Dieu approuve-t-il les nouveaux rites ?

Mgr Williamson : Seul Dieu peut produire des miracles eucharistiques…dans le novus ordo

DE MAUVAIS PASTEURS ?

30 septembre, 2023

Numéro DCCCXLVI (846)

Nous voulons naviguer sur des mers sans danger,
Mais Dieu veut du gros temps pour pouvoir nous juger.

Lorsque certaines questions reviennent, il faut redonner certaines réponses. Dès le début du mouvement Traditionaliste, peu après Vatican II, la question de l’assistance ou non à la Nouvelle messe du pape Paul VI s’est posée : « Si elle n’est pas nécessairement invalide, si elle peut être valide, pourquoi ne puis-je pas y assister ? » Et dès le début, conformément à la théologie catholique de la Messe, les traditionalistes ont répondu que même si la matière, la forme et l’intention sont correctes, donc que la célébration de la Nouvelle messe est valide, néanmoins le fidèle ne peut pas y assister normalement. Car cette messe est tellement empoisonnée par la nouvelle religion humaniste de Vatican II que beaucoup de catholiques qui y assistent régulièrement risquent de perdre leur foi, en s’exposant à rien de moins qu’une fausse version de Dieu, de l’homme, du péché et de la Rédemption. La messe traditionnelle est centrée sur Dieu, la nouvelle messe est centrée sur l’homme.

Cependant, ces dernières années, certains ont prétendu qu’il était acceptable de participer à la nouvelle messe, alléguant un certain nombre de miracles eucharistiques survenus, comme celui de Sokolka en Pologne en 2008, avec une hostie consacrée lors d’une nouvelle messe célébrée par un prêtre ordonné selon le nouveau rite par un évêque lui-même sacré dans le nouveau rite. Or les traditionalistes ne se contentent pas d’affirmer que les trois nouveaux rites (messe, ordination et consécration) ne sont pas nécessairement invalides, ils peuvent même le démontrer. Mais dans le cas de beaucoup de ces prétendus miracles eucharistiques, ils se heurtent à la preuve physique (réelle) que la transsubstantiation a bel et bien eu lieu. Prenez le livre de 279 pages récemment publié par la Sophia Institute Press, A Cardiologist Examines Jesus (« Un cardiologue examine Jésus »), dans lequel un cardiologue professionnel expose « la science étonnante qui se cache derrière les miracles eucharistiques ». Un esprit sain qui a examiné cette ‘science’ ne peut que s’appuyer sur elle. Le livre traite de Sokolka pages 81 à 95. Deux des 27 planches photographiques du livre proviennent de Sokolka.

Avec de telles preuves, nous devons supposer qu’au moins un certain nombre de ces prétendus miracles eucharistiques sont authentiques. L’argument en faveur de la nouvelle messe prend alors la forme suivante : Si la nouvelle messe est aussi offensante pour Dieu et aussi néfaste pour les catholiques que le prétendent les traditionalistes, alors comment Dieu (qui Seul peut produire les preuves de tels miracles) en aurait-Il pu accomplir lors de la nouvelle messe ? Et comment est-il possible qu’il soit mauvais pour moi d’y assister ? La réponse n’a pas changé. Tout ce que les preuves physiques apportent, c’est de prouver au-delà de tout doute possible que la transsubstantiation s’est réellement produite à la Messe où le miracle a eu lieu. La question qui se pose est alors la suivante : un Dieu aimant peut-Il vouloir empoisonner la foi de ses propres brebis ?

La réponse est classique. Dieu ne veut pas le mal, mais Il veut permettre le mal afin d’en tirer un plus grand bien. En l’occurrence, le mal est l’exposition des âmes catholiques au poison humaniste qui menace leur Foi. Or ce mal a été voulu par les hommes d’Église infidèles qui ont changé le rite de la messe, mais il n’a pas été voulu par Dieu. Car ce que Dieu voulait, c’était rappeler à Ses pasteurs (les évêques) et à Ses brebis (les laïcs) que la Messe est le véritable Sacrifice de Son Fils, et que les uns et les autres doivent cesser de se comporter comme si la Messe n’était qu’un pique-nique amélioré. À Sokolka, par exemple, le curé de la paroisse au moment du miracle et pendant plusieurs années ensuite, déclare que la dévotion à la Sainte Eucharistie a notablement augmenté à partir du miracle dans toute la région de Sokolka. L’hostie miraculeuse est maintenant exposée à l’adoration dans une chapelle latérale de l’église paroissiale.

