Bergoglio est là, mais pas Pierre

Nous publions volontiers, avec la permission de leur auteur, les réflexions qui suivent. Elles mettent judicieusement en valeur le fait que François, malgré le flot d’activités auquel il se livre, renonce – dans la pratique – à remplir sa charge de « Vicaire du Christ » et de « Pasteur universel ». C’est pour la justesse de ce simple constat, et aucunement en vue d’une conclusion théologique et canonique qui refuserait le titre de pape à François, que nous le présentons.

L’emploi de son nom de famille pour désigner le pape est d’usage courant en italien (papa Pacellipapa Montini…), et ne signifie pas le refus de reconnaître son pontificat, même si – comme le montre l’auteur – le pape lui-même renonce aux obligations de sa charge : « affermis tes frères dans la foi », obligations que Notre-Seigneur a fait précéder d’une condition : « une fois converti ». C’est bien pour cette conversion que la prière pour le pape est aujourd’hui plus nécessaire que jamais : Dominus conservet eum… et non tradat eum in animam inimicorum ejus ; que Dieu le garde… et ne l’abandonne pas à la puissance de ses ennemis ».

Aldo Maria Valli est un des vaticanistes les plus connus en Italie. Mais dans ce texte plus qu’ailleurs, c’est d’abord l’âme chrétienne d’un véritable fils de l’Église qui s’exprime.

Rome n’a pas de pape. La thèse que j’entends soutenir peut se résumer en ces quatre mots. Quand je dis Rome, je ne me réfère pas seulement à la ville dont le pape est évêque. Je dis Rome pour signifier le monde, pour signifier la réalité actuelle.

Le pape, bien que physiquement présent, n’est pas vraiment là parce qu’il n’agit pas en pape. Il est là, mais il n’accomplit pas sa tâche de successeur de Pierre et de vicaire du Christ. Jorge Mario Bergoglio est là, Pierre n’est pas là.

Qui est le pape ? Les définitions, selon qu’on veut privilégier l’aspect historique, théologique ou pastoral, peuvent être différentes. Mais, pour l’essentiel, le pape est le successeur de Pierre. Et quelles étaient les tâches assignées par Jésus à l’apôtre Pierre ? D’une part, « pais mes brebis » (Jn 21, 17) ; de l’autre, « tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux » (Mt 16, 19).

Voilà ce que le pape doit faire. Mais aujourd’hui, il n’y a personne pour accomplir cette tâche. « Et toi, une fois converti, affermis tes frères dans la foi » (Lc 22, 32). C’est ce que Jésus dit à Pierre. Mais aujourd’hui, Pierre ne paît pas ses brebis et ne les confirme pas dans la foi. Pourquoi ? Quelqu’un pourrait dire : parce que Bergoglio ne parle pas de Dieu, mais seulement des migrants, de l’écologie, de l’économie, des questions sociales. Ce n’est pas cela. En réalité, Bergoglio parle aussi de Dieu, mais de toute sa prédication sort un Dieu qui n’est pas le Dieu de la Bible, mais un Dieu adultéré, un Dieu, je dirais, dépourvu de pouvoir ou, mieux encore, adapté. A quoi ? A l’homme et à sa prétention d’être justifié en vivant comme si le péché n’existait pas.

Bergoglio a certainement placé les questions sociales au centre de son enseignement et, à quelques exceptions près, il semble être en proie aux mêmes obsessions que la culture dominée par le politiquement correct, mais je crois que ce n’est pas la raison profonde pour laquelle Rome est sans pape. Même en voulant privilégier les questions sociales, on peut toujours avoir une perspective authentiquement chrétienne et catholique. La question, avec Bergoglio, est autre, à savoir que la perspective théologique est biaisée. Et pour une raison très précise : parce que le Dieu dont Bergoglio nous parle est enclin non pas à pardonner, mais à disculper.

Dans Amoris laetitia, nous lisons que « l’Église doit accompagner ses enfants les plus fragiles avec soin et attention ». Je suis désolé, mais ce n’est pas vrai. L’Église doit convertir les pécheurs.

On lit également dans Amoris laetitia que « l’Église ne manque pas de valoriser les éléments constructifs dans les situations qui ne correspondent pas encore ou plus à son enseignement sur le mariage ». Je suis désolé, mais ce sont des mots ambigus. Dans les situations qui ne correspondent pas à son enseignement, il peut bien y avoir des « éléments constructifs » (mais alors, dans quel sens ?), cependant, l’Eglise n’a pas pour tâche de valoriser ces éléments, mais de convertir à l’amour divin auquel on adhère en observant les commandements.

Dans Amoris laetitia, nous lisons également que la conscience des personnes « peut non seulement reconnaître qu’une situation ne répond pas objectivement à la proposition générale de l’Évangile, mais elle peut aussi reconnaître avec sincérité et honnêteté ce qui est pour le moment la réponse généreuse que l’on peut offrir à Dieu, et découvrir avec une certaine certitude morale que c’est le don que Dieu lui-même demande au milieu de la complexité concrète des limitations, bien que ce ne soit pas encore pleinement l’idéal objectif ». Encore une fois, l’ambiguïté. Premièrement, il n’y a pas de « proposition générale » de l’Evangile, à laquelle on peut adhérer plus ou moins. Il y a l’Évangile avec son contenu très précis, il y a les commandements avec leur force. Deuxièmement : Dieu ne peut jamais, absolument jamais nous demander de vivre dans le péché. Troisièmement : personne ne peut prétendre posséder « une certaine certitude morale » sur ce que Dieu « exige au milieu de la complexité concrète des limitations ». Ces expressions enfumées n’ont qu’un seul sens : légitimer le relativisme moral et se moquer des commandements divins.

Ce Dieu qui s’est engagé avant toute autre chose à exonérer l’homme, ce Dieu en quête de circonstances atténuantes, ce Dieu qui s’abstient de commander et préfère comprendre, ce Dieu qui « est proche de nous comme une mère qui chante une berceuse », ce Dieu qui n’est pas juge mais « proximité », ce Dieu qui parle de la « fragilité » humaine et non du péché, ce Dieu plié à la logique de « l’accompagnement pastoral » est une caricature du Dieu de la Bible. Car Dieu, le Dieu de la Bible, est certes patient, mais pas laxiste ; il est certes aimant, mais pas permissif ; il est certes attentionné, mais pas accommodant. En un mot, il est père dans le sens le plus complet et le plus authentique du terme.

La perspective adoptée par Bergoglio semble au contraire être celle du monde : qui souvent ne rejette pas totalement l’idée de Dieu, mais rejette les traits qui sont moins en accord avec la permissivité ambiante. Le monde ne veut pas d’un vrai père, qui aime au point de juger, mais d’un ami ; ou mieux encore, d’un compagnon de route qui laisse faire les choses et dit « qui suis-je pour juger ? »

J’ai écrit en d’autres occasions qu’avec Bergoglio, triomphe une vision qui renverse la vraie vision [catholique] : c’est cette vision selon laquelle Dieu n’a pas de droits, mais seulement des devoirs. Il n’a pas le droit de recevoir un culte digne, ni de ne pas être bafoué. Il a cependant le devoir de pardonner. Au contraire, selon ce point de vue, l’homme n’a pas de devoirs, mais seulement des droits. Il a le droit d’être pardonné, mais pas le devoir de se convertir. Comme s’il pouvait y avoir un devoir de Dieu de pardonner et un droit de l’homme à être pardonné.

C’est pourquoi Bergoglio, peint comme le pape de la miséricorde, me semble le pape le moins miséricordieux qu’on puisse imaginer. En fait, il néglige la première et fondamentale forme de miséricorde qui est sa responsabilité et sa seule responsabilité : prêcher la loi divine et, ce faisant, montrer aux créatures humaines, du haut de l’autorité suprême, le chemin du salut et de la vie éternelle.

Si Bergoglio a conçu un tel « dieu » – que j’écris délibérément avec une minuscule, puisque ce n’est pas le Dieu Un et Trine que nous adorons – c’est parce que pour Bergoglio il n’y a aucune faute dont l’homme doive demander pardon, ni personnelle ni collective, ni originelle ni actuelle. Mais s’il n’y a pas de faute, il n’y a pas non plus de Rédemption ; et sans nécessité de la Rédemption, l’Incarnation n’a plus de sens, ni a fortiori l’œuvre salvatrice de la seule Arche du salut qu’est la Sainte Eglise. On se demande si ce « dieu » n’est pas plutôt le singe de Dieu, « la simia Dei », Satan, qui nous pousse vers la damnation au moment même où il nie que les péchés et les vices avec lesquels il nous tente, peuvent tuer notre âme et nous condamner à la perte éternelle du Bien suprême.

Rome est donc sans pape. Mais si, dans la dystopie du Vatican de Guido Morselli (le roman intitulé justement Rome sans pape), il en était ainsi physiquement, parce que ce pape imaginaire était parti vivre à Zagarolo, aujourd’hui Rome est sans pape d’une manière beaucoup plus profonde et radicale.

