LA THÈSE La question du Siège m’est indifférente


Conscients de la crise sans pareille qui meurtrit l’Église depuis longtemps, et constatant que parmi les bons, souvent, les querelles, les divisions et les diatribes interminables ont pour objet l’état du Siège pétrinien (et de toute la Hiérarchie ecclésiastique), en tant que docteurs privés (clercs et laïcs, théologiens, philosophes, canonistes, juristes et historiens), nous sommes tombés d’accord sur ce qui suit :

Qu’il existe une crise sans précédent au sein de l’Église, que cette crise voit l’authentique Tradition catholique submergée par des doctrines hétérodoxes (modernisme et néo-modernisme), que cette crise est une crise doctrinale, liturgique et morale, que cette crise implique le corps ecclésial (apprenant et enseignant) jusqu’au Siège romain, n’est pas à démontrer, mais seulement à constater ;

Que la crise, qui a aussi des racines anciennes, a connu son tournant au Concile Vatican II avec la prévalence d’une pensée non catholique dans la hiérarchie, jusqu’au Siège romain lui-même, n’est pas quelque chose à démontrer mais seulement à constater ;

Le fait que la nouvelle liturgie imposée par Paul VI représente une construction artificielle et une rupture objective avec la Tradition ininterrompue de l’Église et le Dogme catholique n’est pas quelque chose à démontrer mais seulement à constater ;

Il est du devoir de tout baptisé de persévérer dans la profession de foi baptismale, c’est-à-dire dans la foi de toujours, dans la Doctrine immuable reçue des Apôtres. Le devoir de tout baptisé est de vivre et de prier en conformité avec la sainte volonté de Dieu manifestée dans la Révélation divine (Sainte Écriture et Sainte Tradition) ;

Il est du devoir de chaque baptisé d’éviter tout ce qui peut être nuisible à son âme, tout ce qui peut représenter un danger pour l’intégrité de la foi ;

Devant l’ampleur et la gravité de la crise et jusqu’à sa résolution (condamnation et expulsion de l’Église de toute idée hétérodoxe, retour intégral à la Tradition dans la doctrine, la liturgie et les coutumes), c’est un devoir de prudence que de se méfier des hiérarques dominés par la pensée non-catholique, ainsi que des institutions ecclésiastiques qui se font l’instrument de la pensée non-catholique ;
Il est prudent de s’en tenir à ce qui est certain (
lex credendi, lex orandi et lex vivendi, comme on l’a toujours enseigné) et de suspendre l’assentiment à tout ce qui est douteux ;

Les fidèles, clercs ou laïcs, ne sont pas appelés à examiner chaque enseignement, chaque texte liturgique, chaque déclaration de la Hiérarchie pour vérifier s’ils sont ou non conformes au dépôt de la foi. Il faut plutôt adopter un critère prudentiel et « prophylactique » : si une pensée non catholique a infecté la hiérarchie jusqu’au Siège romain, il faut prudemment s’en tenir à ce qui a été enseigné avant la crise et suspendre l’assentiment à ce qui a été enseigné par la suite ;

La suspension de l’assentiment n’est pas un « libre examen » mais un devoir de prudence pour la préservation de la foi. La suspension de l’assentiment renvoie le jugement sur la doctrine (de la foi et/ou de la morale) et la lex orandi à l’autorité de l’Église. Lorsque la crise est surmontée et que la Hiérarchie est à nouveau certaine de l’orthodoxie de la foi, c’est l’Autorité légitime qui jugera ;

La crise peut être considérée comme surmontée lorsque la Hiérarchie (le Pape et l’unanimité morale des évêques) enseigne la même Doctrine que celle enseignée par l’Église sans interruption jusqu’au Concile Vatican II et que la lex orandi de la Tradition apostolique est rétablie ;

Compte tenu de l’implication du Siège romain lui-même dans la crise, il est légitime de s’interroger sur le statut du Siège pontifical. C’est une opinion légitime que celle de ceux qui considèrent Jorge Mario Bergoglio comme un vrai pape, bien que gravement hétérodoxe. C’est une opinion légitime que celle de ceux qui considèrent Jorge Mario Bergoglio comme un occupant illégitime du siège et/ou un antipape. C’est une opinion légitime de la part de ceux qui considèrent le Siège vacant. C’est une opinion légitime que celle de ceux qui considèrent que le Siège n’est que matériellement occupé. C’est l’opinion légitime de ceux qui lisent la crise du Siège romain avec la figure du Pape hérétique. C’est une opinion légitime que celle de ceux qui lisent la crise du Siège romain avec la figure du Pape schismatique. C’est aussi une opinion légitime que celle de ceux qui considèrent la coprésence de « deux Églises » derrière l’apparence d’une seule Église (dans l’Église postconciliaire, il y aurait à la fois la véritable Église du Christ, la Sainte Église catholique apostolique romaine, et une Néo-Église gnostique) avec le Pape au sommet des deux, de sorte que le Pape serait le Vicaire du Christ mais aussi le Chef d’une nouvelle foi, d’un nouveau culte, d’une nouvelle Église. C’est une opinion légitime de ceux qui considèrent les papes post-conciliaires comme de vrais papes, même s’ils sont marqués par une pensée non-catholique.

En ce qui concerne le point 11, il s’agit d’opinions mutuellement inconciliables, qui ne peuvent donc pas être toutes vraies, une seule pouvant être la vraie. Seule l’autorité suprême de l’Église peut juger laquelle est vraie. Tant que l’Autorité suprême de l’Église, une fois la crise résolue, n’a pas jugé, toutes restent de simples opinions, légitimes et contestables ;

Dans la mesure où il s’agit de simples opinions, aucune d’entre elles, bien que légitimement défendable, ne peut constituer un critère certain pour gérer la crise ;

Dans la mesure où seule l’Autorité suprême de l’Église est qualifiée pour juger de la question du Siège, développer/supporter l’une ou l’autre thèse sera inévitablement un exercice voué à la non-solution. La question du Siège est destinée à rester ouverte, non résolue jusqu’à la fin de la crise, jusqu’à un certain jugement de l’Autorité Suprême ;

La diversité des opinions sur le Siège ne peut jamais être un motif de division, puisqu’il s’agit d’opinions contestables et non de vérités certaines ;

Quelle que soit l’opinion sur le Siège, étant donné la crise établie (aussi bien du Siège romain que de toute la Hiérarchie), l’attitude prudentielle doit en tout cas être celle de suspendre l’assentiment, jusqu’à la fin de la crise.

