Stop à l’anticatholicisme

Les rabbins appellent au retrait de l’église d’Auschwitz – News 24

OSWIECIM, Pologne (Reuters) – Quatre rabbins américains dirigés par Avi Weiss de New York se sont rassemblés dimanche devant une église à côté du camp d’extermination nazi allemand de Birkenau en Pologne, plaidant pour son retrait d’un site où plus d’un million de Juifs ont été assassinés .

Le rabbin Jonathan Leener, le rabbin Ezra Seligsohn, Avi Weiss, le rabbin Shabbos Kestenbaum tiennent des banderoles alors qu’ils assistent à une manifestation pour déplacer une église située à côté de Birkenau, ancien camp de la mort nazi allemand à Brzezinka près d’Oswiecim, en Pologne, le 26 janvier 2020.

Les dirigeants politiques mondiaux se réuniront lundi à Birkenau et dans le camp voisin d’Auschwitz pour marquer le 75e anniversaire de leur libération.

«Cette protestation pour nous fait partie intégrante de la commémoration. Pour qu’il y ait une cérémonie de commémoration sans une expression d’indignation profonde, profonde que l’église est toujours là, cela enverrait un message que nous sommes d’accord avec cela », a déclaré Weiss.

Les rabbins soutiennent que l’église ne devrait pas être sur le site de l’un des plus grands cimetières juifs du monde et qu’elle viole un accord de 1987 entre les cardinaux européens et les dirigeants juifs selon lequel il n’y aura pas de lieu de culte catholique permanent sur le site d’Auschwitz ou les camps de Birkenau.

« Cette église est la plus grande profanation de l’histoire de l’Holocauste« , a déclaré Weiss.

«Sous ce sol, il y a un cimetière … leur sang pleure depuis le sol pour demander justice.»

Les rabbins veulent que l’église soit déplacée ailleurs à Oswiecim.

Dimanche, à la fin de la messe, les rabbins ont tenté d’entrer dans l’église et de parler avec certains des paroissiens, ainsi qu’avec le prêtre. Le prêtre se détourna d’eux. Il n’a pas voulu leur parler et a claqué la porte.

Certains paroissiens ont élevé la voix et exprimé leur mécontentement face à la présence des rabbins, mais ne voulaient pas parler à Reuters.

Weiss a mené une longue et fructueuse campagne dans les années 80 pour obtenir le retrait d’un couvent des carmélites de l’extérieur des terrains d’Auschwitz.
Il avait été installé dans un bâtiment juste à l’extérieur du fil, autrefois utilisé comme réservoir de gaz toxique.

Des Juifs ont été amenés de toute l’Europe à Auschwitz-Birkenau pour y être assassinés pendant la guerre dans le cadre d’une campagne de génocide nazie au cours de laquelle six millions de personnes ont péri. Des dizaines de milliers de Polonais catholiques, dont des prêtres et des résistants, y ont également été torturés et tués.

Reportage de Joanna Plucinska; Reportage supplémentaire par Alan Charlish; Edditing par Giles Elgood
news-24

Note de la rédaction : La secte judaïque ne connait pas le pardon, c’est en cela que l’on reconnait que c’est une secte et non une religion

Stop à l’anticatholicisme

Lutte contre l’anticatholicisme

Commémoration de la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ des dirigeants du monde entier se réunissent à Rome autour du Pape……..en fait non il s’agit de la nouvelle religion :

Commémorations d’Auschwitz. Des dirigeants du monde entier se réunissent en Israël ce jeudi

Une quarantaine de dirigeants venus du monde entier participent, ce jeudi, aux commémorations du 75e anniversaire de la libération du camp de la mort. Le 5e forum mondial sur la Shoah se déroule cette semaine à Jérusalem.

Emmanuel Macron devant le Mur des Lamentations,                     à Jérusalem, le 22 janvier 2020.
Emmanuel Macron devant le Mur des Lamentations, à Jérusalem, le 22 janvier 2020. | AMMAR AWAD / AFP

Vladimir Poutine, Emmanuel Macron, le vice-président américain Mike Pence, le prince Charles : Israël accueille, ce jeudi 23 janvier, une quarantaine de dirigeants pour marquer le 75e anniversaire de la libération du camp nazi d’Auschwitz par l’Armée Rouge et faire front commun contre l’antisémitisme.

Des milliers de policiers et autres forces de sécurité quadrillent Jérusalem pour ces commémorations, présentées comme le plus important rassemblement politique dans l’histoire d’Israël, avec l’arrivée de ténors comme le président russe, son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, Mike Pence ou le président français.

Ce dernier les a précédés mercredi à Jérusalem, où il s’est entretenu avec Benjamin Netanyahu d’antisémitisme et d’Iran. Le Premier ministre israélien considère ce pays comme la principale menace de l’État hébreu car il désire, selon lui, se doter de l’arme nucléaire. Téhéran réfute de telles allégations.

« Je n’aime pas ce que vous avez fait »

Mais le fait marquant de la journée de mercredi demeure la promenade de M. Macron dans la Vieille ville de Jérusalem, où après avoir fait des « selfies » et distribué des poignées de main aux commerçants et touristes, il a eu une altercation verbale avec un policier israélien.

« I don’t like what you did in front of me » (« Je n’aime pas ce que vous avez fait devant moi ») a crié en anglais M. Macron au policier, visiblement pour lui signifier qu’il ne devait pas entrer dans la basilique Sainte-Anne, domaine français dans la Vieille Ville.

Cet incident, à la Une des médias israéliens mercredi soir, rappelle le désormais célèbre « Do you want me to go back to my plane ? » (« Voulez-vous que je remonte à bord de mon avion ? »), prononcé en 1996 par l’ancien président Jacques Chirac à des soldats israéliens qui l’encadraient de trop près dans la Vieille Ville.

Jeudi, le ton doit être à la mémoire de la Shoah et plus précisément de la libération du camp d’Auschwitz, où plus d’un million de Juifs ont été exterminés pendant la Seconde Guerre mondiale, avec des commémorations organisées au mémorial de Yad Vashem, à Jérusalem.

La Pologne absente

Les dirigeants des alliés d’autrefois – les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, la Russie – et de l’Allemagne, alors gouvernée par les nazis, doivent y prononcer les principaux discours.

Andrzej Duda, le président polonais, pays sous occupation nazie pendant la guerre et où était situé le camp d’Auschwitz libéré en janvier 1945, a préféré ne pas participer aux commémorations car il n’avait pas été invité à prononcer un discours lors de la cérémonie.

Le tout se déroule sur fond de tensions avec Vladimir Poutine, qui a récemment accusé la Pologne d’avant-guerre de collusion avec Hitler et d’antisémitisme.

Varsovie craint que M. Poutine, qui doit prononcer deux discours, n’accuse à nouveau la Pologne d’antisémitisme. Et qu’il ne fasse la promotion de sa « politique historique » consistant à faire l’éloge de l’URSS, en faisant oublier son pacte de 1939 avec l’Allemagne nazie.

M. Poutine « parlera de la contribution cruciale de l’Union soviétique dans la victoire contre les nazis, dénoncera les tentatives inadmissibles de falsifier l’histoire et soulignera l’importance de sauvegarder la mémoire historique », a indiqué le Kremlin.

Le président russe doit inaugurer jeudi à Jérusalem un monument en l’honneur des victimes du siège de Léningrad par les nazis, fatal à au moins 800 000 personnes de 1941 à 1944.

Lutte contre l’antisémitisme

Il doit par ailleurs rencontrer la mère d’une jeune Israélienne, Naama Issachar, écrouée en Russie pour trafic de drogue et dont la demande de libération s’impose à la une de la presse israélienne.