Ainsi, le Bon Dieu déteste ce qu’un ramassis de clercs et de laïcs ont fait à son Église au cours des âges, à commencer par Judas Iscariote, mais Il veut remettre son Église infiniment précieuse entre les mains de clercs ayant le libre-arbitre. Ceux-ci peuvent donc mériter leur Ciel par la manière dont ils la servent, au risque de démériter en la servant mal ; et Dieu veut permettre à ses brebis d’avoir de mauvais bergers si c’est ce qu’elles méritent, afin qu’elles souffrent et se remettent ainsi à la recherche de bons pasteurs. Mais Il ne laissera jamais ses agneaux sans chef, si elles veulent aller au Ciel. Voyez comment Il nous a donné Mgr Lefebvre pour être le pionnier du retour à la Tradition, et maintenant Mgr Viganò qui donne l’exemple du courage en disant la Vérité catholique à un pouvoir anti-catholique apparemment insurmontable.

Kyrie eleison.

De MAUVAIS PASTEURS ? | St. Marcel Initiative

Note de la rédaction : Le seul hic, c’est que cela détruit la structure de la Sainte Église. Mgr Lefebvre a préservé la Sainte Messe, les sacrements certainement valides, la bonne doctrine….mais il n’était pas pape, et tout cela relevait de la mission de Pierre. Mgr Vigano dénonce avec justesse le « sanhédrin » occupant, mais de même il n’est pas pape. Que ce soit les brebis qui soient obligées de cher un bon pasteur est contraire à l’institution de la Sainte Église……Ajoutons que ces miracles servent de preuves à la validité des ordres modernistes réformés, donc approuvent en quelques sorte les changements de rites, c’est un grave problème.

Dieu approuve-t-il les nouveaux rites ?

Le « pape » qui oublie de défendre les catholiques

Mgr Vigano au sujet de la guerre en Arménie : « Où est le pétulant Bergoglio ? »

Mgr Vigano 27 septembre 2023 :

« Le peuple arménien, persécuté pendant des siècles par l’Islam et les communistes à cause de sa foi, est une fois de plus la cible d’un remplacement ethnique brutal. Des milliers d’Arméniens quittent leur pays, chassés de leurs foyers, considérés comme des étrangers dans leur pays.

Où est la communauté internationale ? Communauté, toujours prête à accueillir des migrants islamiques en âge de servir, fuyant les zones de guerre ou finançant une guerre par procuration en Ukraine sous prétexte d’invasion russe ? Où est le pétulant Bergoglio, selon qui aucun remplacement ethnique n’a lieu ?

J’en appelle aux institutions de tous les pays à agir rapidement en apportant aide et protection aux Arméniens, en ouvrant un couloir humanitaire pour les accueillir et surtout en prenant une action diplomatique immédiate afin que les exilés puissent rapidement rentrer chez eux.

J’invoque l’intercession de Saint Grégoire l’Illuminateur, patron de l’Église apostolique arménienne, afin qu’il protège les catholiques persécutés et les confirme dans le témoignage héroïque de la foi qui les anime depuis des siècles
« 

twitter.com/CarloMVigano/status/1706922820981207458

Le « pape » qui oublie de défendre les catholiques

Un peu d’histoire

La Révolution : de la paroisse à la commune

Sous l’Ancien Régime la paroisse constitue le premier cadre de vie de la population, à la fois cellule de base de l’administration ecclésiastique et de la communauté d’habitants.

L’administration temporelle ou matérielle de la paroisse est à la charge du conseil de fabrique, chargé de la gestion des biens de l’église paroissiale. Les membres élus de cette fabrique sont les marguilliers. Un syndic représente la communauté d’habitants au sein de ses assemblées. Le curé est le chef spirituel. Il assure un rôle d’intermédiaire avec les autorités civiles et religieuses.

L’érection d’Aubervilliers en paroisse est ancienne et daterait, selon l’abbé Lebeuf, historien du diocèse de Paris, de l’an 1300. La simple chapelle de campagne est alors élevée en église curiale sous l’invocation de Saint-Christophe et remise à la discrétion du curé primitif, le prieur de Deuil .