Appelons cette thèse « sedemenefreghism » dans le double sens de :

« Je me fous » de la question de la Sede car elle est pour nous une question irrésolue et donc inutile à poser ;

« Je me fiche éperdument de ce qui émane du Siège dans la mesure où ceux qui y siègent (légitimement ou illégitimement, seulement matériellement ou aussi formellement, de facto ou de jure, c’est une question de litige) sont dominés par une pensée non catholique et ne doivent donc prudemment pas être écoutés.


Le groupe des neuf

Source Stilum Curiae Marco Tosatti

Note de la rédaction : Un catholique peut-il être indifférent à cette question fondamentale ? Certainement non, sans prétendre la résoudre, il est obligé, s’il veut conserver sa foi, de juger l’arbre à ses fruits, de omnia probaté quod bonum tenete, afin d’agir avec prudence et charité et surtout de prier avec ferveur le divin Maître afin que son Vicaire, ou celui qui en tient lieu, se conforme parfaitement à sa mission pour le salut des âmes et la gloire de la Sainte Église.

LA THÈSE La question du Siège m’est indifférente

Le premier président juif de l’histoire de l’Argentine ?

Il s’agit d’un type juif familier, le Nebbish.

Est-il possible pour les non-Juifs d’avoir leur mot à dire sur l’avenir de leur nation ?

Mike Adams – Javier Milei vient de condamner l’Argentine à l’effondrement financier en rejetant les BRICS et en adoptant le jeu du dollar.

Adams affirme que la CIA a truqué l’élection pour que l’Argentine quitte les BRICS et adopte le dollar, qui finira par tomber à zéro.

Sam
Bankman Melei–« J’envisage de me convertir au judaïsme et j’aspire à devenir le premier président juif de l’Argentine devenir le premier président juif de l’histoire de l’Argentine », a déclaré Milei
Milei a déclaré, selon la Radio Perfil d’Argentine.

Le président argentin nouvellement élu, Javier Milei, le mois dernier :

« Je ne vais pas à l’église, mais à la synagogue.
Je ne suis pas un prêtre, mais un rabbin.
J’apprends la Torah.
Je suis connu internationalement comme un ami d’Israël.
En plus de m’aligner sur les États-Unis et Israël, je veux déplacer notre ambassade à Jérusalem.
Si je gagne, mon premier voyage sera en Israël ».

Source Henry Makow

Le premier président juif de l’histoire de l’Argentine ?

Le franc-maçon qui travaillait pour le Bien commun

Cardinal Barbarin

@CardBarbarin

Gérard Collomb a été un très grand maire au service du Bien Commun à Lyon. 18 années de compagnonnage fécond à ses côtés. Que le Seigneur l’accueille dans Sa Paix. +PB

« Franc-maçon depuis 1989 et membre du Grand Orient de France, il ne cache pas son appartenance à la franc-maçonnerie »

L’ancien code de droit canonique ne se contentait pas de souligner cette incompatibilité, mais prévoyait une excommunication ipso-facto pour les contrevenants.

Le nouveau code a supprimé tout cela et la congrégation pour la doctrine de la foi n’a rétabli que l’incompatibilité, pas l’excommunication. Et l’actuel dicastère pour la doctrine de la foi fait de même.
Et cette réforme ne date pas du pape François, mais de
Jean-Paul II, le futur Benoît XVI étant à la congrégation pour le doctrine de la foi.

Can. 1374 – Qui s’inscrit à une association qui conspire contre l’Église sera puni d’une juste peine ; mais celui qui y joue un rôle actif ou qui la dirige sera puni d’interdit.

« Le jugement négatif de l’Église sur les associations maçonniques demeure donc inchangé, parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Église, et l’inscription à ces associations reste interdite par l’Église. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion.« 

Le cardinal travaillant pour le Bien commun :

Le franc-maçon qui travaillait pour le Bien commun

Recouronner le Roi des rois

« ..Dans la première Encyclique qu’au début de Notre Pontificat Nous adressions aux évêques du monde entier (Lettre encyclique Ubi arcano, 23 décembre 1922), Nous recherchions la cause intime des calamités contre lesquelles, sous Nos yeux, se débat, accablé, le genre humain.

Or, il Nous en souvient, Nous proclamions ouvertement deux choses : l’une, que ce débordement de maux sur l’univers provenait de ce que la plupart des hommes avaient écarté Jésus-Christ et sa loi très sainte des habitudes de leur vie individuelle aussi bien que de leur vie familiale et de leur vie publique ; l’autre, que jamais ne pourrait luire une ferme espérance de paix durable entre les peuples tant que les individus et les nations refuseraient de reconnaître et de proclamer la souveraineté de Notre Sauveur. C’est pourquoi, après avoir affirmé qu’il fallait chercher la paix du Christ par le règne du Christ, Nous avons déclaré Notre intention d’y travailler dans toute la mesure de Nos forces ; par le règne du Christ, disions-Nous, car, pour ramener et consolider la paix, Nous ne voyions pas de moyen plus efficace que de restaurer la souveraineté de Notre Seigneur.…. » S. S. PIE XI DU 11 DÉCEMBRE 1925

Le pays qui possède le mont Saint Michel, Notre-Dame de Paris, et un peu plus de quatre vingt six autres, la plupart sous le patronage de la Reine de France, qui possède la Sainte Chapelle, le reliquaire somptueux de la Couronne d’épines du Seigneur, et mille autres trésors que nos ancêtres nous ont transmis, doit cesser, pour son salut et la gloire du Roi des rois, de se vautrer dans l’apostasie, doit secouer le joug révolutionnaire maçonnique et respecter les promesses de son baptême afin de ne pas disparaître.

OPORTET ILLUM REGNARE

Hors de la Voie, de la Vérité et de la Vie il ne peut y avoir que l’impasse, la mort et le mensonge.

Recouronner le Roi des rois

Bio, mais pas que…..