Les commémorations de Jérusalem, organisées par Moshe Kantor, un milliardaire israélo-russe jugé proche de M. Poutine, ont pour leitmotiv de s’inscrire dans la lutte contre l’antisémitisme, sur fond d’une recrudescence des actes haineux envers les Juifs en Occident.

Elles interviennent aussi sur fond de débats, souvent intenses, sur l’étendue du concept d’antisémitisme, les autorités israéliennes appelant à ce que les attaques à l’encontre d’Israël soient considérées comme une forme d’antisémitisme.

« L’antisionisme, lorsqu’il est la négation de l’existence d’Israël comme État, est un antisémitisme », a déclaré mercredi Emmanuel Macron, à Jérusalem. « Ce qui ne veut pas dire qu’il deviendrait impossible d’avoir des désaccords, de critiquer telle ou telle action du gouvernement d’Israël », a-t-il toutefois nuancé. Source Ouest-France avec AFP. Publié le

Ressurection Mantegna

Pourquoi les nations s’agitent-elles en tumulte. et les peuples méditent-ils de vains projets?
Les rois de la terre se soulèvent, et les princes tiennent conseil ensemble, contre Yahweh et contre son Oint.
« Brisons leurs liens, disent-ils, et jetons loin de nous leurs chaines « 
Celui qui est assis dans les cieux sourit, le Seigneur se moque d’eux.
Alors il leur parlera dans sa colère, et dans sa fureur il les épouvantera:
 » Et moi, j’ai établi mon roi, sur Sion, ma montagne sainte. « 
 » Je publierai le décret: Yahweh m’a dit: Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui.
Demande, et je te donnerai les nations pour héritage, pour domaine les extrémités de la terre.
Tu les briseras avec un sceptre de fer, tu les mettras en pièces comme le vase du potier. »
Et maintenant, rois, devenez sages; recevez l’avertissement, juges de la terre.
Servez Yahweh avec crainte, tressaillez de joie avec tremblement.
Baisez le Fils, de peur qu’il ne s’irrite et que vous ne périssiez dans votre voie; Car bientôt s’allumerait sa colère; heureux tous ceux qui mettent en lui leur confiance. (Ps 2)

Lutte contre l’anticatholicisme

Écologie humaine

Ludovine de La Rochère : “j’appelle à l’unité tous les opposants au projet de loi de bioéthique”

Ludovine de La Rochère : “j’appelle à l’unité tous les opposants au projet de loi de bioéthique”

Discours de Ludovine de La Rochère prononcé dimanche 19 janvier lors de la manifestation Marchons enfants contre le projet de loi ni bio ni éthique :

Chers Amis,
Aujourd’hui, tous ensemble, immensément nombreux, venus de toute la France, nous sonnons le tocsin !
L’Homme et la Femme sont en danger !
Le projet de loi bioéthique est un projet ni bio, ni éthique. Il est même anti-éthique.
Il résulte, vous le savez, de l’alliance des progressistes, des transhumanistes et du marché.
Qui sont les progressistes ?
Tous ceux qui défendent la PMA sans père et la GPA.
Ils revendiquent ces transgressions au nom de l’amour. Comment osent-ils ? L’amour d’un père, d’une mère, d’un enfant est irremplaçable et ne doit pas être manipulé ni dévoyé.
D’autres ont revendiqué, il n’y a pas si longtemps, déjà au nom de l’amour, d’aimer – soi-disant – qui ils voulaient. Ils sont aujourd’hui rattrapés par leurs funestes égarements et font la une de la presse.

Mais ils ne nous impressionnent pas.
Ils se trompaient il y a 30 ans ; ils se trompent aujourd’hui ; ils se tromperont encore demain.
A nous de les arrêter pacifiquement par la force de nos convictions, par notre détermination, par notre persévérance et notre courage.
Sans cela, que dirons-nous dans 30 ans de ces femmes en mal d’enfants et que la société assiste pour qu’elles puissent enfanter sans père ?
Que dirons-nous dans 30 ans de ces couples qui achètent des enfants dans des pays étrangers en les privant de mère ?
Je dénonce donc les progressistes alliés aux transhumanistes.
Et j’appelle à l’unité tous les opposants au projet de loi de bioéthique.
Il n’est plus l’heure d’être divisé.
La bioéthique n’est ni de droite ni de gauche.
A notre tour de chambouler la vie politique.
Unis, nous gagnerons !
Pourquoi ?
Parce qu’unis, ils nous craindront encore plus et ils reculeront.
Je lance donc un appel solennel à tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté de tous les horizons politiques, syndicaux et philosophiques, pour mener le combat ensemble.

C’est la raison d’être de Marchons Enfants ! qui est au service de la seule cause des enfants et de l’humanité.
Aussi, je m’adresse aux gilets jaunes, aux opposants à la réforme des retraites, à tous ceux qui refusent la politique ultra-libérale du gouvernement.
Nous le savons tous : tout est lié.
Vous luttez contre les dérives de la financiarisation de l’économie, nous aussi.
Vous défendez le droit à vivre dignement, le besoin de liens sociaux et d’une vraie solidarité dans la société : nous aussi. Et précisément, la famille est le 1er lieu de solidarité. Nous défendons le droit de l’enfant à avoir, dans la mesure du possible, un père et une mère. Tout cela est cohérent. S’allier est donc cohérent.
Alors, rejoignez-nous !
Je m’adresse aussi aux écologistes.
La majorité d’entre vous est en réalité logiquement opposée à la PMA sans père et à la GPA.
Certes, c’est un secret bien gardé du parti Europe-Ecologie-Les-Verts.
Pourquoi ?
Parce que depuis les origines, ce sont les minorités progressistes qui dirigent les Verts, par l’intimidation.

Aussi, j’appelle les écologistes à avoir le courage de faire entendre leur opposition au projet de loi. Il contient tout ce que vous combattez : la manipulation du vivant, la technicisation de la reproduction, les excès des multinationales avides de frics. José Bové l’a encore rappelé cette semaine dans une tribune tonitruante dans Le Monde
Il y urgence, c’est maintenant que se joue le destin de l’écologie humaine.
J’appelle également les féministes à l’unité.
Levez-vous contre la PMA sans père. Elle est le cheval de Troie de la GPA, dont les femmes sont les victimes. Nous devons lutter contre la GPA et contre sa reconnaissance en France, mais aussi partout dans le monde. La dignité des femmes n’a pas de frontière.
La PMA sans père elle-même est contre les femmes. En effet, un père, c’est lui qui apprend à son fils le respect de la femme. Et c’est lui qui apprend à sa fille à se faire respecter.
Je rappelle aux féministes que parmi les responsables des violences faites aux femmes que le mouvement # Balance ton porc a révélé, il y a naturellement les progressistes.
Cela fait 50 ans qu’ils nous donnent des leçons. Nous constatons aujourd’hui les conséquences désastreuses de leur idéologie.
Féministes, rejoignez-nous, avant que nous ne soyons toutes perdantes. Il n’est plus l’heure d’être divisées !
Je m’adresse maintenant aux sénateurs.