Je pressens déjà l’objection : mais comment peut-on dire que Rome est sans pape alors que François est partout ? Il est à la télévision et dans les journaux. Il a fait la couverture de Time, Newsweek, Rolling Stone, et même Forbes et Vanity Fair. Il est présent sur des sites web et dans un nombre infini de livres. Il est interviewé par tout le monde, même par la Gazzetta dello Sport. Jamais peut-être un pape n’a été aussi présent et aussi populaire. Je réponds : c’est vrai, mais c’est Bergoglio, ce n’est pas Pierre.

Que le Vicaire du Christ s’occupe des choses du monde n’est certes pas interdit, au contraire. La foi chrétienne est une foi incarnée et le Dieu des chrétiens est un Dieu qui se fait homme, qui se fait histoire, donc le christianisme évite les excès de l’angélisme. Mais c’est une chose d’être dans le monde et une autre de devenir comme le monde. En parlant comme le monde parle, et en raisonnant comme le monde raisonne, Bergoglio a fait s’évaporer Pierre et s’est placé lui-même au premier plan.

Je le répète : le monde, notre monde né de la révolution de 1968, ne veut pas d’un vrai père. Le monde préfère le compagnon. L’enseignement du père, s’il est un vrai père, est fatiguant, car il indique la voie de la liberté dans la responsabilité. Il est beaucoup plus confortable d’avoir à ses côtés une personne qui se limite à vous tenir compagnie, sans rien vous indiquer. Et c’est exactement ce que fait Bergoglio : il montre un Dieu qui n’est pas père, mais compagnon. Ce n’est pas un hasard si « l’Église en sortie » de Bergoglio, comme tout modernisme, aime le verbe « accompagner ». C’est une Église compagne de route qui justifie tout (par une conception déformée du discernement) et, en fin de compte, relativise tout.

La preuve en est le succès que Bergoglio a rencontré auprès des étrangers lointains, qui se sentent confirmés dans leur éloignement, tandis que les voisins, désorientés et perplexes, ne se sentent absolument pas confirmés dans la foi.

Jésus est très explicite sur le sujet. « Malheur à vous, quand tous les hommes diront du bien de vous ». (Lc 6, 26). « Heureux êtes-vous, quand les hommes vous haïront, quand ils vous couvriront de honte, quand ils vous injurieront et mépriseront votre nom comme infâme, à cause du Fils de l’homme » (Lc 6, 22).

De temps en temps, une rumeur circule selon laquelle Bergoglio, comme Benoît XVI, pense à démissionner. Je crois qu’il n’a pas de tels projets, mais le problème est tout autre. Le problème est que Bergoglio est devenu le protagoniste de facto d’un processus de désinvestissement des fonctions de Pierre.

J’ai déjà écrit ailleurs que Bergoglio est maintenant devenu l’aumônier des Nations Unies, et je considère que ce choix est d’une gravité sans précédent. Cependant, plus grave encore que son adhésion au programme des Nations Unies et au politiquement correct, il a renoncé à nous parler du Dieu de la Bible, et le Dieu au centre de sa prédication est un Dieu qui amnistie et non qui pardonne.

La crise de la figure paternelle et la crise de la papauté vont de pair. De même que le père, rejeté et démantelé, s’est transformé en compagnon universel sans aucune prétention à montrer la voie, de même le pape a cessé d’être le porteur et l’interprète de la loi divine objective et a préféré devenir un simple compagnon.

Pierre a ainsi disparu juste au moment où nous avions le plus besoin de lui pour nous montrer Dieu comme quelqu’un dont la paternité embrasse tout : père aimant non pas parce qu’il est neutre, mais parce qu’il juge ; miséricordieux non pas parce qu’il est permissif, mais parce qu’il s’engage à nous montrer le chemin du vrai bien ; miséricordieux non pas parce qu’il est relativiste, mais parce qu’il désire nous montrer la voie du salut.

J’observe que le choix de paraître auquel s’abandonne l’ego de Bergoglio, n’est pas une nouveauté, mais qu’il remonte en grande partie à la nouvelle approche anthropocentrique du Concile, selon laquelle les papes, les évêques et les clercs ont fait passer leur personne avant leur ministère sacré, leur propre volonté avant celle de l’Église, leurs propres opinions avant l’orthodoxie catholique, leurs propres extravagances liturgiques avant le caractère sacré du rite.

Cette personnalisation de la papauté est devenue explicite depuis que le Vicaire du Christ, voulant se présenter comme « l’un des nôtres », a renoncé au pluriel d’humilité par lequel il montrait qu’il ne parlait pas à titre personnel, mais avec tous ses prédécesseurs et l’Esprit-Saint lui-même. Réfléchissons : ce Nous sacré, qui a fait trembler Pie IX proclamant le dogme de l’Immaculée Conception et saint Pie X condamnant le modernisme, n’aurait jamais pu être utilisé pour soutenir le culte idolâtre de la Pachamama, ni pour formuler les ambiguïtés d’Amoris laetitia ou l’indifférentisme de Fratelli tutti.

En ce qui concerne le processus de personnalisation de la papauté (auquel l’avènement et le développement des mass media ont apporté une contribution importante), il faut rappeler qu’il fut un temps où, du moins jusqu’à Pie XII inclus, les fidèles ne se souciaient pas de savoir qui était le pape, car ils savaient de toute façon que, quel qu’il soit, il enseignerait toujours la même doctrine et condamnerait les mêmes erreurs. En applaudissant le pape, ils n’applaudissaient pas tant celui qui était sur le saint trône à ce moment-là, mais la papauté, la royauté sacrée du Vicaire du Christ, la voix du Pasteur suprême, Jésus-Christ.

Bergoglio, qui n’aime pas se présenter comme le successeur du Prince des apôtres et qui, dans l’Annuaire pontifical, a fait passer au second plan l’appellation de Vicaire du Christ, se sépare implicitement de l’autorité que Notre-Seigneur a conférée à Pierre et à ses successeurs. Et ce n’est pas une simple question canonique. C’est une réalité dont les conséquences sont les plus graves pour la papauté.

Quand Pierre reviendra-t-il ? Combien de temps Rome restera-t-elle sans pape ? Inutile de se poser la question. Les desseins de Dieu sont mystérieux. Nous ne pouvons que prier le Père céleste en disant : « Que votre volonté soit faite, pas la nôtre. Et ayez pitié de nous, pécheurs ».

Article original en italien : Roma senza papa. C’è Bergoglio. Non c’è Pietro.

Sources : Aldo Maria Valli

Bergoglio est là, mais pas Pierre

Arrêtons le carnaval

Covid19 : « La mascarade a assez duré, comment la combattre? » par le Docteur Nicole Delépine

par Putsch 20 août 2020

Tribune de Nicole Delépine, ancien Chef de Clinique des Hôpitaux spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle a dirigé notamment l’Unité Fonctionnelle de Cancérologie de l’Adolescent et de l’Adulte Jeune de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92)

Chacun à travers les multiples articles sur des supports variés vidéos ou tribunes aura compris que le masque obligatoire en l’absence d’épidémie, alors que les hospitalisations et décès sont de quelques unités dans un pays de 67 millions d’habitants est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire. 

 Vous n’aurez pas manqué la terrible loi dite de bioéthique votée à 3 H du matin le 1 aout en deuxième lecture et autorisant deux horreurs terrifiantes, l’avortement jusqu’au terme, pudiquement qualifié d’interruption médicale de grossesse et l’autorisation de créer au laboratoire des chimères homme-animal à partir d’embryons sacrifiés. 
 Tuer un fœtus de 9 mois n’est-ce pas commettre un crime pour lequel de nombreuses femmes ont été condamnées par les tribunaux ? 
 Créer des Frankenstein mélangeant homme chauve-souris, homme porc ou tout ce que vous voudrez, n’est-ce pas défier la nature, et se diriger dans des sphères inconnues, tout cela en espérant vendre des organes de rechange aux milliardaires et en sacrifiant les bébés et embryons des autres. Business is business, on avait compris mais là ça dépasse l’imaginable.

Le masque de la soumission à l’autorité
Le masque a servi de camouflage aux votes scandaleux à l’assemblée. Les discours lénifiants à la télévision et sur les radios pour peser si oui on met un masque à l’extérieur ou pas etc… Évidemment il faut respirer son CO2 et ravaler ses microbes sur la plage, c’est bien évident et mérite d’occuper les émissions tv.
Et pendant ce temps-là qui a entendu parler des modifications anthropologiques majeures que la loi de bioéthique, qui devra repasser devant le sénat. Qui organise une information large de cette loi antihumaine et monstrueuse ? Probablement « la manif pour tous » qui a tenté quelques lâchers de ballons devant l’assemblée. Mais ce sera tellement facile de les traiter de ringards, complotistes ou fachos, que sais-je !
D’ailleurs s’opposer au principe de création de chimère homme-cheval est vraiment de l’ancien monde comme dirait le président, qui invite tout de même le célèbre et tout jeune Bayrou ministre sous Mitterrand à devenir haut-commissaire au plan. Autre exemple que les médias occupés par le masque et les ouvertures d’école -indispensables évidemment, n’auront pas le temps de signaler et encore moins de discuter.