La biodynamie : ses partisans y voient une approche plus respectueuse de la nature… mais d’autres pointent ses fondements ésotériques. Du point de vue catholique, que faut-il penser de la philosophie dont découle cette pratique, très à la mode auprès des viticulteurs ? Émission originale de RCF :

En effet, la biodynamie séduit de plus en plus de vignerons en France et le Maine-et-Loire n’y déroge pas. Installé en biologique à saint Aubin-de-Luigné (49), sur un domaine de 17 hectares, Charlotte et Thomas Carsin se sont lancé en biodynamie dès 2016. Charlotte se souvient avoir été « séduite par l’aspect très poétique de cette pratique » où la terre et les planètes ont une place importante. Où la nature forme un ensemble cohérent que l’homme doit veiller à préserver. « Je m’y suis formé » explique-t-elle.

« J’ai commencé à avoir des doutes lorsque j’ai posé des questions sur les recettes de cette pratique et qu’on m’a répondu que Rudolf Steiner, le créateur de la biodynamie, les avaient obtenues par clairvoyance ».

Une croyance d’ordre spirituel ésotérique

Malgré ces questionnements, le domaine sera certifié en biodynamie en 2018. C’est quelques mois plus tard, après avoir entendu sur RCF Anjou un matin, la chronique du Père Jean-Baptiste Edart, actuel doyen de la faculté de théologie de l’Université Catholique de l‘Ouest à Angers (49), que Charlotte et son mari découvriront les fondements occultes de la biodynamie et de son créateur, le philosophe et occultiste du début du siècle Rudolf Steiner. « Cet autrichien a fondé l’anthroposophie » nous détaille le Père Edart.

« Une doctrine qui est avant tout une croyance religieuse avec une vision particulière du monde. Le monde n‘aurait pas été créé. Dieu, ou du moins la divinité, serait immanent au monde et où le calendrier astral et zodiacal y prend une place importante. Il aurait eu ces révélations dans ce qu’il a appelé ces annales akashiques. Selon elles, le monde que nous connaitrions en est à sa 5ème version, après plusieurs cycles de destructions-reconstructions. Une vision spirituelle dont un certain nombre de choix ou de comportements mis en œuvre dans la production de produits biodynamiques sont directement dictés par ces croyances d’ordre spirituel ésotérique ».

C’est donc à partir de ces « révélations » que Rudolf Steiner a élaboré 8 préparations, appelées préparâts et numérotés de 500 à 507. « Les deux plus importantes sont la 500 et la 501 » explique Olivier Lecomte. Le vigneron de Passavant-sur-Layon (49), cultivant 57 hectares de vignes en biodynamie depuis 2007, préfère les acheter chez Biodynamie Services en Bourgogne.

« La 500, c’est de la bouse de vache enterrée dans une corne, enterrée à l’équinoxe et déterrée à l’équinoxe suivant. Nous récupérons un petit compost noir, une espèce de colloïde inodore, que nous dynamisons dans de l’eau de pluie chauffée à 37 degrés. Dynamiser consiste à brasser l’eau dans un récipient étroit jusqu’à ce qu’un vortex se forme pour ensuite tourner brutalement dans l’autre sens. C’est ce qu’on appelle créer un chaos. On fait ça pendant une heure, en extérieur, et selon certaines positions astrales.  Lorsque l’on fait tout cela, suivant les préceptes de Rudolf Steiner, on obtient des résultats plus profond dans la dégustation du vin »

assure cet adepte de la biodynamie qui, tout en constatant l’efficacité de cette pratique, confesse qu’il ne sait pas réellement comment sont fabriqués ces préparâts.

« Une pure croyance d’ordre religieuse qui n’a aucune valeur scientifique »

Les détracteurs de la biodynamie diront qu’elle ne repose sur aucun fondement scientifique. « Il est indéniable que notre monde est soumis à des rayonnements, à des magnétismes qui influent sur le vivant » rétorque Olivier Lecomte.

« Regardez la lune sur les marées… dans le temps, on savait bien qu’il fallait aller chez le coiffeur à telle position de la lune, qu’il fallait mieux couper du bois à certaines périodes afin que l’arbre repousse mieux… ».

Un argument qui ne tient pas selon le théologien Jean-Baptiste Edart :

« Que la lune ait un effet sur les marées non mais sur le développement de la nature, je peux le nier. Il existe des études, réalisées selon un protocole scientifique stricte par l’université de Nice, qui ne prouve absolument rien pour fonder une amélioration qualitative de la production agricole en fonction de la lune. De Saturne et des autres planètes, n‘en parlons même pas » assure l’enseignant-chercheur en démonologie. « Nous sommes là dans une pure croyance d’ordre religieuse qui n’a aucune valeur scientifique ».

Une approche spirituelle qui est d’ailleurs assumée officiellement par la coordination agrobiologique (CAB) des Pays-de-la-Loire. Dans une note interne datant de 2017 que nous nous sommes procuré, il est mentionné explicitement qu’il est nécessaire de travailler avec les « êtres élémentaires ». En leur demandant explicitement de « protéger les ceps de vignes du gel sans oublier de leur dire bonjour, s’il vous plait, au revoir et merci ». « Les êtres élémentaires sont aussi dans les machines » peut-on lire plus loin. « Si vous devez passer avec votre tracteur, demandez-lui de réchauffer la terre et les ceps ». Dernière précision importante :

« Je rappelle qu’il est impératif d’être respectueux de ces êtres et de ne pas le faire si on n’y croit pas ».

La biodynamie pose une question éthique

« J’ai pris conscience qu’il fallait que je fasse une démarche de foi en devenant biodynamiste » explique le vigneron Thomas Carsin, « et je n’étais pas prêt à le faire car ça rentrait frontalement en contradiction avec mon propre cheminement spirituel ». « Notre appui, c’est le Christ, c’est mon rocher » renchérit son épouse Charlotte, « et je ne vais pas faire appel à d‘autres formes spirituels, que je ne connais pas, qui pourraient intervenir dans nos vies ».

Consommer du vin biodynamique peut-il poser un problème éthique au catholique ? « Je ne conseillerai pas d’investir dans la biodynamie » répond le Père Edart.

« Maintenant, si on me propose lors d’un diner de boire un vin biodynamique, je le consommerai sans complexe. C’est un vin d’une grande qualité car avant d’être biodynamique, il a d’abord été élevé en biologique et pour lequel le vigneron a apporté beaucoup de soin. Je n’irai tout de même pas l’acheter par souci de ne pas financer les organismes de certification biodynamique. Des organismes dont je ne partage pas la philosophie et leur vision du monde ».