De 1336 jusqu’en 1607, des nombreuses guérisons qui se produisirent dans cette chapelle lui firent donner le nom de Notre Dame des Vertus, c’est à dire au sens étymologique du terme, Notre Dame des Miracles. L’église devient le siège d’un pèlerinage important dont fait l’objet une statue miraculeuse de la Vierge.

Le 1er septembre 1622, sous l’influence du concile de Trente, une bulle pontificale approuve l’union de la cure d’Aubervilliers avec la congrégation de l’Oratoire, installée à Aubervilliers en 1618 sous l’impulsion de l’abbé Jacques Gallemant, curé d’Aubervilliers et ami du cardinal Pierre de Bérulle, fondateur de l’ordre en France.

A partir de février 1623 les prêtres de la congrégation assurent la tenue des registres paroissiaux en remplacement de l’ancien curé, Guillaume Farges. Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, les Oratoriens desserviront la paroisse Notre-Dame-Des-Vertus. C’est à eux que nous devons l’agrandissement de l’église et la réalisation de la façade actuelle (1628).

Registres paroissiaux d’Aubervilliers

De cette première administration paroissiale, nous conservons aujourd’hui aux Archives municipales les 16 volumes reliés comprenant les registres paroissiaux (des actes de catholicité) des années 1552 à 1790 (1E1-13, 15 et 17) et la première partie d’un volume relié comprenant les registres paroissiaux (et achevés par les premiers actes d’état civil) pour les années 1791-1792 (1E18 1ere partie).

L’enregistrement des baptêmes mais également des sépultures (pour les détenteurs de bénéfices ecclésiastiques) sont rendus obligatoires par l’ordonnance royale de Villers-Cotterêts d’août 1539. Ce texte important pris par le roi François 1er impose notamment l’usage du français dans les actes officiels et de justice.

L’enregistrement des baptêmes à Notre-Dame des Vertus commence en mai 1552, soit treize ans après l’ordonnance de Villers-Cotterêts. Il est suivi par l’enregistrement des mariages en novembre 1581 et plus tardivement par celui des sépultures à partir de septembre 1615 (les actes de mariages et sépultures étant obligatoires depuis l’ordonnance de Blois de mai 1579). Les registres d’Aubervilliers comprennent par ailleurs des testaments (de septembre 1560 à octobre 1574) ou encore des publications de mariages (entre septembre 1628 et février 1653).

Registre de délibération et cahier de doléance des habitants de la paroisse d’Aubervilliers.
Deux ans avant la Révolution, le 1er janvier 1787, est ouvert le premier « registre contenant les délibérations des habitants de la paroisse d’Aubervilliers ». A partir de cette date, les événements intéressant la vie de la paroisse puis de la commune sont consignés et conservés dans ces registres de délibérations de manière continue jusqu’à nos jours.

La création des assemblées provinciales, en 1787, et du régime administratif qui s’y rattachait, ont marqué la première étape de la Révolution. L’ordonnance royale du 8 juillet divise les généralités en département (Saint-Germain pour notre localité), en arrondissements (Saint-Denis en sera le chef-lieu) et en municipalités. La communauté des habitants de la paroisse devenant une municipalité, c’est en effet de cette année-là que date pour Aubervilliers la série de ses registres de délibérations.

Le 12 août, une assemblée municipale est créée sous l’autorité de l’intendant, des curés, des représentants des seigneurs et les membres élus payants au moins trente marcs d’impôt gèrent les affaires de la commune. L’assemblée doit répondre aux directives royales : tenir un registre des délibérations et répondre à un questionnaire qui nous apprend notamment que « la communauté d’Aubervilliers contient 388 feux sur lesquels il y a environ 150 journaliers dont 60 environ sont à la charité de la paroisse ».

Au commencement de l’année 1789, toutes les municipalités du royaume furent invitées à rédiger leur « cahier de doléances », destiné à être soumis aux États généraux. L’assemblée générale des habitants d’Aubervilliers est convoquée le 14 avril 1789 pour approuver le « cahier de doléances, plaintes et remontrances » rédigé par l’abbé Mesme Monard, curé et supérieur de l’Oratoire d’Aubervilliers.

Naissance de la commune durant la période révolutionnaire

Le premier registre de délibérations des habitants de la paroisse d’Aubervilliers ne fait pas mention du grand événement du 14 juillet 1789.