Historiquement, votre assemblée a souvent eu le courage de s’opposer aux idées progressistes en faisant preuve de sagesse.
Face aux bouleversements contenus dans le projet de loi, je vous exhorte à vous y opposer comme les Français lors des Etats généraux de la bioéthique, comme vous tous le 6 octobre, et encore aujourd’hui.
Mesdames et messieurs les sénateurs, réécrivez entièrement ce texte, et vous rentrerez dans l’Histoire comme ceux qui auront eu le courage de s’opposer aux folies transhumanistes.
Je m’adresse enfin à tous les élus de France, et spécialement aux députés de La République en marche, ainsi qu’au gouvernement.
Vous prétendez faire de la politique autrement, alors montrez-le !
Montrez que vous n’êtes pas des godillots. Montrez que vous êtes non seulement capables de donner la parole aux Français, mais aussi d’en tenir compte.
Ne vous laissez pas intimider par une poignée de députés de votre groupe issus principalement du parti socialiste, qui font régner la terreur dans vos rangs pour obliger les récalcitrants à se taire.
Et souvenez-vous que vous n’êtes pas seuls : de nombreux membres du gouvernement sont opposés à la PMA sans père et à la GPA.
Je lance donc un appel solennel aux ministres et secrétaires d’État opposés à la PMA sans père Edouard Philippe, Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Jacqueline Gourault, Jean-Baptiste Lemoyne, Sébastien Lecornu, ayez le courage de vos opinions, faites honneur à la politique et exigez du Président de la République le retrait de ce projet.
Par ailleurs, solennellement je voudrai dire toute notre gratitude aux députés qui, en octobre dernier ont défendu, pied à pied, article après article, amendement après amendement, nuit et jour, les droits de l’enfant et la filiation.
Je pense à Annie Genevard, Patrick Hetzel, Thibault Bazin, Marc Le Fur, Xavier Breton… Et à d’autres encore, dont certains, étant non inscrits comme Emmanuelle Ménard ou Agnès Thill, n’ont pas eu suffisamment droit à la parole.

Mes chers compatriotes,
Je le redis, il n’est pas trop tard, nous pouvons gagner !
Parce que 83% des Français estiment que l’État doit garantir à l’enfant né par PMA le droit d’avoir un père et une mère.
Parce qu’Emmanuel Macron peut ordonner le retrait de ce projet de loi anti-éthique et sa réécriture complète.
Parce que notre société, déjà fracturée, littéralement en état de pré-insurrection, n’a surtout pas besoin d’un projet qui ferait sciemment des orphelins de père et qui démultiplierait le nombre de familles monoparentales, les plus en difficulté.
Oui, le projet de loi doit être revu, repris de zéro sur des bases entièrement différentes, à commencer par celles du réel, celles de l’éthique, celles du bien commun.

Celles aussi, de la fraternité, de la solidarité avec les générations à venir : parce que là est l’héritage que nous laisserons à nos enfants et aux enfants de nos enfants.
Tout le reste n’est que passager, provisoire, éphémère au regard de l’avenir de l’humanité.
Alors, ne lâchons rien, continuons de nous battre pour gagner. A nous d’écrire l’Histoire.
Vive la paternité !
Vive la maternité !
Vive le fraternité !
Et vive la France !

 

Note de la rédaction : Il est évident que l’homme qui ne craint pas Dieu est incapable de faire de bonnes lois, encore moins des lois « éthiques ». Ne respectant pas les lois divines naturelles et surnaturelles il ne peut que déchoir.Nous sommes ici face aux conséquences morales et matérielles de la Révolution, l’homme livré à l’homme et à ses intérêts, l’homme déshumanisé car définalisé.

CHAPITRE XI. TOUTE VIE VIENT DE DIEU. — LE CRIME EST LA MORT DE L’ÂME

Rien ne vit que par Dieu, car il est la vie par excellence, la source même de la vie; et nulle vie n’est un mal en tant que vie, mais seulement en tant qu’elle court à la mort. Or la vie ne meurt que par l’iniquité nequitia, ainsi appelée de ce qu’elle n’est rien ne quidquam. Aussi les hommes les plus pervers sont-ils appelés des hommes de rien. Par conséquent lorsque la vie s’éloigne volontairement de son Créateur et que renonçant à la contemplation de sa divine essence, elle veut secouer le joug de ses lois et jouir des créatures corporelles au-dessus desquelles Dieu l’a placée, alors commence pour elle le néant : nihilum, nequitia. Non que le corps n’existe plus, il y a encore entre ses différentes parties une harmonie sans laquelle il ne pourrait subsister. Ainsi il a été créé par l’auteur même de toute harmonie. Il y a dans sa forme une paix sans laquelle il n’existerait sûrement pas ; il est donc l’ouvrage de Celui qui est le principe de toute paix, forme incréée et modèle de toute forme. Chaque corps a une beauté propre sans laquelle il ne pourrait être un corps; et si l’on veut savoir qui l’a ainsi distingué, cherchons le plus beau de tous les êtres, Celui de qui vient toute beauté. Or quel est cet Etre, sinon le Dieu unique, l’unique vérité, l’unique salut de tous, la première et souveraine essence de qui procède toute existence réelle, car toute existence est bonne, considérée comme existence.

La mort ne vient donc point de Dieu. « Il n’a point fait la mort et sa joie n’est point dans la perte des vivants. » Essence souveraine il a donné l’être à tout ce qui est; de là même ce mot essence. La mort, au contraire, pousse à n’être pas ce qui meurt, en tant qu’il meurt. Si les êtres qui meurent périssaient tout entiers, ils seraient complètement réduits au néant; mais ils meurent d’autant plus qu’ils participent moins à l’existence, ou, pour parler plus brièvement, ils meurent d’autant plus qu’ils sont moins. Or le corps est inférieur à la vie quelle qu’elle soit, parce que le peu qu’il conserve de ses traits il le doit à la vie, soit à celle qui anime chaque être vivant, soit à celle qui est répandue dans la nature tout entière. Le corps est donc plus soumis à la mort, aussi est-il plus voisin du néant. C’est pourquoi, la vie, qui se laisse séduire parles jouissances du corps et qui abandonne Dieu, court au néant c’est le crime par excellence : nequitia. Saint Augustin De vera religione

Écologie humaine

La folie de l’homme qui ne craint pas Dieu

Alerte : Des chercheurs français ont déjà lancé des travaux modifiant l’ADN humain

Alerte : Des chercheurs français ont déjà lancé des travaux modifiant l’ADN humain

Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune :

Alors que l’examen du projet de loi bioéthique débute ce jour au Sénat, un voile se lève enfin. Des voix se font entendre pour relever « l’enjeu anthropologique »1 qui se joue : la modification irréversible de notre espèce. L’article 17 du projet de loi bioéthique voté par l’Assemblée nationale supprime l’interdit de créer des embryons transgéniques. L’objectif est d’utiliser sur les embryons humains in vitro le ciseau  génétique Crispr-Cas9.

La modification du génome humain sera désormais autorisée et ce en violation du droit international qui interdit de modifier le génome de la descendance2.

Le gouvernement pense rassurer  en précisant que les embryons génétiquement modifiés ne seront pas implantés à des fins de gestation. Cette pseudo limite est une digue de papier.

A l’occasion de l’ouverture du débat au Sénat la fondation Jérôme Lejeune dénonce cette disposition aveugle de la nouvelle loi bioéthique en cours de discussion. Et ce d’autant plus que des chercheurs français expérimentent déjà en toute illégalité depuis plus de 3 ans la modification du génome d’embryons humains livrés à la recherche. Depuis mai 2016, des équipes parisiennes testent sur les embryons humains  la technique dite de la fécondation in vitro (FIV) à trois parents3 avec l’autorisation complaisante de l’Agence de la biomédecine.

La Fondation Jérôme Lejeune a porté à la connaissance de la justice française cette autorisation de recherche. Le contentieux est en cours devant la Cour administrative d’appel de Versailles.