Source Le salon Beige

Note de la rédaction ; En temps de Chrétienté on faisait les rogations et on ne travaillait pas le dimanche, ce qui devrait suffire pour faire un bon nectar.

Bio, mais pas que…..

Contre le coup d’État de l’OMS

Déclaration de Mgr Viganò sur la cession de la souveraineté des États à l’OMSDans les prochains jours, les États membres de l’Organisation Mondiale de la Santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS, par lesquelles la souveraineté sur la santé des citoyens est cédée à un organisme supranational, financé en grande partie par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont adoptées à la majorité, l’OMS aura le pouvoir d’imposer exclusivement toutes les règles en cas de pandémie, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports vaccinaux. Il faut également noter que cette organisation bénéficie d’une immunité et que ses membres ne peuvent être jugés ou condamnés pour des crimes. Les technocrates non élus auront paradoxalement plus de pouvoir que les citoyens n’en donnent à leurs représentants par un vote démocratique.

Sachant que la cession de souveraineté constitue le crime de haute trahison dans toutes les législations nationales, et que les Parlements ne peuvent pas légiférer contre les intérêts de la nation, et encore moins concilier les libertés naturelles et les droits fondamentaux de leurs citoyens, Je pense qu’il n’échappe à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient aux différents États sert à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030 qui, dans le domaine de la santé, vise aussi fondamentalement la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation des systèmes de santé et la prévention des maladies par les vaccins.

La psychopandémie a démontré la soumission des gouvernants, des politiques, des médias, des magistrats, de l’ensemble de la classe médicale et du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’un organisme supranational en conflit d’intérêt flagrant. Les effets négatifs désastreux du sérum expérimental d’ARNm ne sont reconnus que maintenant, alors que, de toutes parts, des voix s’élèvent pour demander, à juste titre, que les responsables de ces décisions rendent compte de leurs actes devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde de vouloir donner à l’OMS des pouvoirs de décision contraignants à l’heure actuelle, alors que la gestion de la récente urgence pandémique et la campagne de vaccination de masse ont eu les effets les plus néfastes en termes de dommages permanents pour les patients et de décès. À l’impunité des crimes commis dans le silence des grands médias s’ajoute la discrétion totale sur les urgences à venir, largement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des travailleurs de la santé qui invoquent le serment d’Hippocrate risque de devenir la norme pour éliminer toute voix discordante.

À cet égard, il est significatif que les nations opposées au Nouvel Ordre Mondial – telles que la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves qu’entraînera l’éventuelle ratification des résolutions, et s’opposent donc à leur approbation. Même le président Trump, au cours de son mandat, a voulu envoyer un signal sans équivoque en coupant les fonds du trésor américain aux bureaucrates de l’OMS : c’est aussi la raison pour laquelle l’État profond a empêché sa réélection lors des dernières élections présidentielles, en soutenant un personnage compromis et corrompu, dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de bio-laboratoires américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens, et notamment aux scientifiques, médecins et juristes qui dénoncent cette menace pour la souveraineté nationale des pays adhérents, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences des décisions de l’OMS sur la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement, qui seront appelés à voter la ratification de ces résolutions, à les rejeter comme contraires au bien commun et visant à réaliser le coup d’État mondial que l’ONU et le WEF préparent depuis des années sous le nom d’Agenda 2030 ou de Great Reset. La gouvernance mondiale de la santé, comme le soulignent des experts qui font autorité et qui ne se sont pas compromis avec le système, est l’un des éléments fondamentaux de la NWO et, en tant que telle, elle doit être rejetée et combattue. La logique du contrôle, du profit et de la pathologisation de masse doit être remplacée par un système de santé publique dont l’objectif premier est la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège – qui est observateur permanent aux Nations unies et, depuis un an, à l’OMS – a le devoir de réaffirmer le droit des individus à la liberté d’accepter ou de refuser des traitements médicaux, en particulier face au danger réel d’effets indésirables, en partie encore inconnus, de cette thérapie génique expérimentale. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont pliés aux délires de Gates, Schwab et Soros, il est temps que l’Église catholique prenne la défense des plus faibles, des enfants à naître sans défense, des enfants et des personnes âgées, ainsi que de ceux que le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs a fait chanter pour qu’ils s’inoculent un sérum contaminé par des lignées de cellules fœtales avortées. Les silences du Vatican, après des déclarations hâtives au début de la pandémie et des soutiens honteux à BigPharma, seront condamnés par le Sanhédrin romain, qui s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et contre l’homme. Jamais, au cours de l’Histoire, la Hiérarchie n’en était venue à se prostituer au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte.

Prions pour qu’un évêque trouve le courage de se démarquer de la ligne collaborationniste de Bergoglio et sache trouver les mots pour ouvrir les yeux des bons jusqu’ici trompés par la propagande mondialiste.


+ Carlo Maria Viganò, Archevêque


Source Stilum Curiae

L’OMS tente un « coup d’État mondial 10 janvier 2023

https://www.maurizioblondet.it/loms-tenta-un-colpo-di-stato-globale/
Traité mondial sur les pandémies :

L’OMS va d’abord s’attaquer à la la « désinformation

12 décembre 2022

https://www.maurizioblondet.it/trattato-pandemico-globale-prima-di-tutto-oms-reprimera-la-disinformazione/
Nous venons de voir que la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université Johns Hopkins et l’OMS ont simulé le 23 octobre une pandémie à venir, comme ils l’avaient fait en 2019 en simulant Covid.

Nous apprenons maintenant que l’OMS, l’agence de santé non élue dont le principal bailleur de fonds est Bill Gates, est sur le point de se doter de pouvoirs de censure sans précédent et juridiquement contraignants en vue de la prochaine pandémie….

…Malgré ce processus antidémocratique, le traité international sur les pandémies bénéficie du soutien de nombreux pays : les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, mais aussi le Conseil européen (CE), qui prendra les décisions au nom des 27 pays de l’Union européenne.