« Notre vote a été violé mais là aussi nous sommes soumis ! Combien de gens dans la rue pour protester ? Nous sommes bien conditionnés à l’obéissance depuis plusieurs décennies »

Et pourquoi depuis quand le peuple devrait-il donner son avis ? Quand il le donne d’ailleurs il est bafoué tel le référendum de 2005 sur la Constitution… Notre vote a été violé mais là aussi nous sommes soumis ! Combien de gens dans la rue pour protester ? Nous sommes bien conditionnés à l’obéissance depuis plusieurs décennies, si bien que quand on vous dit, « restez chez vous », « bien chef » ils sont restés sans un mot … Contrairement à ce que certains ont tenté de faire croire, ce ne sont pas des amateurs maladroits, nos politiques. Au contraire ce pouvoir est très organisé pour décérébrer et mettre le peuple en confusion mentale, selon la technique éprouvée des injonctions contradictoire d’un jour à l’autre… Est-il temps de réagir ? oui nous n’avons pas le choix. Deux choses, résumons les données actuelles et envisageons comment combattre cette montée du totalitarisme en France.
Le point sur les faits, développés ailleurs (1).

« Ce pouvoir est très organisé pour décérébrer et mettre le peuple en confusion mentale, selon la technique éprouvée des injonctions contradictoire d’un jour à l’autre… Est-il temps de réagir ? oui nous n’avons pas le choix »

Une grippe habituelle
L’épidémie du coronavirus qui a sévi n’est pas plus mortelle au niveau mondial que les grandes grippes Modernes (2). Les chiffres, même surestimés par les gouvernements qui sont en train de l’avouer et même gonflés par les morts Rivotril (administré sans preuve diagnostique parce que la chloroquine aurait été soi-disant trop risquée) ne sont pas supérieures aux années précédentes.

Une épidémie terminée en France selon toutes les analyses des chiffres officiels de Santé Publique France : il n’y a presque plus de décès liés au covid (inférieurs à 20 par jour alors que les cancers en tuent 500 quotidiennement.
L’arrivée de la fameuse deuxième vague attendue comme l’arlésienne depuis 3 mois (3) est compromise car le virus semble avoir muté et être devenu très peu virulent. Il donnera au mieux de bons rhumes comme les autres coronavirus (qu’on retrouve dans les tests aussi bien que l’actuel, ils sont cousins germains).

« L’arrivée de la fameuse deuxième vague attendue comme l’arlésienne depuis 3 mois est compromise car le virus semble avoir muté et être devenu très peu virulent. Il donnera au mieux de bons rhumes comme les autres coronavirus »

Les tests enfin arrivés après la guerre ne dépistent que des « cas » positifs qui ne sont en aucun cas des malades (pas de signe clinique même mineur). Les tests ne sont de plus pas fiables puisque non spécifiques. L’augmentation des cas ne témoigne que de l’augmentation des tests et lorsque la positivité augmente un peu plus c’est que les gens sont testés auprès des contacts de positifs, ce qui fausse l’analyse de l’immunité collective. Quoiqu’il en soit s’ils sont positifs, ils sont « vaccinés » et devraient être rassurés (en l’absence des délires interprétatifs par nos experts journalistes virologues d’un jour qui les affolent).
En l’absence d’épidémie, le masque ne sert à rien. Justifié pour les soignants et dans les transports collectifs en mars, avril, il n’a aucun sens aujourd’hui, sinon de répandre encore et encore la peur, afin de paralyser la population et de bloquer sa réflexion, ce qui a permis comme on l’a vu d’accepter en France qu’on assassine un bébé de 9 mois, juste avant sa naissance, sans entrainer de révolte majeure des citoyens.
Le masque de la tyrannie et de la déshumanisation et de la soumission
Le masque de protection virale (contestable néanmoins car jamais scientifiquement démontré pour les virus, la protection habituelle pour les chirurgiens par exemple est contre les bactéries, staphylocoque etc.) est devenu un symbole de tyrannie du pouvoir et de soumission des individus. Si le peuple ne réagit pas, chaque jour verra une nouvelle mesure imposée, comme ce jour semble-t-il le masque en entreprise. Grotesque et inadapté. Chaque situation est différente.

« Le masque de protection virale est devenu un symbole de tyrannie du pouvoir et de soumission des individus »

Le traitement Raoult guérit plus de 96,5 % des malades (pris dans les deux premiers jours de signes cliniques)
Quand bien même de nouveaux malades apparaitraient, nous avons un traitement efficace, peu couteux, sans danger : l’azithromycine Chloroquine reconnu par plus de 3/4 des médecins dans le monde et honteusement interdit en France. Edouard Philippe et Olivier Véran devront s’en expliquer un jour prochain.

Pour suivre Nicole Delépine sur Twitter et sur son site officiel

1 – Voir en particulier nos articles sur France Soir sur le confinement et le bilan sanitaire international du covid, confinement toxique et chloroquine efficace

2 – Un million de victimes pour la grippe de Hong Kong et 2 millions pour la grippe asiatique alors que le Covid19 n’atteint pas 900000

En référence à la nouvelle d’Alphonse Daudet l’Arlésienne, publiée en 1866 et qui décrit l’attente vaine, interminable qui conduit au suicide de celui qui y croit

Arrêtons le carnaval

Pour une élémentaire connaissance de ce que l’on veut vous injecter……….pour votre santé

Utilisation des lignées cellulaires issues de fœtus avortés dans le cadre du développement de vaccins contre la Covid-19

D’Esther Louis pour Le Salon beige :

Tiré de A.L., courrier des lecteurs de Science & Foi n°138, avec l’aimable autorisation de l’auteur et de la rédaction.

Un article publié récemment par le Charlotte Lozier Institute (Prentice, 2021) fait le point sur l’utilisation de lignées cellulaires issues de fœtus avortés (Figure 1) dans le cadre de l’élaboration des vaccins contre la Covid-19.

Figure 1 : Obtention de lignées cellulaires à partir d’un fœtus avorté. Ici il s’agit de lignées cellulaires issues du rein de ce fœtus. Reproduction d’une image publiée sur un rapport « Fact sheet : COVID vaccines and Fetal cell lines » du Charlotte Lozier Institute.

De telles lignées cellulaires peuvent, rappelle cet article, être utilisées à trois étapes clés de l’élaboration des vaccins :

  • L’étape Design & Développement : conceptualisation, expériences préparatoires, spécification du vaccin.
  • L’étape Production : industrialisation et fabrication des vaccins.
  • L’étape Tests de confirmation du produit en laboratoire : tests d’analyse de la qualité, des acides nucléiques ou séquences protéiques, de réaction des anticorps, sur le produit fini.

Le Tableau 1 est un résumé du tableau publié par le Charlotte Lozier Institute (Prentice, 2021), concernant l’utilisation de ce type de lignées cellulaires dans les différentes étapes d’élaboration des 6 vaccins commandés par l’Union Européenne (European Commission Decision, 15/12/2020). Le vaccin Spoutnik 5 du Gamaleya Research Institute a été ajouté également à cette liste. Le signe « x » indique l’utilisation de lignées cellulaires issues de fœtus avortés à l’étape désignée (pour les tests de confirmation en laboratoires sur produits finis, cela implique qu’au moins certains tests ont été menés sur de telles lignées cellulaires). Le signe « v » indique qu’il n’y a pas eu utilisation de lignées cellulaires de fœtus avortés. Le signe « ? » indique une absence de données fiables ou publiées sur la question. Lorsque cela était possible, les sources bibliographiques ont été indiquées. Les sources de certaines données publiées par le Charlotte Lozier Institute n’ont pas été retrouvées.

VaccinDesign & DéveloppementProductionTests de confirmationSources
AstraZenecaX(HEK 293)X(HEK 293)Van Doremalen et al. (2020)
Sanofi Pasteur & Glaxosmithkline BiologicalsVV(Cellules d’insectes Sf9)?
Janssen PharmaceuticaX(PER.C6)X(PER.C6)Tostanoski et al. (2020)Mercado et al.(2020)
Pfizer & BioNTech ManufacturingV(Séquence définie par ordinateur)V(Pas d’utilisation de cellules)X(Tests protéiques et pseudovirus sur HEK 293)Vogel et al.(2020)
CureVacV(Séquence définie par ordinateur)V(Pas d’utilisation de cellules)V(Test protéiques lysats de réticulocytes, lignée cellulaire humaine HeLa)Rauch et al.(2020)
Moderna SwitzerlandV(Séquence définie par ordinateur)V(Pas d’utilisation de cellules) X(Tests protéiques et pseudovirus sur HEK 293)Corbett et al.(2020)
Gamaleya Research Institute (Spoutnik 5)X(HEK 293)X(HEK 293)X

Tableau 1 : Utilisation de lignées cellulaires issues de fœtus avortés lors de l’élaboration des 6 vaccins commandés par L’Union Européenne. Données issues de l’étude de Prentice (2021).

Il est donc clair, d’après ce tableau, que sur les six vaccins commandés par l’Union Européenne, quatre d’entre eux utilisent des lignées cellulaires issues de fœtus avortés dans au moins une des phases de l’élaboration du vaccin. C’est également le cas du vaccin russe Spoutnik 5. Pour le vaccin Sanofi/GSK, certaines données sont manquantes et il n’est donc pas possible de conclure ou non sur l’utilisation de telles lignées cellulaires. Le vaccin CureVac n’utilise à aucune étape des lignées cellulaires issues de fœtus avortés. Il utilise en revanche des lignées cellulaires développées à partir d’un prélèvement de métastase d’une patiente adulte atteinte d’un cancer du col de l’utérus. Tout comme les vaccins Moderna et Pfizer, le vaccin CureVac est un vaccin à ARN. Cette nouvelle technologie est utilisée pour la première fois chez l’homme.