_______________

1 D’après une tribune d’un collectif de personnalités parmi lesquelles Dominique Bourg, José Bové et Jacques Testart publiée par le Monde le 15 janvier 2020, « Loi de bioéthique : « Nous ne voulons pas d’une humanité génétiquement modifiée ! » »

2 Article 13 de la Convention d’Oviedo

3 Cette technique repose sur un transfert de noyaux entre deux embryons. Elle aboutit à créer en laboratoire un embryon humain génétiquement modifié composé de trois ADN. L’ADN nucléaire du premier embryon est transféré dans l’enveloppe d’un autre embryon, énucléé. Il en résulte un embryon nouveau, conçu par les chercheurs, possédant l’ADN nucléaire de l’un et l’ADN mitochondrial de l’autre, et distinct génétiquement des deux premiers. Elle contrevient à la triple interdiction légale de créer un embryon pour la recherche, de recourir au clonage et de pratiquer la transgénèse. Source Le salon Beige

La folie de l’homme qui ne craint pas Dieu

Le CHU qui tue

Si le CHU de Reims a gardé puis tué Vincent Lambert, c’était pour faire un exemple, créer un précédent

Si le CHU de Reims a gardé puis tué Vincent Lambert, c’était pour faire un exemple, créer un précédent

Du Dr Dor dans le dernier numéro de SOS Tout-Petits :

À l’évidence, si le CHU de Reims a gardé puis tué Vincent Lambert, c’était pour faire un exemple, créer un précédent ; comme il en avait été pour l’enfant à naître, il devait en être de même pour l’handicapé gravement atteint mais non en fin de vie. Il fallait rendre l’homicide souhaitable, accessible, légal et même légitime. Ainsi progresse la culture de mort.

À la loi Veil sur l’avortement de 1975 – précédée elle-même par la loi Neuwirth de 1967 – devait correspondre la loi Clays-Léonetti de 2005, révisée en 2016.

C’est ainsi que, à la fin de l’affaire Lambert, le Procureur général près la Cour de Cassation, François Molins, déclarait : « Si vous érigez la vie en valeur suprême, c’en est fini de la loi Léonetti et de la loi Veil ». À la fois un aveu et une menace !

La nouvelle loi autorise la mise à mort du grand handicapé par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation qualifiées de « traitements », arrêt accompagné d’une sédation profonde. Mais comment peut-on qualifier de « traitements » l’eau et les aliments, alors qu’ils sont une nécessité aussi vitale que l’air que l’on respire ? En aucun cas, ils ne relèvent d’un « acharnement thérapeutique » ou d’une « obstination déraisonnable », mais répondent à des besoins et des soins élémentaires.  Et comment une sédation pourrait-elle effacer l’horreur d’une mort provoquée par la soif et la faim ? Mensonge et cruauté !

Victime en 2008 d’un accident de voiture, Vincent Lambert, traumatisé crânien, fut hospitalisé au CHU de Reims en juin 2009. Il était tétraplégique, aphasique avec quelques vocalisations et dans un état pauci-relationnel de conscience minimale… Il respirait normalement, n’ayant jamais été mis sous machine ; bien que pouvant déglutir, une gastrostomie avait été pratiquée – par facilité et mesure de précaution – pour éviter tout risque de fausse route. Il ne présentait pas de trouble cardiaque, ni de trouble digestif ou rénal… Il s’éveillait et dormait, pouvait entendre, comprendre et réagir selon les moments et les stimulations, tourner la tête, cligner des yeux, pleurer… Infirme, son état était stable et sa conscience relative.

Il y eut quatre tentatives d’arrêt d’hydratation et d’alimentation par « procédure collégiale de fin de vie », prévue par la loi Léonetti. La première dura 31 jours, l’eau étant limitée à 200 ml par 24h. La quatrième – et dernière – fut décisive. Vincent Lambert mourut le 11 juillet 2019 après 9 jours d’agonie, plus de 10 ans après son accident.

À la fois politique, familiale, médicale, juridique, éthique, économique, relayée par les médias, l’affaire Vincent Lambert devint une affaire d’État et l’affaire d’État, un crime d’État.

Politique : au sommet et en dernier ressort, le Président Emmanuel Macron, comme avant lui François Hollande, refusa d’intervenir alors que son gouvernement, comme le précédent, était acquis à l’euthanasie. Décision à la Pilate, car il était le seul à pouvoir faire respecter par son ministre de la Santé les mesures conservatoires.

Familiale : on ne saurait trop souligner l’héroïcité et la ténacité des parents de Vincent Lambert, Pierre et Viviane, intervenant sans cesse auprès des médecins et des instances judiciaires, tâche d’autant plus difficile que la famille était elle-même déchirée, la veuve et un neveu de Vincent, partisans acharnés de la mort de leur mari et oncle. Comment ne pas admirer cette parole de Viviane Lambert : « Je prie tous les jours pour le Dr Sanchez », le bourreau de son fils !

Médicale : le CHU de Reims était une prison pour Vincent Lambert. Sa chambre était fermée à clef depuis janvier 2014, les visites très surveillées y compris pour la famille, pièces d’identité exigées, fantasme d’« enlèvement », interdiction de sortie, sauf pour expertise médicale.

La première, à la demande de ses parents, eut lieu à Liège en juillet 2011, qui concluait à un état pauci-relationnel ; la seconde, à la demande du Conseil d’Etat, eut lieu à la Pitié Salpêtrière, à Paris, en avril 2014. Elle concluait à la compatibilité des examens avec un état dit végétatif mais qui devaient être corroborés par une « analyse clinique et comportementale » qui ne sera jamais effectuée.  Quant à la 3ème expertise, réalisée en 2018 par trois professeurs de médecine, elle conclura, sans ambiguïté, au fait que Vincent Lambert n’était pas en situation d’« obstination déraisonnable», ce qui n’empêchera pas le tribunal administratif de Châlons et le Conseil d’Etat de juger qu’il était en situation d’ « obstination déraisonnable ».

L’état de Vincent Lambert nécessitait une surveillance, une rééducation, de l’hygiène, eau et nourriture, ce qui était réalisable dans un centre qualifié ou même au domicile de ses parents prêts à l’accueillir. Plusieurs centres l’avaient accepté. Les médecins du CHU de Reims qui se sont succédés – Dr Kariger, Dr Simon et Dr Sanchez – se sont toujours refusés à tout transfert.

Beaucoup de médecins sont intervenus en sa faveur dont le Dr Ducroq, professeur de neurologie et d’éthique au CHU de Nancy. Choisi par la famille Lambert comme conseiller médical, il dénonçait, en 2013, la procédure collégiale comme une « mascarade », disant que « la décision de mort avait été prise depuis longtemps ».

Juridique : le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction administrative française, et la Cour Européenne des Droits de l’Homme confirmèrent à quatre reprises la décision du CHU de Reims d’arrêter l’hydratation et l’alimentation.

En revanche, d’autres instances judiciaires se sont déclarées en faveur du maintien en vie de Vincent Lambert : le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne – au moins dans ses premières décisions – et la Cour d’appel de Paris.

Le 3 mai 2019, le Comité des Droits des Personnes Handicapées de l’ONU demanda à la France – Etat signataire – de maintenir l’alimentation et l’hydratation de Vincent Lambert. La France n’en tint aucun compte, en violation de ses obligations internationales.

Il faut souligner ici la compétence, la persévérance et le talent des avocats de Vincent Lambert, Me Jérôme Triomphe et Me Jean Paillot ainsi que de certaines institutions judiciaires comme l’European Center Law and Justice de Strasbourg.

Éthique : L’éthique est le fondement de la règle des mœurs. Ici, ce fondement devient évanescent, non plus un roc mais du sable – et du sable mouvant – celui du libéralisme, refusant la loi naturelle et la loi divine, mais adapté aux « avancées » de la technologie, source du progrès. Cette éthique n’est plus que consensus et compromission que voile l’hypocrisie.