Certains hommes politiques de ces pays se sont opposés au traité et plusieurs pétitions, dont celles qui peuvent forcer un débat parlementaire sur le traité, ont gagné du terrain. Cependant, le traité international sur les pandémies a toutes les chances d’être finalisé d’ici mai 2024 ; il marquera la mise en place du totalitarisme sanitaire et de la suppression de l’information sur la « Contagion catastrophique » que Johns Hopkins et Bill Gates ont « envisagé » dans leur exercice à Bruxelles le 23 octobre dernier. La vaccination obligatoire pour tous sera décrétée en vertu de ce traité, ultime « contrainte extérieure », et tous les États devront s’y plier.

Contre le coup d’État de l’OMS

Bienheureux les persécutés

Le jésuite argentin continue sans relâche la purge de ses adversaires, même les plus modérés. A bas l’appartement et le salaire d’un Prince de l’Église, au mépris des principes les plus fondamentaux de la justice et de la charité. ! Mais être persécuté par Bergoglio est une source de fierté : il reste à voir si ceux qui sont soumis à ces représailles « de type dictature sud-américaine » (comme l’a souligné à juste titre La Bussola Quotidiana) auront la force et la détermination de dire ce qui s’est réellement passé au Conclave 2013.

Bienheureux les persécutés

Que faire ?

Quatre réponses à François plus productives que de l’appeler antipape

Avec Vatican II et ses conséquences, Dieu a permis une crise sans précédent dans l’Église qui, à divers égards, semble entrer en conflit avec les conceptions courantes de l’indéfectibilité de l’Église. Certains catholiques fidèles considèrent que la gravité des scandales des papes post-Vatican II remet en cause cette indéfectibilité, ce qui les amène à conclure que la Chaire de Pierre est vacante depuis le pape Pie XII. D’autres, partageant les mêmes préoccupations générales, ont conclu qu’une période prolongée sans pape remettrait elle-même en question l’indéfectibilité de l’Église. Les catholiques traditionnels débattent de ces questions pendant plusieurs décennies, souvent avec véhémence.

L’occupation de la papauté par François n’a pas nécessairement introduit de nouvelles hérésies, mais elle a amplifié celles qui ont été infusé depuis Vatican II, à tel point qu’un nombre croissant de catholiques fidèles réclament sa destitution. Si la volonté de Dieu est que le remède à la crise actuelle de l’Église catholique consiste à déclarer François antipape et à élire un nouveau pape, alors beaucoup d’entre nous qui ne sont pas sédévacantistes espèrent que les autorités capables de le faire – à savoir les cardinaux et les évêques fidèles – prendront cette mesure dès que possible. En effet, The Remnant a publié des articles (en 2018, en 2022) plaidant en faveur d’un concile imparfait pour potentiellement mener à bien ce processus de destitution de François et d’élection d’un nouveau pape.

Cependant, en l’absence d’un processus de destitution et de remplacement de François, le déclarer antipape n’y fera probablement pas plus que ce que les sédévacantistes ont accompli en déclarant Jean XXIII, Paul VI, Jean Paul Ier, Jean Paul II et Benoît XVI antipapes. Quelle que soit notre position sur la question des prétentions de François à la papauté, tous les catholiques peuvent prendre des mesures qui contribueront immédiatement à combattre la crise de l’Église : s’attaquer aux causes profondes de la crise, soutenir la tradition catholique, répondre aux demandes de Notre-Dame de Fatima et devenir des saints.

S’attaquer aux causes profondes. François est le fruit naturel de la révolution de Vatican II qui affecte l’Église depuis plus de soixante ans. Il a si souvent cité le Concile (à juste titre) pour défendre ses efforts anti-catholiques qu’il n’est plus raisonnable pour les catholiques d’affirmer que la crise ne découle pas de Vatican II lui-même.

Le péché capital de Vatican II a été de jeter le doute sur l’immuabilité de la vérité catholique : une fois que les innovateurs ont pu s’écarter, même subtilement, de ce que les papes d’avant Vatican II avaient constamment enseigné sur l’œcuménisme, la liberté religieuse et l’ecclésiologie de l’Église, alors presque tout le reste pouvait finir par changer. À cet égard, le blasphématoire Synode sur la synodalité est comme la pierre de Rosette pour déchiffrer les ambiguïtés et les contradictions de Vatican II – et l’insistance malheureuse à défendre Vatican II est la raison pour laquelle nous avons le Synode aujourd’hui.

Le remède est de revenir à ce que les papes ont constamment enseigné avant le Concile et de rejeter toutes les erreurs qui remettent celui-ci en question. Par tous les moyens, nous devrions espérer et prier pour que Dieu retire bientôt François de sa position d’influence ; mais pourquoi nous contenterions-nous d’enlever le fruit tout en préservant l’arbre qui portera inéluctablement de pires fruits à l’avenir ?

Soutenir la tradition catholique. François et ses alliés anti-catholiques soutiennent presque toutes les croyances religieuses du monde autres que le catholicisme traditionnel, la religion des saints. Cette réalité stupéfiante – même si nous ne savions rien d’autre sur le catholicisme traditionnel – constituerait à elle seule une bonne raison de soutenir les croyances et les pratiques d’avant le Concile Vatican II.

Mais, bien sûr, nous avons une raison encore plus importante de soutenir le catholicisme traditionnel. Dieu a confié la foi catholique immuable à Son Église pour qu’elle transmette Sa grâce et Sa vérité, et c’est précisément la raison pour laquelle Satan s’est donné tant de mal pour contaminer et affaiblir la foi avec les erreurs qui ont proliféré depuis Vatican II.

Si nous nous efforçons de faire tout ce qui est en notre pouvoir (conformément à nos devoirs d’État) pour honorer Dieu en nous rapprochant des sacrements catholiques traditionnels, Il récompensera nos efforts. Concrètement, de nombreux catholiques pourraient faire davantage pour assister plus fréquemment à la Messe latine traditionnelle, soutenir matériellement les prêtres et les religieux qui se consacrent à la diffusion du catholicisme traditionnel, et étudier et défendre la foi catholique traditionnelle.