Bibliographie

A.L., Courrier des lecteurs paru dans Science & Foi, n°138, Janvier 2021.

Charlotte Lozier Institute, « Fact Sheet: COVID Vaccines & Fetal Cell Lines », téléchargé 24/01/2021.

Corbett et al., « SARS-CoV-2 mRNA vaccine design enabled by prototype pathogen preparedness », Nature, Volume 586, Pages 567–571, 05/08/2020.

European Commission, « COMMISSION DECISION of 15.12.2020 on implementing Advance Purchase Agreements on COVID-19 vaccines », Brussels, C(2020) 9309 final, 15/12/2020.

Mercado et al., « Single-shot Ad26 vaccine protects against SARS-CoV-2 in rhesus macaques », Nature, Volume 586, Pages 583–588, 2020.

Prentice, D., « Update: COVID-19 Vaccine Candidates and Abortion-Derived Cell Lines », updated 04/01/2021.

Prentice, D., Sander Lee, T., « A Visual Aid to Viral Infection and Vaccine Production », Charlotte Lozier Institute, 15/06/2020.

Rauch et al., « mRNA based SARS-CoV-2 vaccine candidate CVnCoV induces high levels of virus neutralizing antibodies and mediates protection in rodents », bioRχiv, 23/10/2020.

Tostanoski et al., « Ad26 vaccine protects against SARS-CoV-2 severe clinical disease in hamsters », Nature Medicine, Volume 26, Pages 1694–1700, 2020.

Van Doremalen et al., « ChAdOx1 nCoV-19 vaccine prevents SARS-CoV-2 pneumonia in rhesus macaques », Nature, Volume 586, Pages 578–582, 30/07/2020.

Vogel et al., « A prefusion SARS-CoV-2 spike RNA vaccine is highly immunogenic and 2 prevents lung infection in non-human primates », bioRχiv, 08/09/2020.

Pour une élémentaire connaissance de ce que l’on veut vous injecter……….pour votre santé

Le « vaccin » qui tue fait ses preuves

Le vaccin Pfizer – premiers chiffres officiels – Les raisons profondes du vaccin

Même si Reconquista s’intéresse essentiellement aux questions de Foi,  nous ne pouvons pas passer sous silence le scandale du vaccin qui est en train d’être injecté à une partie de la population. Pourquoi cet acharnement à vouloir vacciner ? Réponse dans cet article. 1) Chiffres publiés par le site officiel de vigilance européenne
http://www.adrreports.eu/fr/index.html
BILAN VACCINAL effectué sur 54,828 personnes.

Premier BILAN :

– 1385 morts sur 54828 vaccinés soit 2,5 % de décès dûs au vaccin

– 22 679 séquelles non résolues après vaccins soit 41, 36 % de pathologies graves. 

2) Cette analyse corrobore ce témoignage d’une personne qui a fait analyser les contenants du vaccin : 

J’ai rassemblé tous les ingrédients des vaccins dans une liste et j’ai contacté le service antipoison. Après les présentations et autres, et en demandant à parler avec quelqu’un de permanent et de bien informé, voici l’essentiel de cette conversation.

Moi : Ma question est la suivante : comment ces ingrédients sont-ils catégorisés ? Comme bénins ou comme poison ? (J’ai analysé quelques ingrédients, le formaldéhyde, le Tween 80, le mercure, l’aluminium, le phénoxyéthanol, le phosphate de potassium, le phosphate de sodium, le sorbitol, etc.)

Il : Eh bien, c’est une sacrée liste… Mais je devrais facilement dire qu’ils sont tous toxiques pour l’homme… Utilisés dans les engrais… Les pesticides… Pour arrêter le coeur… Pour préserver un corps mort… Ils sont enregistrés chez nous dans différentes catégories, mais ce sont surtout des poisons. Pourquoi ?

Moi : Si je devais délibérément nourrir ou injecter à mon enfant ces ingrédients souvent, comme un calendrier, évidemment je mettrais ma fille en danger… Mais que m’arriverait-il légalement ?

Lui : Question étrange… Mais vous seriez probablement accusé de négligence criminelle… peut-être avec l’intention de tuer… et bien sûr d’abus d’enfant… Votre enfant vous serait enlevé… Connaissez-vous quelqu’un qui fait ça à son enfant ? C’est un acte criminel…

Moi : Une industrie… Ce sont les ingrédients utilisés dans les vaccins… Avec des agents liants pour s’assurer que le corps ne les éliminera pas… Pour maintenir indéfiniment les niveaux d’anticorps…

Il : QUOI ?!

Votre conclusion ?

L’homme était hors de lui. Il m’a demandé si je pouvais lui envoyer toutes ces informations par e-mail. Il voulait les partager avec ses enfants adultes qui sont des parents. Il était horrifié et se sentait mal de ne pas savoir… ses enfants sont vaccinés et ils ont des problèmes de santé… »

Par Iris Figueroa 

✅INGREDIENTS VACCINS – On ne peut pas prendre une décision éclairée sans être éduqué.

Voici juste QUELQUES ingrédients de vaccins.

Ils sont injectés à vos enfants ;

◾️Formaldehyde/Formalin – Poison systématique hautement toxique et cancérigène.

◾️Betapropiolactone – Produit chimique toxique et cancérigène. Peut causer la mort ou des blessures permanentes après une très courte exposition à de petites quantités. Produit chimique corrosif. 

◾️Hexadecyltrimethylammonium bromure – Peut causer des dommages au foie, au système cardiovasculaire et au système nerveux central. Peut causer des effets sur la reproduction et des malformations congénitales. 

◾️Aluminum hydroxyde, phosphate d’aluminium et sels d’aluminium – Neurotoxine. Risque d’inflammation/gonflement du cerveau à long terme, de troubles neurologiques, de maladies auto-immunes, d’Alzheimer, de démence et d’autisme. Elle pénètre dans le cerveau où elle persiste indéfiniment. 

◾️Thimerosal (mercure) – Neurotoxine. Induit des dommages cellulaires, réduit l’activité d’oxydo-réduction, la dégénérescence cellulaire et la mort cellulaire. Lié aux troubles neurologiques, à la maladie d’Alzheimer, à la démence et à l’autisme. 

◾️Polysorbate 80 & 20 – Elle franchit la barrière hémato-encéphalique et transporte avec elle l’aluminium, le thimérosal et les virus, ce qui lui permet de pénétrer dans le cerveau. 

◾️Glutaraldehyde – Produit chimique toxique utilisé comme désinfectant pour les équipements médicaux sensibles à la chaleur.

◾️Fetal Sérum bovin – Récolté sur des fœtus de bovins (vaches) prélevés sur des vaches enceintes avant l’abattage. 

◾️Human Fibroblastes diploïdes – Cellules fœtales avortées. L’ADN étranger a la capacité d’interagir avec le nôtre. 

◾️African Green Monkey Kidney Cells – Peut être porteur du virus SV-40 cancérigène qui a déjà contaminé environ 30 millions d’Américains. 

◾️Acetone – Peuvent causer des dommages aux reins, au foie et aux nerfs. 

◾️E.Coli – Oui, vous avez bien lu. 

◾️DNA du Circovirus porcin (porc) de type 1

◾️Human cultures de cellules pulmonaires embryonnaires (provenant de fœtus avortés)3) Pourquoi alors cherche-t-on à vacciner à tout prix  la population avec ce poison ? 
Il s’agit en réalité d’une guerre chimique  parce qu’ils nous tendent un piège mortel.
Voici comment:

Ces pseudo-vaccins ont bien été soigneusement étudiés.

Cela a été testé sur des animaux (chats, furets, …)

Les résultats obtenus ont été conformes à 100 % aux objectifs des concepteurs:

tous les animaux sont morts lors de leur exposition au virus sur lequel le pseudo-vaccin à ARNm est basé.

Ces pseudo vaccins de reprogrammation cellulaire sont basés sur un morceau d’un virus particulier.

Cela détruit l’immunité naturelle des « vaccinés » pour ce virus particulier.

La phase suivante est l’injection de cette « mort à retardement » dans la population.

Tant que la personne n’est pas exposé au virus d’origine du pseudo vaccin, tout se passe bien.

Lorsqu' »Ils » voudront tuer les populations « vaccinées », ils leur suffira de diffuser le virus ayant servi de base au traitement ARNm.

Le virus s’introduit alors dans les cellules humaines qui reproduisent le virus sans se défendre.

Ce sera une hécatombe de septicémies foudroyantes.

https://open.lbry.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8

(Les 2’30 » initiales citent le Curriculum Vitae du médecin.)

https://lbry.tv/$/embed/%F0%9F%9B%91-Dr-Lee-Merrit-les-vaccins-ARNm-sont-potentiellement-des-armes-biologiques/3a0e14ae7a73ba40fa6e784e72c6554cd2e7ba3e?r=9KEF4fauTu83eNp3UWTGCWLkrrPHsfug

Le « vaccin » qui tue fait ses preuves

L’heure du choix

Pourquoi une telle indifférence aux enfants, aux étudiants et aux vieillards ?