En revanche, la délibération du 25 juillet suivant relève la terreur à laquelle étaient en proie les habitants : « L’an 1789, le lundi 25 juillet, sept heures du soir, en l’assemblée convoquée par la communauté des habitants, a été dit qu’une troupe considérable de brigands ruinaient les plaines et pillaient les villages voisins ; en conséquence il a été arrêté que les habitants veilleraient cette nuit à la conservation de leurs personnes et de leurs possessions ». Durant l’été 1789, les campagnes bruissent de rumeurs confuses appelées « Grande Peur » et les délibérations d’Aubervilliers s’en font l’écho. Les questions de sécurité ne cesseront de préoccuper l’administration municipale jusqu’à la fin de l’année 1789.

Avec la nouvelle assemblée nationale constituante proclamée le 9 juillet 1789, une vaste œuvre de réforme est entreprise. La loi du 14 décembre 1789 crée 44 000 « municipalités » sur le territoire des anciennes « paroisses », baptisées par la suite « communes » en « chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne ».

Cette loi dote l’administration municipale d’une double fonction de gestion locale de toutes les activités spécifiques de la commune et d’administration générale d’Etat (application des lois et perception des fonds). Elle place sous un régime juridique uniforme l’élection des autorités des communes et institue un maire élu par les citoyens en tant qu’organe exécutif de la commune.

A Aubervilliers, c’est le 24 janvier 1790 que fut constituée la première municipalité régulière. Trente-huit citoyens réunis à l’issue de la messe paroissiale élisent alors le premier maire de la commune, Nicolas Lemoine, ainsi que les membres du premier Conseil municipal.

Création de l’état civil laïc et moderne

Cette nouvelle administration territoriale sonne le glas de la paroisse comme cadre de vie administratif et religieux de la communauté des habitants.

Le 2 novembre 1789, les biens du Clergé sont mis à la disposition de la Nation et, le 25 avril 1790, l’abbé Mesme Monard, curé et dernier supérieur de l’Oratoire d’Aubervilliers, lut sa déclaration des biens, revenus, charges et mobilier de la maison de l’Oratoire des Vertus. Le 21 mai, le marguillier Antoine Poisson remit le registre et la clef des Archives de la fabrique.

Le curé doit également assurer, le 16 janvier 1791, sa prestation de serment civique conformément aux dispositions de la Constitution civile du clergé, adoptée par l’Assemblée nationale constituante le 12 juillet 1790, qui exigent des prêtres le serment de fidélité à la Constitution du royaume.

Le 25 octobre 1792, en application de la loi des 20 et 25 septembre donnant naissance à l’état civil laïc et moderne, les registres paroissiaux sont clos en présence de l’abbé Monard, de Jean Oyon « faisant les fonctions de maire » et de Jean Houdet, agent municipal élu « pour dresser les actes destinés à constater les naissances, mariages et décès ».

D’une manière générale, les actes d’état civil de la fin de l’année 1792 sont portés par les officiers d’état civil sur le registre en cours à la suite des actes rédigés par les curés. Pour Aubervilliers, le registre est poursuivi civilement jusqu’à la fin de l’année (du 27 septembre au 27 décembre) et achevé par la table des actes paroissiaux et civils relevés au cours de l’année 1792.

La fin de l’Oratoire à Aubervilliers

Le 1er octobre 1792, les Oratoriens reçurent l’ordre d’évacuer leur maison. Le 18 avril 1793, l’argenterie inventoriée fut adressée au district de Saint-Denis. Mise aux enchères le 24 juillet 1793, la maison de l’Oratoire fut adjugée le 20 août suivant pour la somme de 60 000 livres.

Le 17 janvier 1794, le conventionnel Crassous de Medeuil désaffecte l’église et la convertit en temple de la Raison.

Le 25 janvier, le curé Mesme Monard et son vicaire Valentin abdiquèrent toutes leurs activités religieuses. Un mois plus tard, ils étaient incarcérés dans la prison de Franciade (nom donné à Saint-Denis de 1793 à 1800) puis relâchés le 20 avril. Le 22, ils remirent leurs lettres de prêtrise et se marièrent deux jours plus tard .

Ce n’est que le 30 mai 1795 que les églises furent rendues au culte. Le vicaire Thomas Juste Paullard, vicaire épiscopal de l’Oise, fut autorisé à exercer le culte catholique le 14 juin 1795.