Répondre aux demandes de Notre-Dame de Fatima. Aucun catholique n’est absolument tenu de croire aux apparitions de Fatima, mais nous avons aujourd’hui de nombreuses raisons de le faire. Outre les diverses raisons qui ont conduit tant de catholiques à accepter les apparitions avant Vatican II, il est clair que les ennemis de la foi qui ont contribué à la crise de l’Église ont délibérément dissimulé et obscurci le contenu du soi-disant troisième secret de Fatima. S’ils n’avaient pas trouvé ces messages crédibles, ils auraient pu simplement les ignorer ou les révéler pleinement. La seule raison plausible pour laquelle Jean XXIII et ses successeurs n’ont pas révélé pleinement le troisième secret est qu’il met en évidence la grande apostasie qui commence au sommet de l’Église, comme le montre la déclaration du cardinal Pacelli en 1931 :

Avant son élection à la papauté sous le nom de Pie XII, le cardinal Eugène Pacelli a fait en 1931 une déclaration hautement prophétique en réponse au troisième secret de Fatima : « Les messages de la Sainte Vierge à Lucie de Fatima m’inquiètent. Cette persistance de Marie sur les dangers qui menacent l’Église est un avertissement divin contre le suicide de l’altération de la foi, dans sa liturgie.... J’entends autour de moi des innovateurs qui veulent démanteler la Chapelle Sacrée, détruire la flamme universelle de la vraie Foi de l’Église, rejeter ses ornements et lui faire éprouver des remords pour son passé historique. Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, où l’Église doutera comme Pierre a douté. Elle sera tentée de croire que l’homme est devenu Dieu ». (Centre Fatima, Réflexions opportunes sur le Troisième Secret)


Ainsi, le futur Pie XII savait que la grande crise viendrait de l’abandon de la foi catholique traditionnelle – qu’il appelait « le suicide de l’altération de la foi ».

Comment Notre-Dame de Fatima nous a-t-elle dit de faire face à cette crise ? Comme nous le savons, Notre Dame nous a dit que nous devions cesser d’offenser Dieu par le péché, faire pénitence, prier pour les pécheurs et avoir une dévotion à son Rosaire. Si nous ne faisons pas tout cela, nous pourrions et devrions faire encore plus.

Devenir des saints. Nous savons que Dieu nous a créés pour Le connaître, L’aimer et Le servir – ce qui signifie que nous devons nous efforcer d’être des saints – et qu’Il ordonne tout ce qui se passe dans nos vies pour nous aider à remplir cette mission. Il est absurde d’imaginer que Dieu nous récompenserait pour avoir choisi de faire notre propre volonté plutôt que la Sienne, et c’est particulièrement le cas lorsque nous nous demandons comment répondre à la crise de Son Église.

L’Église nous enseigne également que ce sont toujours les saints qui font le plus de bien à l’Église et au monde. En se faisant les instruments dociles de la volonté de Dieu, les saints discerneront ce qu’il faut faire dans cette crise et auront toutes les grâces nécessaires pour accomplir ce qui doit l’être. Leur abandon total à Dieu les protégera de devenir les esclaves de Satan et de ses sbires. Et, surtout, si jamais les catholiques fidèles doivent prendre des mesures extraordinaires pour résoudre la crise – comme déclarer François antipape – les arguments pour le faire seront présentés par ceux qui s’efforcent manifestement d’être des saints. Pour l’instant, nous devrions reconnaître qu’alors que François fait tout ce qu’il peut pour dissuader les âmes de se tourner vers Dieu en tant que saints, il nous met pratiquement au défi de le déclarer antipape.

Chacune de ces quatre réponses à la crise actuelle serait appropriée et bénéfique même si nous avions la chance d’avoir un saint pape. En outre, bien que nous ne puissions pas savoir avec certitude comment Dieu résoudra cette crise, il est pratiquement certain que nous pouvons implorer Sa miséricorde avec ces réponses bien plus efficacement qu’en tournant en dérision nos concitoyens catholiques qui, cherchant sincèrement à discerner la volonté de Dieu, sont parvenus à des conclusions différentes au sujet de l’homme anti-catholique réputé être le pape. Il y aura certainement des saints de part et d’autre sur la question de savoir si François est un pape ou un antipape, aussi devrions-nous charitablement éviter de faire de notre conviction sur ce grand mystère de la Providence de Dieu un article de foi indiscutable qui nous conduirait à scandaliser les autres. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous !

Robert Morrison 27 novembre 2023 The Remnant

Note de la rédaction : Il y a une nouvelle maladie qui a pour symptôme l’incapacité à appeler les choses par leur nom: un chat, un chat; un hérétique, une hérétique…sachant que celui-ci n’appartient plus par son choix à la Sainte Église, qui Elle, est indéfectible et qui ne peut ni nous tromper, ni se tromper. Ne pas dénoncer le loup, c’est se faire complice, de même que faire comme si le loup était le bon berger.

Il faut qu’il y ait même des hérésies, afin qu’on découvre par là ceux d’entre vous qui ont une vertu éprouvée. I Cor 11, 19

Que faire ?

La joyeuse route des évêques vers l’enfer

L’avertissement adressé aux évêques selon lequel ils risquent sérieusement de mériter l’enfer comme récompense éternelle est attribué à une multitude de saints bien connus. Les saints Jean Eudes, Jean Chrysostome et Athanase se sont efforcés de rappeler aux prélats et aux fidèles que l’on attend davantage de celui à qui l’on donne davantage, et l’Église enseigne que les évêques, en particulier, ont une énorme responsabilité à l’égard des âmes qui leur sont confiées. Il est donc toujours décevant de constater le manque de sérieux de la majorité des évêques quant à leur rôle et, dans certains cas, les tentatives délibérées d’évêques de subvertir l’Église dans son élément humain.

Mgr Joseph Strickland, un martyr blanc des temps modernes, a réitéré ces pensées via les médias sociaux, lorsqu’il a écrit que la route de l’enfer est pavée de crânes d’évêques, et qu’il n’avait aucun désir d’être l’un d’entre eux. Cependant, peu d’évêques semblent partager ses préoccupations, à l’exception de ceux dont les noms nous sont devenus si familiers ces derniers temps. Maintenant que Mgr Strickland a été contraint par le pape de démissionner, nous sommes confrontés au silence assourdissant de la quasi-totalité des évêques du monde, qui sont soit d’accord avec la décision du pape, soit en désaccord, mais trop timides pour s’exprimer. En effet, il est très important que la Fraternité Saint-Pie X ait publié une déclaration énergique pour soutenir Mgr Strickland : ce groupe ne sait que trop bien ce que signifie souffrir au nom de la tradition et n’a jamais hésité à dénoncer les abus de pouvoir qui émanent de Rome.