Médias et réseaux sociaux : abordons les vrais sujets, cessons d’être le bon opposant qui se fait imposer son timing par le pouvoir !

« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez ».

Professeur Denis Rancourt

Saint-Lô. Suspension de la vaccination Astra Zeneca : vingt soignants avec des effets secondaires (lamanchelibre.fr)

Voilà, le nouveau vaccin dont le ministre a fait la pub fait parler de lui et prive les services hospitaliers d’un quart de leur personnel pour syndrome grippal intense. Il semble que la durée d’immobilisation ne soit pas longue, mais néanmoins embarrassante pour les hôpitaux qui ont fait la pub à outrance de ce vaccin anticovid.

Mise à l’écart des généralistes de terrain

Il est aberrant que les généralistes soient exclus du système de prise en charge et que les gens se fassent vacciner sans avoir été examinés par leur médecin généraliste qui connaît leurs antécédents et leurs éventuelles contre-indications, en particulier allergiques. Comme en 2008 avec les vaccinodromes de la grippe H1N1 qui restèrent vides, la volonté d’exclure les généralistes de la prise en charge des malades. Et pourtant, comme de nombreux médecins de terrain tentent de le dire en vidéos multiples, c’est bien le médecin de famille (notion que les médias décrédibilisent en permanence, mais ô combien fondamentale) qui est le pilier de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle que la quatrième révolution industrielle veut  faire disparaître et remplacer par des robots.. Les vrais médecins rencontrent physiquement leurs patients, les examinent, les interrogent avant toute prescription médicale ; et en particulier celle d’un vaccin génique expérimental jamais utilisé auparavant et quasiment pas testé. C’est pourquoi l’injection par une infirmière ou un pharmacien n’est pas acceptable. Un vaccin est un médicament à risques de complications, comme les deux mois écoulés et les vaccinations à la chaîne le démontrent de façon spectaculaire.

Les soldes et les ruées vers les stocks de Nutella chez Lidl ou vaccin, même combat

Cet engouement pour le vaccin en général semble invraisemblable et ne cesse de surprendre. Il évoque les ruées de foules lors des ouvertures des soldes ou bien de promotion sur des baskets Nike ou des lots de Nutella. Pauvre France qui n’écoute pas les messages d’alerte donnés par les pro-vaccins covid eux-mêmes et sur lesquels les habitants se précipitent à l’aveugle. Même les médias racontent comment tel ou tel hôpital arrête ou suspend la campagne de vaccination, le temps que le personnel vacciné soit en état de se remette au travail. Quant aux morts multiples survenues dans des zones jusque-là quasiment indemnes de covid-19, comme Gibraltar ou Monaco, ils n’intéressent pas les médias ni les auditeurs bientôt cobayes eux-mêmes. Lorsque les mathématiques dites modernes ont détruit l’enseignement de la mathématique et de la logique, l’esprit critique a progressivement disparu, transformant des citoyens normaux en moutons avides de téléréalité et de biens de consommation comme le vaccin.

Nous ferions mieux d’évoquer la réforme indispensable et urgente de l’enseignement plutôt que de lire un xième article sur l’activité de l’hydroxychloroquine dont on sait depuis le début de l’histoire qu’elle marche. Et, si on veut en reparler, republier les courbes de survie des pays qui l’ont utilisée (ou des drogues du même type comme l’artémisine à Madagascar. Oui, on sait indubitablement que les traitements précoces fonctionnent et qu’ils sont de plus variés. L’objectif n’est plus de démontrer que la terre est ronde mais bien d’imposer aux gouvernants d’autoriser les docteurs à retrouver leur fidélité au serment d’Hippocrate bafoué.

Les traitements précoces marchent, cela est démontré depuis mars 2020. Les médecins sont interdits de pratiquer la médecine mais autorisés à euthanasier les patients suspects de covid-19 par deux décrets, celui de mars signé Véran et E. Philippe alors Premier ministre, et celui d’octobre par Véran. Le Conseil de l’Ordre poursuit les médecins qui soignent, et ce dans l’indifférence générale. Les écoliers sont gravement maltraités par le port du masque imposé à longueur de journée. Et le discours de panique raconté par leurs enseignants pour se justifier à eux-mêmes leur lâcheté de priver les petits et même très petits des visages de leurs nurses ou de leur institutrice.

Soulignons la maltraitance qui tue les vieux, mais, pire encore, condamne l’avenir des jeunes générations

C’est de ces conséquences dramatiques qu’il faut parler maintenant, afin que cesse la maltraitance imposée par les dirigeants, mais acceptée, voire soutenue, par les syndicats d’enseignants et supportée par les familles dans le confort de l’obéissance aveugle, plutôt que de la résistance à des mesures illogiques, indignes et sans justification médicale.

Les jeunes, de la crèche à l’université, abandonnés

Il faut dénoncer le port du masque et toutes les formes de confinement, supprimer toutes mesures liberticides et donc rouvrir TOUT dès demain.
Et qu’on ne me dise pas qu’ils ne peuvent pas savoir, et croient protéger leur prochain. Des dizaines d’articles internationaux ont exposé en clair l’inutilité du masque (et la seule étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 réalisée par des partisans de cette obligation n’a pas pu en prouver l’efficacité). Et la toxicité constatée du port prolongé tant sur le plan physique que psychologique. Qu’on ne nous dise pas que les enseignants ou leurs parents ne sont pas capables de lire un article du réanimateur belge Pascal Sacré ou du professeur canadien Denis Rancourt qui, dès juillet, expliquaient clairement la mascarade.

À jouer sur les joutes pseudo-scientifiques, sur les essais ou leur absence sur chloroquine ou ivermectine, nous jouons dans leur camp, sur le terrain choisi par les autorités qui veulent cacher l’absence de conséquences de cette pseudo-pandémie dans les pays qui ont choisi de ne pas confiner et de ne pas écouter les ordres de l’OMS et du gouvernement mondial, plus ou moins en place de fait.

Les vieux des EHPAD abandonnés, condamnés par isolement et euthanasie si besoin, et cobayes des vaccins

Et qu’on ne me dise pas que les jeunes sont martyrisés pour protéger les vieux.  Ils sont sacrifiés sans raison sanitaire mais uniquement pour leur faire accepter la dictature et les vaccins. La moyenne d’âge des décès étant de 84 ans, il fallait tenter de masquer la réalité sordide : se débarrasser de quelques vieux (dont Attali répète depuis 20 ans qu’ils devraient se suicider quand ils ne sont plus utiles dès qu’ils sont à la retraite). L’eugéniste Laurent Alexandre répète à loisir et ouvertement qu’il faut utiliser les vieux comme cobayes puisque leur espérance de vie est faible.

La fermeture des bars est arrivée fin février alors que les manifestations contre la réforme des retraites se multipliaient avec moults drames – perte d’œil, etc. Le 29 février aurait dû rester dans les mémoires comme un jour noir. Le Parlement se réunissait pour parler des retraites et cela finit par l’état d’urgence et l’interdiction des manifestations. Oui, les Français ne voulaient pas être vendus à BlackRock et bien pas de problème, le virus servirait de leurre pour détruire la grande majorité des lois qui protégeaient les travailleurs et les aînés seraient maltraités.  Et ce fut fait dans le silence général des politiques de tous bords et des syndicats.

MALTRAITANCE DES AÎNÉS

Maltraitance par isolement, séparation des familles, interdiction des visites des bénévoles, bises à travers un plexiglas lors de la demi-heure parfois autorisée de visites sur ordre vague de confinement, dans l’application plus ou moins violente de directeurs d’ARS et/ou d’Ehpad qui auraient une certaine liberté d’adaptation des mesures carcérales de nos aînés venus finir leur vie dans un établissement convivial (pensaient-ils) de soins. Ils se sont retrouvés dans un univers carcéral, pas encore Guantanamo, mais on y vient avec punitions, rétorsions, si on n’accepte pas le fameux vaccin qui à 95 ans vous assurera un avenir riant des trente prochaines années.

 Raoult l’a dit très tôt ; ils sont devenus fous ! Mais l’étrange est la contagion de la folie plutôt que la révolte. Les nouveaux dictateurs mondiaux sont très forts et leur argument « les autres pays font pareil » est très efficace. On apprend d’ailleurs que des chercheurs anglo-saxons ont été rémunérés pour écrire des articles sur la Suède pour tenter de masquer que la vie normale sans confinement, sans fermeture des écoles ne constituait pas un danger puisque ce pays ne pleure pas plus de morts attribués au Covid-19 que nous.

De même, le gouvernement allemand a fait rédiger un rapport alarmiste par des complices du Robert Koch Institute de Berlin. Oui, l’OMS a proposé à Madagascar 20 millions de dollars pour mettre de petites doses de poison dans leur médicament efficace. Oui, l’OMS a voulu corrompre le Président de Biélorussie par des dizaines de millions de dollars pour instaurer le confinement de son peuple qu’il a heureusement refusé, etc. Toutes ces manipulations sont maintenant démontrées dans un silence encore général des médias mainstream où on tente de faire semblant d’être scientifiques pour démontrer l’efficacité des traitements précoces déjà bien établie, la nocivité des vaccins géniques déjà avérée, au lieu de faire éclater au grand jour les énormes manipulations organisées par les politiques afin de mettre en place leur quatrième révolution industrielle et effacer la civilisation occidentale et aussi de détruire les classes moyennes sur lesquelles repose la démocratie.