Jean-François Delfraissy, Président du Comité Consultatif National d’Ethique, déclare à propos de l’affaire Vincent Lambert :

« Je ne pense pas qu’on puisse prononcer le mot d’euthanasie…. Il ne s’agit pas d’un arrêt mais d’une modulation des soins…»  (Figaro du 21.05.2019)

Le Conseil National de l’Ordre des Médecins présente ses condoléances à la famille Lambert, mais précise :

« Respectueux des procédures en cours, le Conseil National de l’Ordre des Médecins est tenu à la réserve quant à son expression publique. Il tient à apporter aux médecins et à leurs équipes tout son soutien moral et confraternel dans les circonstances difficiles de leur exercice, telles que celles vécues lors de l’accompagnement de M. Vincent Lambert ».

Et que dire de la position de ce même Conseil à propos de l’avortement : « Un médecin ne peut pratiquer une I.V.G. que dans les cas et conditions prévus par la loi ». On ne saurait mieux souscrire à la culture de mort. Un médecin l’est-il encore lorsqu’il tue son patient ? Depuis les Grecs et Hippocrate, le médecin n’avait pas ce droit.

Économique : Pourquoi l’avoir gardé si longtemps alors qu’il aurait pu être soigné à moindre frais dans un établissement spécialisé ou au domicile de ses parents ?

Il y aurait 1.700 patients en France dans la situation de Vincent Lambert. On comprend aisément que le cas de Vincent Lambert soit la solution permettant de couper court à des dépenses prolongées.

Conclusion

Contre nature et contre Dieu l’idéologie mortifère ne cesse de s’étendre : en amont, à la source de la vie : la contraception, l’avortement, la PMA avec ses embryons surnuméraires, la GPA, les manipulations génétiques…  et, en aval, l’handicapé que l’on tue.

Cette tuerie fait partie d’une perspective – la plus terrifiante qui soit – celle de « l’homme augmenté », autrement dit le transhumanisme, suite du péché originel : Dieu n’est plus Dieu. L’homme se fait dieu, il refuse et méprise le salut qui lui est offert.

On aura reconnu la transgression de la Franc-Maçonnerie, à la fois revendiquée et cachée, car ce qu’elle cache est inavouable : le culte de Lucifer avec l’offrande des victimes innombrables de la culture de mort et l’arrachement des racines chrétiennes de notre civilisation.

Tout est fait au nom de la Liberté qui ne reconnaît aucune autorité au-dessus de la sienne, raison pour laquelle, en dehors de toute logique, on peut dire une chose et son contraire.

Ainsi dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ». On affirmera que l’enfant non-né n’est ni un être humain ni une personne avant sa naissance. Il n’est qu’une personne « potentielle » sans protection juridique. Il faut attendre sa naissance, ce qui est proprement absurde et monstrueux.

C’est cette même République Française qui abolit la peine de mort et organise le plus grand massacre de toute son histoire : 10 à 15 millions de victimes depuis la loi de 1975 !

Revenons à l’affaire Vincent Lambert. Quelle religion prescrit d’aimer ses ennemis et de prier pour eux ?

À l’évidence, la Liberté ne peut se passer ni de la Vérité ni de l’Amour.

Source Lesalonbeige

Le CHU qui tue

Un héros victime de la république maçonnique

PÈRE PAUL DONCOEUR : NOUS NE PARTIRONS PAS !!!

PERE PAUL DONCOEUR : NOUS NE PARTIRONS PAS !!! Un prêtre qui aurait été Chouan !

Il y a un siècle.  Depuis le 11 novembre 1918, le Père Jésuite Paul Doncoeur arpente le champ de bataille de 14-18 pour exhumer et inhumer dignement les soldats morts au Champ d’honneur. Et en septembre 1919 il a béni le monument qu’il a érigé et fait ériger pour 147 soldats.

Né à Nantes le 6 septembre 1880 (et déclaré le 8) Paul, Jules, Eugène, Damiette, est le fils de Georges Doncoeur (32 ans), sous-lieutenant au 25ème régiment de Dragons, demeurant Quai Richebourg, et de Léonie Rose Legrez (20 ans) son épouse.

[Le Quai Richebourg n’existe plus depuis le comblement de la Loire entre 1930 et 1941 ; son nom est maintenant Allée du commandant Charcot.]

Son quatrième prénom, Damiette, provient de ce que Saint Louis avait associé aux Doncoeur le nom de cette ville priser par leur ancêtre lors de la 7ème Croisade.

Aîné de huit enfants élevés dans la foi catholique il découvre sa vocation religieuse alors que son père est en garnison à Verdun ; il a onze ans. S’en confiant à son père celui-ci accepte mais exige : « Mon fils je suis d’accord pour que tu serves Notre Seigneur mais à condition que tu sois un saint prêtre. Je ne conçois que de saints prêtres ». Il poursuit ses études chez les Jésuites à Reims. IL entre au noviciat que les Jésuites ont conservé près d’Amiens, à Saint Acheul, malgré les lois d’expulsion Jules Ferry de 1880 mais celles-ci visaient, dans un premier temps, les établissements d’enseignements secondaires et supérieurs.

Mais en 1901 Waldeck-Rousseau, grand démocrate, radical-socialiste et Franc-maçon, fait voter la loi sur les Congrégations et leur expulsion ; sauf à demander leur intégration. Les Jésuites et leur général refusent cet asservissement ; Paul Doncoeur, comme les autres Jésuites, prend le chemin de l’exil et va en Belgique poursuivre ses études. Entre 1901 et 1909 les attaques contre l’Église de France se poursuivent avec l’appui d’un Clemenceau et d’Emile Combes, ancien grand-séminariste (il a reçu la tonsure), radical-socialiste et Franc-maçon. En décembre 1905 c’est la loi de séparation de l’Eglise et de l’État ; qu’il serait plus juste d’appeler Loi de séparation de l’État et de l’Église car l’Église n’a rien demandé et s’est trouvée confrontée à un diktat ![C’est surtout l’asservissement de l’Église à la maçonnerie]

Paul Doncoeur suit, meurtri, ce combat de la Belgique puis de Jersey où les Jésuites ont créé un séminaire florissant à Saint Hellier. Puis il revient en Belgique au séminaire d’Enghien. C’est là qu’il recevra le sacerdoce en 1912.

Le Père Paul Doncoeur rentre en France et s’arrête à Lille où il va à l’évêché solliciter de Monseigneur Alexis-Armand Charost, évêque, la possibilité d’être aumônier militaire. En effet tous les Membres de Congrégations religieuses expulsées sont automatiquement réformés et considérés comme inaptes au combat. Ce qui les différencie des Prêtres-soldats (il serait plus logique de parler de soldats-prêtres car ils ont été mobilisés en tant que citoyens-soldats et non comme prêtres). Le Père Doncoeur va arriver, en forçant, à se retrouver comme aumônier auxiliaire, sans solde. De là il va, à cause des circonstances effroyables de la guerre, se retrouver en première ligne car, ainsi qu’il le disait à Foch, son sacerdoce le plaçait avec les vivants plutôt qu’aux arrières avec les morts.

Affecté à la 28ème compagnie, enfin fait aumônier titulaire à cause de sa bravoure, il subit le feu des combats, va entre les lignes apporter le réconfort de la Foi aux blessés au péril de sa vie ; au service de son sacerdoce. Même une fois, outrepassant sa neutralité d’aumônier, il va, les quatre colonels ayant été tués, le dernier gradé, un commandant blessé, prendre la direction des opérations et ramener les soldats à l’abri !