Ce silence face à l’erreur et à l’apostasie n’est nulle part plus évident qu’en Australie, où les évêques, sous les auspices de la Conférence des évêques catholiques d’Australie (ACBC), semblent vouloir promouvoir un programme progressiste aux dépens de ce qui devrait être leur devoir le plus urgent : le salut des âmes. Encore sous le choc des scandales d’abus survenus sous leur responsabilité, les évêques australiens semblent collectivement se contenter de limiter leurs commentaires à des causes « sûres » telles que le sort des indigènes, les joies apparentes des Journées Mondiales de la Jeunesse et l’expérience complète de la Synodalité. La « synodalité » a tellement embrouillé l’esprit de quelques pasteurs qu’ils semblent incapables de discerner leurs propres commentaires erronés, dont certains frôlent le blasphème.

Par exemple, Mgr Anthony Randazzo a déclaré lors d’un point de presse du Synode que c’était une « bonne chose » que le Pape François ait abordé la question des bénédictions pour les couples de même sexe à la veille du Synode. Il a suggéré que les papes précédents – sans parler de Dieu le Père – n’avaient pas compris les complexités de l’existence humaine, en disant que le pape François (en utilisant ses pouvoirs gnostiques uniques, sans aucun doute) « … est capable de s’exprimer sur des questions qui sont réelles pour les gens, en les écoutant et en ne les rejetant pas, et en leur permettant de s’asseoir là où ils sont afin qu’ils puissent arriver à une certaine maturité.« 

Dans cet exposé, Mgr Randazzo a fait référence à deux reprises à l' »écoute approfondie », un terme qui, à première vue, semble correspondre à l’écoute active qui est si nécessaire pour des conversations significatives entre les êtres humains. Cependant, les deux termes ne sont pas interchangeables. L' »écoute approfondie » est une pratique occulte formelle similaire à la méditation, conçue pour mettre le praticien en contact avec sa « sagesse intérieure ». L' »écoute approfondie » est pratiquée par les indigènes australiens sous le nom de « Djirra » et a été promue tout au long du processus du Concile plénier d’Australie – notre triste prélude au « Synode sur la synodalité ». Si Mgr Randazzo n’a peut-être aucune idée de la véritable nature de l' »écoute approfondie », il est inquiétant que les évêques australiens aient repris cette terminologie et qu’elle soit intégrée dans le lexique de la « synodalité ».

Mgr Shayne Mackinlay, du diocèse de Sandhurst, s’est montré encore plus ouvert quant à sa passion pour la nouveauté moderniste. Il a déclaré au National Catholic Reporter qu’il « accueillerait favorablement » l’ordination de femmes au diaconat, si le Synode le recommandait. Bien formés à l’art de la synodalité, ses commentaires illustrent le paradigme dogme-vs-praxis rendu populaire par le Pape François. Le schéma est clair : bêler quelque chose d’orthodoxe, puis suivre un « mais » avec les « circonstances concrètes de la vie » justifiant un péché chéri. Mgr Mackinlay a déclaré :

« Certes, il y a eu, comme on pouvait s’y attendre, une réaffirmation très claire de l’importance de la doctrine et des enseignements de l’Église. Mais il y a également eu de grandes réflexions sur l’expérience personnelle et la rencontre personnelle… » Dogme-mais-praxis : c’est la voie synodale.

La spiritualité indigène et son intégration dans la liturgie catholique est un autre domaine qui conduit certainement les évêques et les laïcs sur la joyeuse route de l’enfer. Alors que l’Église presbytérienne d’Australie a décidé d’interdire les pratiques indigènes telles que les rituels de tabagisme dans ses églises, les évêques australiens continuent d’embrasser sans réserve la spiritualité et les causes indigènes. L’archevêque ultra-progressiste de Brisbane, Mark Coleridge, a qualifié les injustices subies par les Aborigènes de « péché originel de l’Australie contemporaine ». Coleridge est allé jusqu’à enseigner à ses prêtres de paroisse, dont beaucoup sont étrangers, des histoires révisionnistes du type « l’homme blanc est mauvais ».

L’archevêque de Perth, Mgr Timothy Costelloe, a promu avec zèle la malheureuse « Voix au Parlement », une tentative pour saper la constitution de la nation en donnant à des activistes indigènes non élus un droit de veto sur la législation fédérale. La Conférence des Évêques Catholiques Australiens (ACBC) a également adopté avec enthousiasme la « Déclaration d’Uluru », un document complètement imprégné de marxisme qui souligne la « souveraineté » précoloniale des Aborigènes (tribalisme païen) et dénonce le « structuralisme » (civilisation occidentale et chrétienne). La déclaration d’Uluru est si omniprésente parmi les catholiques australiens qu’on la trouve affichée dans les paroisses les plus traditionnelles.

Il y a peut-être là un indice permettant de comprendre pourquoi l’Église d’Australie présente une telle pénurie d’ecclésiastiques courageux et orthodoxes. Cela a été récemment mis en évidence dans un sermon cinglant du Père Andre Feain, anciennement du diocèse de Perth en Australie occidentale. Après avoir pris acte de la récente réaffirmation par le Vatican de l’interdiction de la franc-maçonnerie, le père Andre a posé la question suivante :

« Pourquoi donc des évêques, des prêtres, des catholiques, des laïcs, en particulier en Australie, aux Philippines, en Argentine et dans d’autres pays, ont-ils embrassé la franc-maçonnerie ? Pourquoi des prêtres, des secrétaires d’évêques et des conférences d’évêques en Australie ont-ils dit et permis que l’on dise que les prêtres peuvent être francs-maçons ? Pourquoi ces lâches de la foi catholique sont-ils restés silencieux et ont-ils reçu la Sainte Communion alors que cela est interdit ? Il est interdit d’être franc-maçon. Vous ne pouvez pas recevoir la Sainte Communion, sinon vous entrez plus profondément dans un grave péché. »

Les commentaires du Père Andre font référence à la révélation, rendue publique par l’auteur, qu’en 2017, le Secrétaire de l’ACBC de l’époque, le Père Stephen Hackett, a donné la permission aux catholiques d’être francs-maçons. Malgré des demandes répétées à plusieurs évêques australiens relativement orthodoxes, aucune déclaration publique n’a jamais été faite pour condamner cette abomination. Le père Andre poursuit :

« De la tête aux pieds, l’Église catholique d’Australie a été compromise en adoptant les enseignements des francs-maçons parce qu’ils ont peur d’embrasser la Voie, la Vérité et la Vie, parce qu’ils respectent l’opinion humaine… Pour de nombreux membres du clergé, la franc-maçonnerie s’est glissée dans les bureaux de la chancellerie du diocèse pour nommer des hommes partageant les mêmes idées dans des paroisses et des agences ecclésiastiques particulières. Si vous voulez le poste, allez-y doucement et refusez toute veillée de prière devant une clinique d’avortement, ou soyez au moins indifférent aux questions liées à la vie. On se contente de gagner du temps, de ne pas faire de commentaires, d’en rire….. et on licencie, on menace et on transfère les prêtres qui sont perçus comme pro-vie et proactifs. Demandez à n’importe quel membre du mouvement pro-vie ce qu’il en pense« .

