ainsi qu’en ce qui concerne les programmes d’éducation sexuelle internationaux promus par l’ONU et qui enlèvent systématiquement la morale à la jeune génération. Lorsque les Nations Unies publièrent la Convention sur les Droits de l’Enfant, qui a déclenché le vol d’État des enfants à leurs familles ainsi que leurs abus sexuels et leur diabolisation psychologique, le Vatican, ses Papes et ses Cardinaux restèrent à nouveau silencieux. Même lorsque les parents affectés se tournèrent vers le Pape pour chercher de l’aide en plein désespoir, la réponse fut simplement un silence assourdissant. De plus, le Vatican couvrit les scandales pédophiles parmi ses propres prêtres, et il intimida et punit les victimes plutôt que les coupables. Le Vatican resta même muet concernant les conventions, recommandations et résolutions qui abolirent le Décalogue et la Loi de Dieu, et qui établirent des anti-lois. Le Vatican fut silencieux lorsque Traité de Lisbonne suicidaire fut adopté, traité qui établissait l’homosexualité en tant que priorité.
A présent, cependant, le Vatican n’est plus muet ! François promeut activement l’homosexualité et l’islamisation dans le but de détruire le christianisme ! La malédiction de Dieu, selon Galates 1:8-9, tomba sur l’ensemble de l’Église catholique dès le 1er mai 2011, jour de la béatification de Jean-Paul II. Tous ceux qui sont en unité avec les dirigeants hérétiques du Vatican, sont sous un anathème.
Il n’y a qu’une seule chose que le Vatican refuse de faire : le véritable repentir. Il refuse d’appeler la vérité la vérité, un mensonge un mensonge, et l’hérésie une hérésie.
Sous l’influence de l’aggiornamento de Vatican II, les catholiques se sont éloignés depuis longtemps du Christ vivant. Ils n’auront aucun problème à devenir musulmans si Vatican II a déclaré que nous avons le même dieu : Allah.
Humainement parlant, il n’y a pas de solution. Tout est entre les mains de ceux dont le but est l’enfer sur Terre, et l’enfer pour l’éternité. Mais rien ne sera impossible à Dieu ! Si l’Église, dans les pays individuels, commence à montrer un véritable repentir, et si l’on découvre des héros qui acceptent même de sacrifier leur vie par amour du Christ et de la nation, Dieu peut sauver le christianisme en Europe ! Puissent les missionnaires constituer un exemple pour nous en cette époque. Ils étaient même prêts à sacrifier leur vie pour l’amour du Christ et de l’Évangile, et beaucoup l’ont fait. Ils …

L’invasion islamique

La propagande par la beauté

Quand Staline voulait un métro aussi beau que nos cathédrales

… Alors que les catholiques, de leur côté, construisaient des églises laides comme des casernes communistes.

Pouvez-vous imaginer le camarade Staline assister à la messe ? Ca m’est pourtant arrivé dans l’un de ces églises à « l’architecture » contemporaine (et j’emploie les guillemets à dessein, le nom de cet art étant abusif dans le cas présent) dans une débauche de béton armé apparent, d’aluminium, de verre, de tubes néon, de mobilier abstrait avec, sur le toit, une cloche juchée sur un pylône industriel en fer. Tout cela au nom d’un paupérisme démagogique, d’une « Eglise des pauvres » fleurant bon les années septante.  Vous avez certainement en tête l’un ou l’autre exemple d’une de ces horreurs, ce qui vous permettra de mieux comprendre ce dont je parle.

Pendant la célébration de la messe, une malicieuse distraction m’a fait penser au métro de Moscou. De tous les métros du monde, celui-ci présente une particularité unique : alors que partout ailleurs on ne se préoccupe que de l’aspect fonctionnel des choses avec des stations purement utilitaires, il n’en va pas de même pour la capitale russe.  Ici, chaque station – elles sont toutes différentes – est un véritable festival de colonnes, de chapiteaux, de mosaïques, de peintures murales, de stucs, de statues en marbre et en bronze, de lustres gigantesques en métal précieux, de plafonds recouverts de fresques et de vitraux.  Ce n’est pas un hasard si ces lieux sont protégés en tant que patrimoine national.  Quand on y entre, on n’a pas l’impression d’être dans une station de transport public mais plutôt dans une fastueuse cathédrale souterraine.

Je veux un métro si majestueux qu’il étonne et fascine tous ses usagers

moscow-metro1Et c’est exactement le résultat que voulait obtenir Staline quand, à l’aube des années trente, il convoqua les meilleurs architectes du régime pour leur tenir un discours dont la teneur nous est parvenue grâce à des documents de l’époque qui étaient jusqu’il y a peu enfouis dans des archives inaccessibles qui, depuis la chute humiliante de l’empire soviétique, sont consultables par les chercheurs. Le despote déclara donc, en substance, à ses architectes : «  toutes les grandes villes du capitalisme ont leur réseau de métro.  Il est temps que la capitale des Soviets ait le sien.  Cependant, moi j’en veux un très spécial dans lequel chaque station soit, sans qu’on regarde à la dépense, si majestueuse qu’elle étonne et fascine tous les usagers.  Je ne veux pas seulement qu’il s’agisse d’un chef d’œuvre d’ingénierie mais bien d’un chef d’œuvre artistique d’un faste tel qu’il laisse les gens pantois ».