Il est temps d’oublier le virus, leurre du véritable objectif, et de bloquer le système destructeur avant qu’il ne soit trop tard.

NE NOUS LAISSONS PAS IMPOSER LES SUJETS PAR LES MÉDIAS

Il faudrait que les psychiatres expliquent quel dérèglement de l’esprit peut amener à vacciner des vieillards de 110 ou 115 ans qui ont résisté à tant de périodes difficiles comme les deux guerres mondiales. Quel est le but ? Les protéger d’un virus en voie de disparition, les faire servir de cobayes, mais il semble bien y avoir plus de volontaires que de vaccins ? Donc, discuter pendant des heures des vaccins, des morts, des effets secondaires et, comme pour la chloroquine ou l’ivermectine, oublier le bilan d’un an de manipulations et de destruction de la médecine, de l’enseignement universitaire, de destruction de 70 ans de protection sociale par les soins et les retraites, et donc de notre système de santé.

Oui les traitements précoces marchent, mais grâce à l’état d’urgence, à l’hystérie et au Plan Blanc, les cancers ne sont plus soignés et les lits d’hôpitaux continuent à fermer sans que la population ne se rebelle. Les ARS – dont la nocivité a été mise en évidence aux yeux de tous lors de cette crise – sont toujours en place avec les pleins pouvoirs pour imposer des tests PCR ou salivaires aux écoliers et fermer les écoles pour un test positif, dont l’OMS et les tribunaux ont déjà jugé l’incapacité à affirmer seuls que les « cas » sont malades ou contagieux. Mais cela, on n’en parle pas, on continue d’être un « bon opposant » discutant des sujets choisis par le pouvoir.

Reprenons la main et abordons les vrais problèmes que sont la fermeture des écoles et universités, les interdictions des visites en Ehpad ou à l’hôpital, le retard aux soins des malades urgents sous prétexte de test PCR positif. Claironnons le malheur des gens dont un proche meurt sans visite, d’accompagnement des dernières heures et même au cimetière.
L’indifférence aux appels de la comédienne Stéphanie Bataille pour l’autorisation des visites hospitalières (de quel droit divin les interdire), l’indifférence à tous les articles sur les souffrances des enfants masqués ou des vieux interdits de bisous doit cesser, si tant est que notre société veuille retrouver un peu d’humanité.

Cessons d’avoir peur d’une maladie qui n’est qu’une grippe sévère (comme l’a été la grippe asiatique de 1958-1959). Retrouvons notre humanité, notre joie de vivre, notre respect réel des vieux et notre plaisir de voir nos jeunes heureux de faire la fête et, à nouveau, de croire en leur avenir. Refusons le confinement et les couvre-feux totalement inutiles et parfaitement suicidaires. Exigeons le respect de nos droits fondamentaux et du premier d’entre eux, la Liberté.

À moins que la société projetée par Klaus Schwab, faite d’obéissance aveugle, ne plaise à la majorité d’entre nous…[1]

Tyrannie mortifère ou liberté, c’est l’heure du choix !

17/02/2021

Par Nicole Delépine


L’heure du choix

Racket « écologique »

Transition écologique, communisme 2.0

Le nouveau gouvernement italien, formé par Mario Draghi (ex élève des jésuites, ex de Goldman-Sachs, ex de la BCE, l’homme du système par antonomase), hérite à son tour d’un ministère de la transition écologique [1]. Qu’est-ce qui se cache derrière ce vocable? Malgré ce que les mots voudraient nous faire croire, la réalité n’a pas grand chose à voir avec l’environnement, encore moins avec les images idylliques de petits oiseaux qui font cui-cui. Un jésuite français (la Compagnie semble décidément très impliquée dans l’écologisme politique, sans que l’on puisse affirmer, toutefois, qu’ils sont à l’origine du concept), le père Gaël Giraud, l’explique dans un livre-manifeste paru en France en 2012, et traduit en italien en 2015 (j’ai trouvé cet article sur le très intéressant site italien Chiesa e post Concilio, qui indique ses sources).

[1] Pour mémoire (wikipedia)
  • En Italie: Le ministère de la Transition écologique a été créé en 2021 « pour la transformation du système de production vers un modèle plus durable, rendant la production énergétique, la production industrielle et les modes de vie des gens moins nocifs pour l’environnement ».
    Le ministère a vu le jour le 12 février 2021, comme élément clé de l’intégration du mouvement 5 étoiles dans la coalition gouvernementale de Mario Draghi après la chute du gouvernement Conte II. Le ministère est issu du département pour la transition écologique et les investissements verts, qui faisait partie du ministère de l’environnement et de la protection du territoire et de la mer
  • En France: Le ministère de l’Écologie, renommé ministère de la Transition écologique et solidaire en 2017, puis ministère de la Transition écologique en 2020, est l’administration chargée de préparer et mettre en œuvre la politique du Gouvernement dans les domaines du développement durable, de l’environnement et des technologies vertes, de la transition énergétique et de l’énergie, du climat, de la prévention des risques naturels et technologiques, de la sécurité industrielle, des transports et de leurs infrastructures et de l’équipement.
    Depuis le 6 juillet 2020, la ministre de la Transition écologique est Barbara Pompili, membre du Gouvernement Jean Castex.

Gouvernement: d’un jésuite, un livre-manifeste sur la transition écologique. C’est le communisme 2.0

Chiesa e post Concilio
14 février 2021
Ma traduction

On parle beaucoup ces jours-ci du ministère de la transition écologique du nouveau gouvernement dirigé par Mario Draghi, en réalité une sorte de ministère de l’environnement. Mais il y a plus. Derrière cette « transition », il y a quelque chose qui n’a rien à voir avec l’environnement et l’écologie et qui a beaucoup à voir avec ce que nous appelons le communisme 2.0 et que d’autres considèrent comme l’appauvrissement de la classe moyenne réalisé par le « Great Reset ».

Un livre-manifeste (Transizione ecologica, la finanza a servizio della nuova frontiera dell’economia, EMI 2015) [2] sur le concept de « transition écologique » a été écrit par un jésuite français, le père Gaël Giraud, ancien banquier. Un aspect qui, aujourd’hui, se rattache singulièrement à la circonstance que Draghi est un ancien élève des Jésuites. Bergoglio est lui aussi jésuite.

La transition écologique signifie donc une société de biens communs dans laquelle le crédit est considéré comme un moyen et non une fin pour mener des réformes qui profitent à tous et sont bénéfiques pour l’environnement: rénovation thermique des bâtiments, modification des pratiques de mobilité, augmentation des taxes pour les pollueurs, en pratique une économie de moins en moins énergivore et polluante… La transition écologique est aux prochaines décennies comme l’invention de l’imprimerie l’est au 15ème siècle ou la révolution industrielle l’est au 19ème siècle – explique Giraud – Soit nous réussissons à déclencher cette transition et nous en parlerons dans les livres d’histoire ; soit nous ne réussissons pas, et peut-être en parlerons-nous dans deux générations, mais en des termes très différents!

Puis vint le Covid 19 et ce projet s’est accéléré.
L’économiste jésuite ajoute:

Si nous pensons que l’Homo sapiens européen vaut plus que l’Homo oeconomicus des marchés financiers, alors il vaut la peine de s’engager sur la voie de la transition écologique ».

Derrière tous ces mots, qui à une lecture superficielle semblerait positifs, il y a en fait un projet criminel de partage qui nie à la racine l’identité de l’homme européen. Il y a quelque chose d’ »amazonien » et de dionysiaque dans cette orgie de « biens communs ». Quelque chose qui nie la culture européenne apollinienne, qui naît précisément du citoyen-propriétaire : parce qu’on ne peut pas séparer le concept de démocratie du concept de propriété. Un homme qui ne possède pas et qui doit tout à quelque chose de « commun » est un sujet.

C’est pour cela qu’ils veulent que vous ne possédiez rien de physique. La concentration des biens et des informations va dans ce sens: dans le sens d’une expropriation de l’individu sans que celui-ci s’en rende compte. La soi-disant « transition écologique » conçue par les jésuites est un autre moyen d’arriver au communisme 2.0.

Pour eux, vous n’avez pas besoin de posséder votre propre maison mais vous devez la louer peut-être à une multinationale qui, par le biais de la titrisation, a volé le patrimoine public. Vous n’êtes pas obligé de posséder une voiture, car vous devez la partager avec un service d’autopartage. Et enfin, vous n’avez pas besoin de posséder d’argent physique. C’est ainsi que l’on asservit les individus, en leur enlevant peu à peu leur liberté et pour « leur propre bien ».

Toutes les révolutions sont nées du désir des propriétaires de ne pas être politiquement dépendants de ce qui est au-dessus d’eux, l’État. Il suffit de penser à la révolution américaine. Mais essayez de protester quand vous ne possédez rien. Les gens qui ne possèdent rien ne font pas de révolutions, mais seulement des émeutes. Et le pouvoir n’a pas peur des émeutes.