Bibliographie :
- Des registres paroissiaux à l’Etat-civil (1552-1896), Série E. Archives municipales d’Aubervilliers, 1997.
 Aubervilliers 1789-1799. Archives municipales d’Aubervilliers, 1989.
 Aubervilliers à travers les siècles par Jacques Dessain, 4ème volume « Un siècle de bouleversements (1715-1815 », 1ère partie « De la royauté à la république (1715-1794), 1998.

Un peu d’histoire

La grande loge du « pape » François

En tant que grand leader d’une religion humaniste interreligieuse, le « pape » crée « l’université du sens ». C’est le prolongement de Scholas « Mouvement éducatif international » créé par le « Pape » en 2013. C’est ici.

Le « 15 août, le « Pape » François a institué l’Université publique du sens, pour répondre à la crise mondiale du sens. Autonome, cette «institution éducative universitaire civile basée dans l’État de la Cité du Vatican» sera gérée par le mouvement éducatif international Scholas Occurrentes.
L’Université du sens veut non seulement répondre à la crise mondiale du sens mais aussi représenter un lieu d’accueil où l’éducation peut être réimaginée, en mettant au centre la personne dans son unicité et la communauté comme expression de la pluralité. …
Cette université se veut être un lieu accueillant et créatif, pour tous. Une toute petite graine qui peut devenir un très grand arbre, dont les racines se trouvent dans les enseignements du « Pape » François et l’expérience de Scholas; une université interculturelle, interreligieuse et intergénérationnelle. …
depuis 2022, Scholas réalise des expériences de création de sens avec des enseignants et des étudiants d’Amérique latine et d’Europe… »

Cette université s’inscrit dans un projet mondialiste onusien que François décrit ainsi :

« Notre utopie avec les chaires Scholas est de créer une culture de la rencontre, d’unir les gens, de valoriser leur diversité, de rechercher non pas l’uniformité mais l’harmonie, ce dont a besoin ce monde fragmenté, un monde qui a peur de la différence et qui, à partir de cette peur, érige des murs ou conduit les gens à vivre en ennemis ». (Source : VIIe Congrés Internationaes Scholas 2022)

Sur le site Scholas Occurrentes, on peut lire (traduit de l’anglais) :
« Aux Scholas, nous rêvons d’une éducation qui rétablisse le contact avec la vie pour créer un monde nouveau. »

Dans la logique Teilhardienne et interreligieuse inaugurée au concile.

Langage de vérité

Après Benoît XVI qui avait déjà salué le génie de ce théologien pourtant condamné à deux reprises pour certains de ses écrits sur le «péché originel» par le Saint-Office, François avait déjà cité Teilhard de Chardin dans son encyclique «Laudato Si» consacrée à l’écologie intégrale en 2015. Deux ans plus tard, le Conseil pontifical pour la culture, le ministère de la culture du Vatican, avait voté une proposition, transmise à François, de modifier l’avertissement, un « monitum » du Saint-Office, émis en 1955, année de sa mort, et 1962, contre Pierre Teilhard de Chardin à qui l’ordre des jésuites avait préalablement demandé de suspendre ses enseignements théologiques pour ne se consacrer qu’à ses recherches scientifiques.

Avant de célébrer la messe à Oulan-Bator, le « pape », attendu lundi soir à Rome, avait participé à une rencontre interreligieuse en présence de douze représentants d’autres religions ou confessions chrétiennes. Dont le représentant bouddhiste, d’obédience tibétaine, Kamba Nomun Khan, abbé du monastère bouddhiste de Gandan. Ce dernier n’a pas caché, dans son discours, les « persécutions » dont les bouddhistes ont été l’objet dans ce pays quand il était sous le joug communiste russe et où les moines furent massacrés par milliers. Les bouddhistes représentent aujourd’hui 52 % de la population de ce pays de 3,4 millions d’habitants.

Le leader bouddhiste a aussi mentionné l’importance de la découverte, par le Dalaï-Lama, en 2016, en Mongolie de la «10° réincarnation du Bogd» considéré comme le troisième personnage le plus important dans la spiritualité bouddhiste, après le Dalaï-Lama et le Panchen-Lama. Ce jeune garçon mongol qui vit à présent aux côtés du Dalaï-Lama et pourrait jouer un rôle décisif dans sa succession contre l’avis de la Chine qui a toutefois un autre candidat après fait avoir disparaître un autre jeune garçon qui avait été pressenti par l’actuel Dalaï-Lama, âgé de 88 ans, pour lui succéder.