Son irritation se transformera en révolte lorsqu’il est appelé pour assister un soldat condamné à être fusillé ; non par pour désertion comme cela est écrit mais pour tentative d’assassinat d’un de ses officiers (ras le bol de la tuerie). Ce soldat est totalement mécréant ; dans le peu de temps dont il dispose il arrive à le faire passer du stade indifférent, puis moqueur enfin intéressé. Il lui fera en quelques minutes son éducation religieuse, le baptisera et lui fera faire sa première (et dernière) communion. Tout ce qu’il n’a jamais appris à l’école. Il l’accompagne au poteau puis à genoux près du cadavre il commentera : « Et moi, agenouillé près de lui, je sentis monter dans mon cœur des colères que je n’avais jamais éprouvées de ma vie. Ah ! On m’avait interdit d’enseigner ce petit à l’école et l’on avait eu besoin de moi pour le conduire au poteau ! Bien au-delà de ceux qui défilaient sans paraître comprendre [Selon le règlement, le régiment défile devant le cadavre après l’exécution], mon regard allait chercher ceux qui, embusqués aux arrières confortables, avaient voulu cela. Ceux qui, ayant refusé à ce petit gars de France toute religion, lui avaient interdit toute discipline, toute foi, toute espérance et l’avaient jeté au feu en lui criant : Marche ou crève ! Parce que dans son désespoir ce malheureux sans étoile s’était révolté et s’était jeté sur ses chefs, on l’avait abattu ».
La guerre se termine le 11 novembre 1918. Avec des volontaires qui ont demandé le report de leur démobilisation il va faire le champ de bataille pour retrouver et inhumer dignement ses compagnons de combats. En particulier celui de Wacques, sur le site d’une ferme chèrement défendue et à proximité de laquelle, dans une carrière, à Confrécourt, il a fait sculpter un autel (toujours visible) sur lequel il dira la messe pendant les offensives. A Wacques il va dresser un monument pour les 147 morts retrouvés sur les presque 2.000 tués là quatre ans auparavant et dont les ossements de certains sont à l’air libre.

Il recevra la Croix de guerre avec palmes  et sera fait Chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur à titre militaire (rien à voir avec les chanteurs, les cyclistes, les footballeurs etc.).

Alors, lorsqu’en 1924 le Président du Conseil Édouard Herriot radical-socialiste, franc-maçon qui disait « la politique c’est comme l’andouille, il faut que ça sente la merde mais pas trop » pense expulser à nouveau les Congrégations, l’ancien aumônier des champs de bataille, décoré pour sa bravoure n’en peux plus et écrit une lettre ouverte tonitruante à Herriot :

« Eh bien ! Non nous ne partirons pas. Pas un homme, pas un vieillard, pas un novice, pas une femme ne repassera la frontière, cela jamais ! J’ai vécu douze ans en exil, de 22 à 34 ans, toute ma vie d’homme. Je vous le pardonne. Mais le 2 août 1914, à 4 heures du matin, j’étais à genoux chez mon supérieur. C’est demain la guerre, ai-je dit, ma place est au feu. Et mon supérieur m’a béni et m’a embrassé. Par des trains insensés, sans ordre de mobilisation (j’étais réformé), sans livret militaire, j’ai couru au canon, jusqu’à Verdun. Le 20 août, à l’aube, avant la reprise du combat, à la recherche des blessés du 115ème, j’avançais au-delà des petits postes, quand tout à coup, je fus enveloppé par le craquement de vingt fusils, et je vis mon camarade étendu de son long, contre moi, sur la route, la tête broyée. J’ai senti à ce moment que mon cœur protégeait tout mon pays. Jamais je n’avais respiré l’air de France avec cette fierté, ni posé mon pied sur sa terre avec cette assurance.

« Je ne comprends pas encore comment je ne fus pas tué alors, ni vingt fois depuis. Le 16 septembre, j’étais prisonnier devant Noyon, en plein combat ; en novembre, j’étais de nouveau en France et en décembre je retrouvais le feu avec la plus belle des divisions, la 14ème de Belfort. Avec elle, je me suis battu trente mois, jusque devant Mézières, le 11 novembre 1918. J’ai été trois fois blessé, je garde toujours sous l’aorte un éclat d’obus reçu dans la Somme… et, démobilisé, j’ai commis le crime de rester chez moi… Et maintenant vous me montrez la porte !

« Vous voulez rire M. HERRIOT ! Mais on ne rit pas de ces choses. Jamais, pendant cinquante mois, vous n’êtes venu me trouver, ni à Tracy-le-Val, ni à Grouy, ni à Souain, ni au fort de Vaux, ni à Brimont, ni à la Côte 304, ni à Tahure. Je ne vous ai vu nulle part me parler, et vous osez me faire sortir aujourd’hui ? Vous n’y pensez pas ! Ni moi, entendez-vous, ni aucun autre (car tous ceux qui étaient en âge de se battre se sont battus), ni aucune femme, nous ne reprendrons la route de Belgique. Cela jamais ! Vous ferez ce que vous voudrez, vous prendrez nos maisons, vous nous ouvrirez vos prisons – il s’y trouve en effet des places laissées libres par qui vous savez – soit ! Mais partir comme nous l’avons fait en 1902 ? Jamais !

« Nous avons aujourd’hui un peu plus de sang dans les veines, voyez-vous, et puis, soldats de Verdun, nous avons appris aux bons endroits ce que c’est que de s’accrocher à un terrain. Nous n’avons eu peur ni des balles, ni des gaz, ni des plus braves soldats de la Garde ; nous n’aurons pas peur des embusqués de la Politique. Et je vais vous dire maintenant pourquoi nous ne partirons pas. Ce n’est pas de courir au diable qui nous effraie. Nous ne tenons à rien, ni à un toit, ni à un champ. Jésus-Christ nous attend partout et nous suffira toujours au bout du monde. Mais nous ne partirons plus parce que nous ne voulons plus qu’un Belge, ou qu’un Anglais, ou qu’un Américain, ou qu’un Chinois, ou qu’un Allemand, nous rencontrant un jour loin du pays, nous pose certaines questions auxquelles nous répondrions, comme jadis, en baissant la tête : « La France nous a chassés ». Pour l’honneur de la France – entendez-vous ce mot comme je l’entends ? – pour l’honneur de la France, jamais nous ne dirons plus cela à un étranger. Donc nous resterons tous. Nous le jurons sur la tombe de nos morts ! ».

Prêtre, oui, convaincu, totalement, mais aussi homme, vraiment catholique ! Comme on dirait maintenant : il en avait !

PERE PAUL DONCOEUR : NOUS NE PARTIRONS PAS !!! Un prêtre qui aurait été Chouan !
Un héros victime de la république maçonnique

Le secours qu’il nous faut

Note de la rédaction : Même si l’on ne partage pas la »dévotion »envers Marthe Robin, il n’en reste pas moins que l’on ne va à Jésus que par Marie, et qu’en nos temps mauvais, il est plus que raisonnable de faire appel à Celle qui a écrasé la tête du démon sous son pied, et qui a manifesté si souvent sa prédilection pour notre pays.

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Secours des catholiques OPN

Le secours qu’il nous faut

Nier les racines chrétiennes de la France c’est nier le réel

Un point rouge sur la carte = une des 20 808 villes d’Europe dont le nom contient le mot « saint » (ou « san », « santa » etc.)En première position, la France regroupe près de 43% des toponymes saints en Europe avec près de 9 000 occurrences.Sur un total d’environ 35 000 communes, soit quasi une sur 4 !Puis vient l’Espagne avec plus de 4 000 occurrences, mais avec une répartition spatiale moins homogène : les « villes saintes » se situent surtout en Galice et au nord-est de la Catalogne.(plus de 20% du total européen pour l’Espagne quand même !)Vient ensuite l’Italie, avec une répartition plus homogène qu’en Espagne bien qu’on observe quand même une concentration plus importante en Vénétie et dans la vallée du Po, alors que la Sicile semble bien moins concernée !Plus de 2 500 villes pour 12% du total européen !