S’il est vrai que quelques évêques australiens participent à des marches et à des rassemblements populaires en faveur de la vie, l’écrasante majorité d’entre eux est exactement comme le fait remarquer le Père André : ils ignorent les demandes des pro-vie et balaient le sort des enfants à naître sous le tapis. Si elle est mentionnée, la question de l’avortement est reléguée dans une liste d’injustices, quelque part entre les « migrants », la « pauvreté » et les « indigènes ». Ce refus délibéré du sacrifice de l’enfant de la part des évêques est apparu clairement lorsque les traitements COVID contre l’avortement ont été imposés aux prêtres et aux employés des chancelleries, certains d’entre eux excluant de leurs paroisses les fidèles non vaccinés.

Le Père Andre conclut :

« Les évêques et le clergé australiens ne pourront rien changer à moins qu’ils ne soient eux-mêmes catéchisés pour connaître le mal de la franc-maçonnerie et la façon dont le serpent diabolique du jardin d’Eden écrase les âmes.« 

Kathy Clubb, correspondante australienne, 21 novembre 2023 The Remnant

La joyeuse route des évêques vers l’enfer

Silence on vaccine

94% des décès dus au COVID-19 au cours de l’année écoulée sont survenus chez des personnes quadruplement vaccinées.


L’Office des statistiques nationales a récemment publié une mise à jour des décès en fonction du statut vaccinal en Angleterre et a révélé de manière choquante que la population vaccinée représentait 95 % des décès survenus au cours des 12 mois compris entre le 1er juin 2022 et le 1er juin 2022 sont imputables à la population vaccinée trois ou quatre fois.

L’ensemble de données a été récemment publié par l’Office for National Statistics (ONS), un service du gouvernement britannique a récemment publié un ensemble de données qui peut être consulté à l’adresse suivanteNational Statistics (ONS) et peut être consulté sur le site web de l’ONS ou peut être téléchargé ici.


L’ensemble de données comprend les décès basés sur le statut vaccinal entre le 1er avril et le 1er avril 2010. Mais parce que nous avons analysé de manière exhaustive les décès jusqu’à la fin de l’année 2022 dans les ensembles de données déjà publiés nous avons décidé d’examiner les décès de la Covid-19 en fonction du statut vaccinal sur une année complète jusqu’à la fin 2022.
Le tableau ci-dessous montre ce que nous avons découvert : les décès liés à Covid-19 en fonction du statut vaccinal au cours d’une année complète jusqu’à la fin de 2022.


Les personnes non vaccinées sont à l’origine du plus petit nombre de décès dus à la grippe A.
COVID-19 chaque mois jusqu’en mai 2023, et ont à peine atteint un nombre à trois chiffres dans la plupart des mois jusqu’en mai 2023 le nombre de décès dus au COVID-19 est à peine à trois chiffres pour les personnes non vaccinées. Alors que la population vaccinée a été à l’origine du plus grand nombre de décès dus à la COVID-19 chaque mois, atteignant les quatre chiffres dans tous les mois sauf deux au cours de cette année.ais ce qui est curieux dans ces données, c’est que ce n’est pas la population vaccinée avec une simple ou une double dose qui a représenté la majorité des décès dus à COVID-19 au cours des 12 mois, mais c’est la population vaccinée avec trois ou quatre doses qui a représenté la majorité des décès dus à COVID-19. au cours des 12 mois. C’est la population vaccinée à trois et quatre doses qui a enregistré la majorité des décès dus au COVID-19 au cours des 12 mois.

Le plus grand nombre de décès s’est produit parmi les personnes ayant reçu un quadruple vaccin en août 2022.


Le graphique suivant montre le nombre total de décès dus au COVID-19 en fonction du statut vaccinal pour toute l’année et révèle l’ampleur réelle des statistiques choquantes.

La population non vaccinée a à peine atteint les 4 chiffres pour l’ensemble de l’année, atteignant un total de 1,5 million de personnes.

La population vaccinée a atteint cinq chiffres avec 20 336 décès dus au Covid-19, dont 19 336 dus au Covid-19.dont 19 143 étaient triplement et quadruplement vaccinés.

Cela signifie, comme le montre le graphique ci-dessous, que la population vaccinée en Angleterre représentait 95 % de la population totale.

La population vaccinée en Angleterre a représenté 95 % des décès dus à COVID-19 entre le 1er juin et le 31 décembre entre le 1er juin 2022 et le 31 mai 2023. Alors que la population non vaccinée ne représentait que 5 %.

Les personnes vaccinées trois ou quatre fois avec le ROR et le quadruple ROR sont responsables d’un pourcentage stupéfiant de 94 % de tous les décès parmi la population vaccinée.
et, comme le montre le graphique ci-dessous les vaccinés à une ou deux doses représentant un pourcentage stupéfiant de 89 % de tous les décès.

Les vaccinés à une ou deux doses ne représentent que 6 % des décès dus au Covid-19.

Ce chiffre reste toutefois supérieur aux 5 % de décès dus à la Covid-19 dans la population non vaccinée.

Ce ne sont pas les chiffres que l’on pourrait s’attendre à voir si les injections de COVID-19 étaient vraiment efficaces à 95 % pour prévenir les décès, n’est-ce pas ?

Avec 95 % de décès dus au Covid-19 sur l’ensemble de l’année jusqu’en mai 2023 parmi les personnes vaccinées, on pourrait s’attendre à voir 95 % de décès parmi les personnes non vaccinées 5% d’efficacité, et même ce chiffre est extrêmement généreux.

Silence on vaccine