769336_originalComme on le sait, obéir sans discuter avec un zèle servile était le seul moyen de sauver sa peau quand il s’agissait de lui et de ses féroces forces de police secrètes. Aucun des architectes convoqués n’osa donc piper mot mais le dictateur, dans un élan de condescendance magnanime, accepta toutefois d’apporter une réponse aux questions qu’il lisait sur le visage interloqué de ses auditeurs.  Voici ses explications : « Je sais qu’au fond de vous, vous vous demandez pourquoi je vous ordonne de multiplier le coût des travaux, non seulement par les décorations et les œuvres d’art mais également par la taille des gigantesques excavations.  En fait, je veux que chaque station soit aussi vaste qu’une cathédrale.  Voilà à quoi je pense : aux cathédrales.

Je veux que les ouvriers puissent jouir d’une beauté qui compense celle qu’ils ont perdue

Comme vous le savez, nous avons arraché les peuples de l’Union Soviétique aux superstitions religieuses, nous avons fermé ou détruit toutes les églises, nous avons remisé les icônes dans des dépôts des musées, fondu les cloches, transformé l’or des objets du culte en pièces de monnaie. Mais je sais que les travailleurs sont nostalgiques de l’époque où, au moins une fois par semaine, ils pouvaient quitter la laideur de leurs maisons pour la splendeur des églises, et que, pendant de longues liturgies, ils pouvaient être entourés par la beauté, un peu comme des rois dans leur palais.

1Et bien voilà : je veux répondre à cette nostalgie, je veux l’affronter en permettant aux ouvrier de jouir, deux fois par jour, d’une beauté qui compense celle qu’ils ont perdue. Aller et revenir du travail leur semblera pareil à la fréquentation des plus belles cathédrales que nous avons fait fermer ou abattre.  Même le nouvel homme nouveau communiste a besoin de beauté et nous la lui offrirons non pas dans ces églises anachroniques mais dans les sous-sols de Moscou, dans les stations de métro de la capitale du communisme mondial ».

Staline, comme on le sait, a longtemps été séminariste de l’Eglise orthodoxe de Géorgie, il connaissait donc son affaire et il savait bien – à la différence de ces catholiques « socialement engagés » d’il y a quelques décennies qui l’avaient oublié – que les pauvres ne se sont jamais scandalisés, à aucune époque et en aucun lieu, de la richesse, voire du faste des églises mais qu’ils l’ont toujours considéré comme un de leurs droits. Le droit de profiter eux aussi d’une beauté qui ne soit pas réservée aux privilégiés de ce monde mais qui soit ouverte à tous ; le droit, au moins une fois par semaine, de se sentir entouré d’œuvres d’art et d’objets précieux.

Aujourd’hui l’État ne détruit plus les belles églises mais on en construit des horribles

Aujourd’hui, en revanche, voici la situation dans laquelle nous nous trouvons : l’Etat ne démolit plus les églises mais, dans les banlieues, les évêques, les prêtres et les religieux en construisent parfois de nouvelles. Enfantant, dans la majorité des cas, l’une de ces horreurs repoussantes que nous connaissons bien, où la beauté est absente non seulement à cause de l’incompétence des architectes et du manque de vrais artistes (il y a aussi un peu de cela) mais aussi, trop souvent, par choix délibéré, par obéissance à une certaine idéologie cléricale.

Sous Staline, les russes avaient au moins la consolation des stations-cathédrales alors qu’aujourd’hui il ne nous reste, en guise de temples, que des « lieux de dialogue, de débat, de socialisation ». Des fonctions pour lesquelles on peut se contenter d’un hangar, d’un cabanon ou d’une pièce nue.

D’après un article de Vittorio Messori publié en italien sur Vivaio en décembre 2014.

La propagande par la beauté

Le retour au réel ?

Arizona : le retour de l’or et de l’argent

Lu dans Les 4 Vérités :

« […] Le 9 mars dernier, le sénat de l’Arizona a adopté une loi donnant (ou plutôt redonnant) cours légal à l’or et à l’argent. Concrètement, cela signifie que l’or et l’argent redeviennent des monnaies – concurrentes du dollar. Or, tout le monde sait que le dollar et l’euro sont, en réalité, des fausses monnaies. Non pas au sens où elles seraient illégales, mais au sens où les États et les banques centrales manipulent leur valeur à l’envi. Par conséquent, reconnaître la valeur monétaire des métaux précieux est littéralement révolutionnaire : cela permet aux citoyens de se protéger contre les manipulations monétaires de leurs dirigeants. Selon toute vraisemblance, cela va soit chasser le dollar, soit, plus vraisemblablement, forcer ce dernier à flotter réellement sans manipulation. Accepter l’or comme monnaie interdit, en effet, l’usage de la planche à billets : si la Fed s’y aventure, tous les citoyens de l’Arizona vont se ruer vers l’or, si j’ose dire, et abandonner le dollar.