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Les révolutionnaires/républicains — par haine de la chrétienté et des traditions — avaient renommé toutes les communes de France comprenant le mot « saint ».

Nier les racines chrétiennes de la France c’est nier le réel

La Dévotion des Premiers Samedis du mois

N-D en prière

Une réparation offerte au Cœur Immaculé de Marie.

1. La grande promesse de Notre Mère de Fatima.
A Fatima le 13 juillet 1917 Notre Mère a dit: « vous avez vu l’enfer, vers lequel vont les âmes des pauvres pécheurs. Dieu veut les en protéger, et il veut propager dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si on fait, ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes seraient préservées de l’enfer, et la paix régnerait ».
« Je viendrai, pour demander la consécration de la Russie à Mon Cœur Immaculé et pour demander la communion réparatrice les premiers samedis du mois. Si mes désirs étaient exhaussés, la Russie se convertirait et la paix régnerait. Si non, irréligieuse, elle propagerait ses enseignement pernicieux dans le monde entier, en provoquant des guerres et de persécution contre de l’Église. Les bons seront martyrisés, le pape aura beaucoup à souffrir. Plusieurs pays seront anéantis, mais à la fin ce mon Cœur Immaculé triomphera ».
Sept ans après la fin des apparition à Fatima, Notre Mère a permis à sœur Lucie de révéler le contenu de la deuxième partie de secret de Fatima. Son sujet c’était la consécration au Cœur Immaculé de Marie. Le 10 décembre 1925, Notre Mère est apparue à Lucie avec l’enfant Jésus et le cœur entouré par des épines:
L’enfant Jésus a dit: « Ayez compassion du Cœur Immaculé de Marie entouré par des épines et blessé par l’ingratitude des gens ingrats, et il n’y a personne qui par l’acte de réparation puisse les retirer ».
Marie a dit:
« Ma fille, regardez, mon Cœur entouré par des épines qui me blessent du fait des blasphèmes et des infidélités des gens. Au moins vous, essayez de me donner de la joie et dites à mon nom que j’arriverai à l’heure de la mort avec les grâces nécessaires pour ceux qui cinq mois consécutifs, les premiers samedis, se confesseront, recevront la communion, diront le chapelet et pendant un quart d’heure réfléchiront sur les quinze mystères du rosaire en m’accompagnant dans une intention de réparation.

2. Pourquoi cinq samedis pour l’expiation, et non pas neuf ou bien sept en l’honneur de Notre Mère des Douleurs?

La sœur Lucie raconte: « En restant pendant la nuit du 29 au 30 mai 1930 dans la chapelle avec Notre Seigneur et parlant avec Lui des quatrième et cinquième questions, je me suis sentie plus fortement entourée par la présence de Dieu. Si je ne me trompe pas, on m’a révélé ce qui suit: Ma fille, le motif est simple: il y a cinq outrages et blasphèmes proférés contre le Cœur Immaculé.
Premièrement: Les blasphèmes contre l’immaculée conception.
Deuxièmement: contre Sa virginité.
Troisièmement: contre sa maternité divine, quand on la reconnait seulement comme la mère de l’homme.
Quatrièmement: les blasphèmes de ceux qui implantent ouvertement dans les cœurs des enfants, l’indifférence, le mépris et la haine pour la Mère Immaculé.
Cinquièmement: les blasphèmes de ceux qui vilipendent directement sur ses images saintes.
C’est ma chère fille, le motif qui a obligé le Cœur Immaculé de Marie de Me demander cet petit acte d’expiation. Je voudrais par ce geste mettre en jeu ma miséricorde, pour qu’elle puisse pardonner à ces âmes qui m’ont insulté. Pour votre part, poursuivez avec vos prières et sacrifices, pour me supplier d’accorder à de ces pauvres âmes ma miséricorde ».
Jésus a dit à sœur Lucie: « c’est vrai, ma fille que plusieurs âmes commencent mais il y en a peu qui finissent et celles qui finissent, ont pour son but recevoir des grâces promises. Moi je préfère davantage ceux qui feront les cinq premiers samedis du mois à titre d’expiation envers le Cœur Immaculé de Marie votre Mère Céleste, que ceux qui en feront quinze sans engagement et avec indifférence ».

3. Des conditions de la dévotion des premiers samedis du mois – ce qui est demandé, pour accomplir cette dévotion?

Condition 1 – la confessions le premier samedi du mois.
Lucie a présentée à Jésus les difficultés, qui ont eue les âmes avec la confession le samedi et demandait que la confession sainte soit valide sur huit jours. Jésus a répondu: « elle peut être valide durant cette période et même plus à la condition que les gens en état de grâce, quand ils me recevront aient le désir d’expier les offenses faites au Cœur Immaculé de Marie ».
La confession peut être effectuée par exemple au cours du premier vendredi du mois en ayant à l’Esprit l’intention de réparation les blessures du Cœur Immaculé de Marie.
A la confession – c’est ce qui est essentiel – il faut aller avec l’intention d’expier pour les insultes au Cœur Immaculé de Marie. On peut méditer sur cette intention pendant la préparation à la confession et pendant de réception de l’absolution.
Avant la confession on peut dire celle prière ou pareille.
Mon Dieu, je veux me présenter au Saint Sacrement de la confession, pour recevoir le pardon des péchés commis, particulièrement pour ceux que j’ai commis consciemment ou inconsciemment en occasionnant la souffrance au Cœur Immaculé de Marie. Que cette confession supplie aussi la miséricorde pour les pauvres pécheurs, afin que le Cœur Immaculé de Marie Triomphe parmi nous.
On peut aussi pendant la réception de l’absolution dire l’acte de contrition.
Soit miséricordieux pour moi pécheur, pour mes péchés contre le Cœur Immaculé de Marie et ceux du monde entier.

Condition 2 – la communion du premier samedi du mois.
Après avoir reçu la sainte communion, il faut éveiller l’intention de réparer. On peut dire celle prière ou une autre semblable.
O Vous La plus vénérable Vierge, Mère de Dieu et ma Mère! En m’unissant avec votre fils, je désire vous offrir une compensation pour mes péchés et ceux de tant de gens contre votre Cœur Immaculé. Malgré ma pauvreté et mon incapacité je veux faire tout ce que je peux pour expier les insultes et les blasphèmes. Je souhaite ô Vierge, vous vénérer et aimer de tout mon cœur. C’est ce Dieu attend de moi. Et justement parce que Je Vous aime, je ferai tout ce qu’il est en mon pouvoir pour que vous soyez vénérée et aimée par tous. Et vous, Mère très chère, Refuge des pécheurs, daignez accepter cet acte de l’hommage, que je vous offre. Acceptez le aussi comme un acte de réparation pour ceux qui ne savent pas ce qu’ils disent dans leur méchanceté pour dire du mal de vous. Obtenez de Dieu pour eux le repentir, afin que par la grâce donnée, et plus encore votre bonté maternelle de puissance et de miséricorde soient en outre mis en évidence. Qu’ils nous rejoignent et rendent hommages à votre sainteté et votre bonté, proclamant que vous êtes bénie entre toutes les femmes, Vous la Mère de Dieu, dont le Cœur Immaculé continue à manifester un tendre amour pour chaque être humain. Amen.