[2] Titre original en français: Illusion financière. Des subprimes à la transition écologique. Les Éditions de l’Atelier, Paris 2012

Source benoit et moi 17 Fév 2021 |

Racket « écologique »

Juger les responsables

Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare

17/02/2021

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

À partir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un “populicide” qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.

Juger les responsables

Le virus Gates

Dans la lettre annuelle de la Fondation Bill & Melinda Gates, le co-fondateur de Microsoft demande des milliards de dollars d’investissements pour développer un système d’alerte mondial pour les germes émergents et renforcer la capacité à réagir rapidement.

Bill Gates veut que vous sachiez quelque chose, une autre pandémie arrive et… attendez la suite… il a des informations de pointe qu’il veut partager avec nous tous, petits et pauvres, qui avons fait de lui l’homme le plus riche de la planète.

Nous devons créer un “système d’alerte mondial” pour, vous savez, garder un œil sur des choses, et je suis sûr que ce système mondial sera relié par hasard à l’identification numérique qu’il a créée avec l’Alliance ID2020. C’est un miracle de Noël !

“Et Jacob appela ses fils, et dit : Rassemblez-vous, afin que je vous dise ce qui vous arrivera dans les derniers jours.” Genèse 49:1 (KJB)

Si, à ce stade, vous êtes toujours en train de vous demander qui vous dit la vérité et qui ne vous la dit pas, je vous plains.

Il se passe tellement de choses sur la fin des temps sous vos yeux que le terme “théorie du complot” doit être supprimé de votre vocabulaire.

Ce n’est plus une théorie, c’est réel, c’est en cours et ça se passe. Vous vivez maintenant des événements décrits dans la BIBLE, et peu importe que vous y croyiez ou non.

Le portail a été ouvert et il n’y a pas de retour en arrière. Prêt ou non, vous êtes dans la fin des temps.

Extrait du Seattle Times : Bill Gates sonne depuis longtemps l’alarme sur les dangers de pandémie, notamment dans un discours de TED Talk en 2015 qui a été vu plus de 39 millions de fois.

S’il était facile d’ignorer ces avertissements lorsque la dernière grande épidémie remonte à un siècle, ce n’est plus possible, dit-il.

“Personne n’a besoin d’être convaincu qu’une maladie infectieuse pourrait tuer des millions de personnes ou paralyser l’économie mondiale”.

Les pays riches doivent maintenant multiplier par deux leurs dépenses de recherche et développement, a-t-il déclaré. Cela inclut le travail sur les plateformes de tests “méga-diagnostiques”, qui, selon M. Gates, pourraient permettre le dépistage de plus de 100 millions de personnes chaque semaine.

Ces tests à grande échelle seraient l’épine dorsale du système d’alerte mondial qu’il envisage, où un travailleur de la santé rural en Zambie ou au Bangladesh qui remarquerait une maladie inhabituelle pourrait envoyer des spécimens pour un test rapide et un séquençage génétique.

Il plaide également pour la création d’un corps mondial de 3 000 secouristes spécialisés dans les maladies infectieuses qui se mettraient en action comme les pompiers lorsque de nouvelles épidémies éclatent partout dans le monde et les empêcheraient de lancer des étincelles qui conduiraient à une propagation incontrôlée.

Des simulations régulières s’apparentant à des jeux de guerre – M. Gates les appelle “jeux de germes” – seront essentielles pour que les systèmes de santé et les gouvernements puissent se préparer avec peu d’anticipation.

“La rapidité est importante en cas de pandémie”, a écrit M. Gates. “Plus vite vous agissez, plus vite vous stoppez la croissance exponentielle du virus.”

Les investissements dans la technologie de l’ARN messager ont jeté les bases du développement rapide des deux vaccins approuvés aux États-Unis. Grâce à cet élan, M. Gates prévoit que les “vaccins” à ARNm deviendront plus stables, plus faciles à stocker et plus rapides à produire au cours des cinq à dix prochaines années.

Bien que l’élection présidentielle ne soit pas mentionnée dans la lettre, la Fondation Gates se réjouit sans aucun doute aussi de l’engagement mondial accru du président américain Joe Biden, qui a annoncé que le pays rejoindra l’Organisation mondiale de la santé et contribuera au COVAX Facility – un fonds international destiné à l’achat de vaccins pour les pays à faible revenu.

La lettre note que le dernier programme d’aide du COVID-19 comprend 4 milliards de dollars pour la GAVI, une alliance qui fournit des vaccins aux personnes les plus pauvres du monde. (Source)

Bill Gates demande un “système d’alerte mondial” pour les pandémies https://www.youtube.com/embed/OJtblo12UxIPartage?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

L’eugéniste Bill Gates réclame un « système d’alerte mondial » et une « brigade anti-pandémie » pour faire face à la prochaine épidémie virale dont il nous promet l’arrivée | Aube Digitale

Le virus Gates

L’étau se resserre sur la clique de Davos

10/02/2021

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten, Wieler et Wodarg, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich

Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf
L’étau se resserre sur la clique de Davos

LE PAPE FAILLIBLE

Honorius 1er – Pape de 625 à 638

Le cas du pape Honorius est l’un des plus controversés de l’histoire de l’Église. Comme l’observe à juste titre l’historien de l’Église Émile Amann, dans le long article qu’il consacre à la Question d’Honorius dans le Dictionnaire de Théologie Catholique (vol. VII, coll. 96-132), il faut traiter le problème de façon dépassionnée et avec la « sereine impartialité que doit l’histoire aux actes du passé » (col. 96).

Au cœur du pontificat du pape Honorius qui régna de 625 à 638, il y eut la question du monothélisme, dernière des grandes hérésies christologiques. Afin de plaire à l’empereur byzantin Héraclius, désireux d’assurer la paix religieuse au sein de son royaume, le patriarche de Constantinople Sergius chercha un compromis entre l’orthodoxie catholique, selon laquelle il y a en Jésus-Christ deux natures en une seule personne, et l’hérésie monophysite qui attribuait au Christ une seule personne et une seule nature.

Ce compromis donna naissance à une nouvelle hérésie, le monothélisme, selon lequel la double nature du Christ était mue dans son action par une unique opération et une unique volonté. Il s’agissait d’un semi-monophysisme, mais la vérité est entière ou n’est pas, et une hérésie modérée n’en reste pas moins une hérésie. Le patriarche de Jérusalem Sophronius fut de ceux qui intervinrent avec le plus de force pour dénoncer cette nouvelle doctrine qui rendait vaine l’humanité du Christ et menait au monophysisme, condamné par le Concile de Chalcédoine (451).

Sergius écrivit au pape Honorius pour lui demander qu’« à l’avenir il ne soit permis à personne d’affirmer qu’il y a deux opérations dans le Christ notre Dieu » et obtenir ainsi son appui contre Sophronius. Honorius accéda malheureusement à sa demande. Dans une lettre adressée à Sergius, il affirma que «la volonté de Notre-Seigneur Jésus-Christ était seulement une, du fait que notre nature humaine a été assumée par la divinité» et invita Sophronius au silence.

La correspondance entre Sergius et Honorius est conservée dans les actes du VIème Concile œcuménique (Mansi, Sacrorum conciliorum nova et amplissima Collectio, vol. XI, coll. 529-554) et a été rééditée en latin, grec et français par Arthur Loth (La cause d’Honorius. Documents originaux avec traduction, notes et conclusion, Victor Palmé, Paris 1870 et en grec et allemand par Georg Kreuzer, Die Honoriusfrage im Mittelalter und in der Neuzeit, Anton Hiersemann, Stuttgart 1975).

Fort de l’appui du pape, Héraclius publia en 638 un formulaire doctrinal appelé Echtesis (« Exposition ») dans lequel il imposait la nouvelle théorie de l’unique volonté divine comme religion officielle. Pendant quarante ans, le monothélisme triompha dans l’Empire byzantin. Le plus fervent défenseur de la foi fut à cette époque le moine Maxime, dit le Confesseur, qui prit part à un Synode convoqué au Latran (649) par le pape Martin Ier (649-655) pour condamner le monothélisme. Le pape et Maxime furent tous deux contraints de s’exiler. Maxime, pour avoir refusé de souscrire aux doctrines monothélites, eut la langue et la main droite coupées. Sophronius, Maxime et Martin sont aujourd’hui vénérés comme saints par l’Église pour leur résistance tenace à l’hérésie monothélite.

La foi catholique fut finalement restaurée par le IIIème Concile de Constantinople, VIème Concile œcuménique de l’Église, qui fut réunit le 7 novembre 680 en présence de l’empereur Constantin IV et des représentants du nouveau pape Agathon (678-681). Le Concile condamna le monothélisme et jeta l’anathème sur tous ceux qui avaient promu et favorisé l’hérésie, incluant dans la condamnation le pape Honorius.

Lors de la XIIIème session, qui se tint le 28 mars 681, les Pères conciliaires, après avoir proclamé qu’ils voulaient excommunier Sergius, Cyr d’Alexandrie, Pyrrhus, Paul et Pierre, tous patriarches de Constantinople, et l’évêque Théodore de Pharan, affirment : « Avec eux nous sommes d’avis de bannir de la sainte Église de Dieu et d’anathématiser également Honorius, jadis pape de l’ancienne Rome, car nous avons trouvé dans les lettres envoyées par lui à Sergius qu’il a suivi en tout l’opinion de celui-ci et qu’il a sanctionné ses enseignements impies» (Mansi, XI, col. 556).