L’intérêt de cette décision, c’est qu’elle « risque » d’être contagieuse. Si un État accepte l’or comme monnaie, tôt ou tard, tous les États des États-Unis seront contraints d’en faire autant. Et, tôt ou tard, tous les pays seront contraints d’en faire autant. Mais c’est une bienheureuse contrainte. C’est – osons le paradoxe – une contrainte libératrice, car elle libère les agents économiques de la menace permanente de la manipulation étatique. Alors que l’or peut faire voler en éclats le monopole des banques centrales. Par ailleurs, le retour de l’or comme monnaie légale supprime aussi l’avantage indu du dollar comme principale monnaie d’échange – en particulier pour les matières premières – et donc la possibilité pour les États-Unis de faire payer leur planche à billets aux autres pays. Cela coupe aussi toute possibilité de faire valoir l’extraterritorialité du droit américain, plaçant de facto toute personne commerçant en dollar sous la loi américaine. […] »

Le retour au réel ?

La désertion des églises Montréal 1966

La désertion des églises (1966)
Gilles Proulx

En 1966, le pire cauchemar que pouvaient faire les sieurs de Maisonneuve et Jeanne Mance se réalise: Montréal perd la foi. Pas tous les Montréalais, bien sûr. Mais les églises se vident. Tout le monde en parle. Personne n’a d’explication.

Si je cite l’année 1966, c’est pour faire écho au chef-d’œuvre de Denys Arcand, Les invasions barbares, où le personnage de prêtre joué par Gilles Pelletier explique à une acheteuse d’art que tout le monde était catholique, mais que, soudainement, très précisément pendant l’année 1966, les églises se sont vidées. Le cinéaste a-t-il choisi cette date parce que c’est l’année précédant l’Expo 67 et le discours du général de Gaulle?

En 1965, des prêtres québécois ont publié un livre intitulé L’Église s’en va chez le diable! Quelques années plus tôt, le concile Vatican II, censé moderniser l’Église, avait éradiqué ce qui était la lingua franca catholique: le latin... Et comme le disait si bien le chansonnier Georges Brassens: «Sans le latin, la messe nous emmerde.» Plus récemment, le film La passion d’Augustine a dépeint cette période charnière où le catholicisme a voulu se moderniser… et s’est évanoui.

Comment expliquer un tel délaissement ?

L’Église s’est elle-même privée de la magie de ses rites en les profanant, en quelque sorte, mais à cela s’est ajouté le fait que la télévision a fait soudainement irruption dans toutes les chaumières pour y rivaliser avec l’imaginaire religieux. Et ce, mieux que le cinéma parce qu’elle est plus routinière. Les gens se rencontraient pour se parler de leurs émissions préférées. Une nouvelle vie culturelle plus captivante est arrivée dans les foyers. La radio, aussi, a supplanté le parvis de l’église pour ce qui était de s’informer. Plus fondamentalement encore, certaines émissions de blabla, comme Madame X, animée par Reine Charrier sur les ondes de CKVL, ont carrément remplacé les confessionnaux! Du jour au lendemain, les pécheurs se confiaient publiquement sur les ondes et les animateurs remplaçaient les prêtres. Un certain Lucien «Frenchie» Jarraud, sur les ondes de CJMS, jouissait alors d’une telle confiance auprès des gens que son autorité morale l’emportait sur celle des hommes en soutane! Le groupe d’humoristes Les Cyniques cassait allégrement du sucre sur le dos des prélats, ce qui aurait été impensable quelques années plus tôt.

Les paroisses qui avaient chacune leur église et l’entretenaient jalousement ont perdu leur prépondérance. «C’est quoi, ça, une paroisse?» demandera un jeune Montréalais d’aujour­d’hui. Pourtant, ces lieux sacrés, dans lesquels nos aïeux se sont tellement investis, ont vu passer les naissances, les mariages et les morts. L’Église a battu la cadence de nos vies pendant plusieurs siècles.

Montréal a longtemps été appelée la Ville aux cent clochers… Deviendra-t-elle un jour la «ville aux cent mosquées»? Ça se pourrait… Mais chose certaine, alors que les fondateurs de Ville-Marie rêvaient d’une Jérusalem d’Amérique, le Montréal d’aujourd’hui s’apparente davantage à une nouvelle Babylone!
L’église Saint-Jean-Baptiste est aujour­d’hui davantage une salle de spectacle qu’un lieu de culte en raison de son acoustique extrao­rdinaire.

L’église Saint-Jean-Baptiste est aujourd’hui davantage une salle de spectacle qu’un lieu de culte en raison de son acoustique extraordinaire.
L’église de la Visitation, aussi appelée du Sault-au-Récollet, la plus ancienne de Montréal encore debout et qui date de la Nouvelle-France de 1749, n’a pas été épargnée par la désertion des fidèles.

L’église de la Visitation, aussi appelée du Sault-au-Récollet, la plus ancienne de Montréal encore debout et qui date de la Nouvelle-France de 1749, n’a pas été épargnée par la désertion des fidèles.

– Avec la collaboration de Louis-Philippe Messier
jdm

La désertion des églises Montréal 1966