Condition 3 – Dire la rosaire (une partie cela vaut dire un chapelet) au cours du premier samedi du mois.
En commençant le chapelet il faut éveiller une intention pour expier, et dire à sainte Marie que nous allons prier pour sauver les pécheurs et par cela lui donner la preuve de l’amour éprouvé.
Si nous prions seules, essayons de le faire avec nos propres mots. Si nous disons le chapelet ensemble dans la communauté, on peut dire la prière qui suit:
Reine du Rosaire. Ici, nous nous mettons à genoux pour prier, en ce premier samedi pour dire le Rosaire, comme vous l’avez demandé. Nous voulons par cette prière, prier pour réparer des péchés les nôtres, ceux de nos parents, de nos pays et du monde entier. Nous voulons prier spécialement pour ceux qui ne croient pas en Dieu, et qui ont le plus besoin de sa miséricorde. Aidez-nous à expier à propos de cette intention que vous avez désignée. Aidez-nous à expier par notre rosaire les souffrances de votre Cœur Immaculé et Sacré-Cœur de Jésus.
Après chaque mystère du rosaire il faut dire la prière de l’ange de Fatima ;
O mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l’enfer, et conduisez toutes les âmes au ciel et aidez particulièrement ceux qui ont le plus besoin de ta miséricorde.

Condition 4 – une réflexion qui dure un quart d’heure sur des mystères de rosaire premier samedi du mois.
Nous prenons 15 minutes de réflexion sur le thème qui est donné par la dizaine de caque chapelet:
Nous devons nous pencher sur un ou les quelques mystères de rosaire. Nous pouvons penser au mystère choisi, et aussi aux mystères de la lumière.
Éveillons notre intention de réparation pour des pécheurs, qui ne veulent pas écouter notre Mère et ne veulent non plus être ses enfants, qui montrent à Marie leur indifférence et même la haïssent, cherchant diminuer sa gloire.
Nous pouvons dire à cette intention la prière qui suit;
Je me réjouis de votre invitation à participer, à cette méditation. Le premier samedi Vous ouvrez votre Cœur Immaculé à toute personne qui veut verser dans son cœur les signes que Dieu nous a montré à Fatima. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur pour moi. J’ose le demander en toute humilité, mais avec une audace enfantine, parce que je veux vous suivre, parce que je veux vivre l’amour de votre Fils, parce que je veux être toujours en état de grâce et que je veux respecter votre saint Rosaire, et enfin – parce que je veux tout ce que je peux offrir dans un esprit de réparation pour les pécheurs. Donnez-moi de participer à votre méditation, et je promets de mettre en œuvre la parole qui sera versé dans mon petit cœur en deviendra plus doux pour Vous, plus proche de Vous, qui ressemblera davantage à votre Cœur Immaculé. Et si vous voulez, vous pouvez toujours prendre mon cœur et me donner le vôtre – comme vous avez fait avec vos enfants de Fatima. Alors je serai l’âme la plus heureuse du monde!

4. Si quelqu’un ne peut pas remplir des conditions le samedi, peut-il les remplir le dimanche?

La sœur Lucie répond : « Oui, la pratique sera acceptée aussi le dimanche qui suit le premier samedi, si mes prêtres à cause d’une juste raison en donnent la permission.

5. Quels sont les avantages: qui étaient promis à ceux qui au moins une fois le font?

« Aux âmes qui par ce moyen voudront expier – rappelle Jésus lui-même – disait Notre Mère de Fatima – je promets de les accompagner à l’heure de la mort avec toutes les grâces nécessaires pour leur salut.

6. L’intention de réparation.

Combien importante est l’intention de réparation, rappelle Jésus lui-même, qui a dit à sœur Lucie, que la valeur de la dévotion est conditionnée ou fait dépend que les gens « aient envie d’expier à l’intention du Cœur Immaculé de Marie ». C’est pourquoi la sœur Lucie commence ses écritures avec une remarque: « n’oubliez pas l’intention de réparation, qui est une élément très important des premiers samedis ».

7. Les conditions sont simples, mais si elles sont remplies, elles portent fruits.

« Si l’on fait ce que je vous dis, plusieurs âmes seraient sauvées, la paix règnerait dans le monde. La guerre finirait » – dit notre Mère. Il faut accomplir ce que le Ciel demande. La demande de Marie concerne quatre conditions, donc il faut les remplir tous les quatre et non pas seulement celles que l’on veut. Si l’on parle de l’intention de réparation au Cœur Immaculé de Marie, donc il faut y penser pendant la dévotion des premiers samedis. Notre Mère demande une accompagnement de 15 minutes en contemplant les mystères de rosaire. Par suite n’oublions pas la méditation, dont le sujet est très précis et il n’y a où l’on puisse faire comme on veut. D’ailleurs notre Mère demande non pas seulement le rosaire mais la méditation donc rappelons nous bien qu’il ne s’agit pas d’identifier les considérations avant chaque dizaine du rosaire avec la médiation sur l’ensemble des mystères de rosaire. Rappelons: la méditation, qui est indépendant de la prière du chapelet, est essentielle et on ne peut pas l’éviter.

La Prière de l’Ange de Fatima.

O mon Dieu, je crois, Je vous adore, j’espère et je  vous aime,
Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas,
Qui ne vous adorent pas, qui n’espère pas et qui ne vous aiment pas.

Lire la suite « La Dévotion des Premiers Samedis du mois »

La Dévotion des Premiers Samedis du mois

Réinventer l’Alliance Éducative Mondiale

Mère Miriam a voulu dire : « Ce que fait le Pape François est démoniaque »

Mère Miriam de l’Agneau de Dieu, la fondatrice des Filles de Marie, Mère de l’Espérance d’Israël, à Tulsa, Oklahoma, a commenté le 16 septembre le « Pacte mondial » de François pour un « Nouvel Humanisme » (séquence vidéo anglaise ci-dessous). Mère Miriam est de naissance juive.

François invite les responsables religieux et politiques à signer ce pacte au Vatican le 14 mai. Pour Mère Miriam, c’est « une tentative de contrôler la population mondiale ». Ce serait destructeur et immoral ».

L’événement de François a pour thème « Réinventer l’Alliance Éducative Mondiale« . Il réunira des organisations internationales et des religions diverses.

Mère Miriam souligne que le Christ n’a pas d’alliance avec Bélial, qui est le diable :  » Et maintenant, nous le faisons. Il est prévu que l’Église et le Pape le fassent. »

Le but est d’éduquer les jeunes en matière de « maison commune ». Mais Mère Myriam soutient que c’est « la maison commune du diable ».

Le même objectif était déjà prévu par les communistes, il y a cent ans, affirme-t-elle. Ils ont échoué aussi à cause des catholiques fidèles :  » Maintenant, le mal est entré dans l’Église. Ce mal a été emmené par le Pape lui-même et la hiérarchie. »

La religieuse craigne que les plans concernant un « village éducatif » tentent de « détruire une fois pour toutes la famille et la race humaine ». Pour elle, « c’est démoniaque ».

Le 3 janvier, Mère Miriam s’est excusée pour sa déclaration : « Ce n’était pas une bonne idée de commenter sans être préparée. »

Elle a expliqué qu’elle n’a pas appelé François démoniaque, mais seulement ce qu’il fait et ce qui se passe. Mère Miriam regrette de n’avoir pas été assez prudente et s’excuse pour les dommages causés,

« Je suis terriblement désolé pour le podcast. Est-ce que je pense ce que j’ai dit ? Eh bien, je pensais ce que j’ai dit. Mais ce n’était pas prudent. Ce n’était pas bien dit. Ce n’était pas préparé. »

Dans l’Église de François, il ne devrait pas être grave d’utiliser le mot « démoniaque » car des partisans de premier plan de François nient l’existence du diable sans être réprimandés.

 

Réinventer l’Alliance Éducative Mondiale