Le 9 août 681, à la fin de la XVIème session, furent réitérés les anathèmes contre tous les hérétiques et les fauteurs d’hérésie, y compris Honorius : « Sergio haeretico anathema, Cyro haeretico anathema, Honorio haeretico anathema, Pyrro, haeretico anathema » (Mansi, XI, col. 622). Dans le décret dogmatique de la XVIIIème session, le 16 septembre, il est dit que « comme celui qui dès l’origine fut l’inventeur de la malice et qui, se servant du serpent, introduisit la mort venimeuse dans la nature humaine, ne resta pas inactif, ainsi aujourd’hui encore, ayant trouvé les instruments adaptés à sa propre volonté : nous voulons dire Théodore, qui fut évêque de Pharan ; Sergius, Pyrrhus, Paul, Pierre, qui furent prélats de cette ville impériale ; et encore Honorius qui fut pape de l’ancienne Rome (…); ayant trouvé, donc, les instruments adaptés, il ne cessa, à travers eux, de susciter dans le corps de l’Église les scandales de l’erreur ; et par des expressions inédites répandit parmi le peuple fidèle l’hérésie d’une seule volonté et d’une seule opération en deux natures d’une (personne) de la sainte Trinité, du Christ, notre vrai Dieu, en harmonie avec la fausse doctrine des impies Apollinaire, Sévère et Témiste » (Mansi, XI, coll. 636-637).

Les originaux des actes du Concile, souscrits par 174 Pères et par l’empereur, furent envoyés aux cinq sièges patriarcaux, avec une attention particulière pour celui de Rome. Mais, comme saint Agathon mourut le 10 janvier 681, les actes du Concile, après plus de 19 mois de siège vacant, furent ratifiés par son successeur Léon II (682-683). Dans la lettre envoyée le 7 mai 683 à l’empereur Constantin IV, le pape écrivait : « nous anathémisons ceux qui inventèrent cette nouvelle erreur, c’est-à-dire Théodore de Pharan, Cyrus d’Alexandrie, Sergius, Pyrrhus, Paul et Pierre de l’Église de Constantinople ainsi qu’Honorius qui ne s’efforça pas de maintenir pure cette Église apostolique dans la doctrine de la tradition apostolique, mais a permis par une exécrable trahison que cette Église sans tâche fut souillée » (Mansi, XI, col. 733).

La même année, le pape Léon donne ordre que les actes traduits en latin soient souscrits par tous les évêques d’Occident et que les signatures soient conservées près de la tombe de saint Pierre. Comme le souligne l’éminent historien jésuite Hartmann Grisar, « on voulait par là l’acceptation universelle du sixième concile en Occident, et celle-ci, pour ce que l’on en sait, eut lieu sans difficulté » (Analecta romana, Desclée, Rome 1899, pp. 406-407).

La condamnation d’Honorius fut confirmée par les successeurs de Léon II, comme l’atteste le Liber diurnus romanorum pontificum, et par le septième (787) et le huitième (869-870) Concile œcuménique de l’Église (C. J. Hefele, Histoire des Conciles, Letouzey et Ané, Paris 1909, vol. III, pp. 520-521).

L’abbé Amann juge historiquement indéfendable la position de ceux qui, comme le cardinal Baronio, retiennent que les actes du VIème Concile auraient été altérés. Les légats romains étaient présents au concile : il serait difficile d’imaginer qu’ils puissent avoir été manipulés ou aient mal référé sur un point aussi important et délicat que la condamnation d’hérésie d’un Pontife romain. Faisant référence à ces théologiens tels que saint Robert Bellarmin, qui, pour sauver la mémoire d’Honorius, ont nié la présence d’erreurs explicites dans ses lettres, Amann souligne que ceux-ci soulevaient un problème plus important que celui qu’ils prétendaient résoudre, à savoir le problème de l’infaillibilité des actes d’un Concile présidé par un pape. En effet, si Honorius ne tomba pas dans l’erreur, ce sont les papes et le concile qui le condamnèrent qui se sont trompés. Les actes du VIème Concile œcuménique, approuvés par le pape et reçus par l’Église universelle, ont une portée définitoire bien plus forte que les lettres d’Honorius à Sergius. Pour sauvegarder l’infaillibilité il est préférable d’admettre la possibilité historique d’un pape hérétique plutôt que d’aller se briser contre les définitions dogmatiques et les anathèmes d’un Concile ratifié par le Pontife Romain. C’est une doctrine commune que la condamnation des écrits d’un auteur est infaillible, quand l’erreur est anathématisée avec la note d’hérésie, tandis que le Magistère ordinaire de l’Église n’est pas toujours et nécessairement infaillible.

Au cours du Concile Vatican I, la Députation de la Foi aborda le problème, exposant une série de règles de caractère général qui s’appliquent non seulement au cas d’Honorius, mais à tous les problèmes, passés et futurs qui peuvent se présenter. Il ne suffit pas que le pape se prononce sur une question de foi ou de mœurs qui concerne l’Église universelle, mais il est nécessaire que le décret du Pontife romain soit conçu de façon à apparaître comme un jugement solennel et définitif, avec l’intention d’obliger tous les fidèles à croire (Mansi, LII, coll. 1204-1232). Il existe donc des actes du Magistère pontifical ordinaire non infaillibles car privés du caractère définitoire nécessaire: quod ad formam seu modum attinet.

Les lettres du Pape Honorius sont dépourvues de ces caractéristiques. Elles sont indubitablement des actes du Magistère, mais dans le Magistère ordinaire non infaillible il peut y avoir des erreurs et même, dans des cas exceptionnels, des formulations hérétiques. Le pape eut tomber dans l’hérésie, mais il ne pourra jamais prononcer une hérésie ex cathedra. Dans le cas d’Honorius, comme l’observe le patrologue bénédictin Dom John Chapman OSB, on ne peut affirmer qu’il avait l’intention de formuler une sentence ex cathedra, définitive et obligatoire : «Honorius était faillible, était dans l’erreur, était un hérétique, précisément parce qu’il n’a pas, comme il aurait dû le faire, déclaré avec autorité la tradition pétrinienne de l’Église romaine» (The Condemnation of Pope Honorius (1907), Reprint Forgotten Books, London 2013, p. 110). Ses lettres à Sergius, bien que traitant de la foi, ne promulguent aucun anathème et ne remplissent pas les conditions requises par le dogme de l’infaillibilité. Promulgué par le Concile Vatican I, le principe de l’infaillibilité est sauf, contrairement à ce que pensaient les protestants et les gallicans. Et si Honorius fut anathémisé, expliqua le pape Hadrien II, au Synode romain de 869, « c’est pour la raison qu’Honorius avait été accusé d’hérésie, la seule cause pour laquelle il est permis aux inférieurs de résister à leurs supérieurs et de repousser leurs sentiments pervers » (Mansi, XVI, col. 126).

Se basant précisément sur ces paroles, le grand théologien dominicain Melchior Cano, après avoir examiné le cas d’Honorius, résume en ces termes la doctrine la plus sûre : «On ne doit pas nier que le Souverain Pontife puisse être hérétique, fait dont on peut offrir un ou deux exemples. Cependant qu’(un pape) dans son jugement sur la foi ait défini quelque chose contre la foi n’est pas démontrable, pas même par un seul exemple»(De Locis Theologicis, l. VI, tr. espagnole, BAC, Madrid 2006, p. 409).

Professeur Roberto de Mattei – 29 décembre 2015

Sources : corrispondenzaromana/Traduction Marie Perrin pour LPL

HONORIUS OU LE SILENCE COUPABLE

Donc, un pape peut être hérétique et faillible, surtout s’il n’utilise pas les formes définitoires nécessaires. Cependant dans le cas d’Honorius il est anathématisé pour ne pas s’être efforcé « de maintenir pure cette Église apostolique dans la doctrine de la tradition apostolique, mais a permis par une exécrable trahison que cette Église sans tâche fut souillée » ; ce qui condamne, sans appel, tous les papes de l’après concile qui faillibles ne se sont pas efforcés de maintenir pure la doctrine de la tradition apostolique et qui ont promulgué une nouvelle religion, abusant, de plus, de leur fonction pour le faire. Cela condamne aussi tous ceux qui par leur silence complice, sous prétexte de prudence n’ont pas défendu le dépôt intégral de la foi.

« Les Pères du IVe concile de Constantinople, suivant les traces de leurs ancêtres, émirent cette solennelle profession de foi : «  La condition première du salut est de garder la règle de la foi orthodoxe… On ne peut, en effet, négliger la parole de notre Seigneur Jésus-Christ qui dit : « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église » [Mt 16, 18]. Cette affirmation se vérifie dans les faits, car la religion catholique a toujours été gardée sans tache dans le Siège apostolique. Désireux de ne nous séparer en rien de sa foi et de sa doctrine… nous espérons mériter de demeurer unis en cette communion que prêche le Siège apostolique, en qui réside, entière et vraie, la solidité de la religion chrétienne ». Concile Vatiacna I Pastor Aeternus c.4

LE PAPE FAILLIBLE