La grande loge du « pape » François

Quand les assassins revendiquent le droit d’assassiner

L’avortement

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Le nombre d’avortements en France a atteint en 2022 son plus haut niveau depuis 1990. Il y en a eu 234.000. Soit un taux de 16,2 avortements pour mille femmes de 15 à 49 ans.

La direction des statistiques constate que l’allongement du délai légal ne suffit pas à expliquer la hausse, parce qu’elle n’y entre que pour un cinquième.

C’est tout simplement que l’assassinat des bébés qui ne naîtront pas est un droit fondamental, et qu’un droit fondamental a vocation à être de mieux en mieux exercé.

A ce propos, je découvre que l’étonnant Tucker Carlson, qui s’est fait virer de Fox News parce qu’il était trop politiquement incorrect à propos de la guerre en Ukraine, et qui est le seul chroniqueur connu à dénoncer (inlassablement) la persécution de l’Église orthodoxe ukrainienne, est aussi un militant résolu contre l’avortement, qui est, dit-il, le retour des sacrifices humains (car désormais on nous dit qu’il faut tuer les bébé pour être heureux), et c’est pourquoi « ce n’est pas un débat politique, c’est une bataille spirituelle ». Dans la vidéo ci-dessous (on peut avoir les sous-titres générés automatiquement en cliquant sur le premier rectangle puis sur la roue à sa droite, en bas à droite), il embraye ensuite sur l’aspect « religieux » de la dictature covidienne et explique qu’il a quitté l’Église épiscopalienne parce que ses ministres avaient fermé les églises par peur de la maladie. Tucker Carlson a été aussi un combattant contre cette dictature, et il est sur tous les fronts. Fin août il était à Budapest pour défendre le régime hongrois, et son interview de Viktor Orban sur X a été vue plus de 129 millions de fois (et celle de Donald Trump le 24 août 266 millions de fois, beaucoup plus que s’il était resté sur Fox News…)

Source Daoudal

Quand les assassins revendiquent le droit d’assassiner

Vous avez aimé l’église œcuménique vous adorerez l’église synodale

Du danger de légitimer l’Église synodale de François

« Mais que votre langage soit : Cela est, cela n’est pas. Ce qui se dit de plus vient du Malin. » (Mt 5,37)

Il y a bientôt deux ans, François a ouvert son synode sur la synodalité en déclarant au monde qu’il avait l’intention de « créer une Église différente » :

« Le Saint-Esprit est Celui qui nous guide là où Dieu veut, et non pas là où nos idées et nos goûts personnels nous conduiraient. Le Père Congar, de sainte mémoire, rappelait : « Il ne faut pas construire une autre Église, il faut construire une Église différente » (Vraie et fausse réforme dans l’Église, Milan, 1994, 1939). Et c’est là le défi. Pour une “Église différente”, ouverte à la nouveauté que Dieu veut lui suggérer, invoquons l’Esprit plus souvent et avec plus de force et écoutons-Le humblement, en marchant ensemble, comme Il le désire, Lui le créateur de la communion et de la mission c’est-à-dire avec docilité et courage. » (Discours du 9 octobre 2021)


Comme nous l’avons vu dans un article précédent, François et les responsables du Synode ont maintenant construit leur propre Église, qu’ils appellent l’Église synodale. La distinction entre l’Église catholique et l’Église synodale n’est pas simplement une question de sémantique ou de perspective : les deux Églises sont fondamentalement différentes à presque tous les égards importants.

Le document préparatoire du Synode de 2021 a clairement énoncé cet objectif de création d’une nouvelle Église :

« 15. Le sens du cheminement auquel nous sommes tous appelés est avant tout celui de redécouvrir le visage et la forme d’une Église synodale où « chacun a quelque chose à apprendre. Le Peuple fidèle, le Collège épiscopal, l’Évêque de Rome, chacun à l’écoute des autres ; et tous à l’écoute de l’Esprit Saint, l’“ Esprit de Vérité ” (Jn 14,17), pour savoir ce qu’il “ dit aux Églises ” (Ap 2,7) ».

Les participants au Synode ont dû passer par un processus de « découverte du visage et de la forme d’une Église synodale« . Depuis le début du Synode sur la synodalité, ils nous ont dit que le but du Synode était de former une nouvelle Église, l’Église synodale. Il semble donc que nous ayons peu d’excuses pour imaginer que l’Église synodale est l’Église catholique.

Face à cette réalité stupéfiante, de nombreux pasteurs semblent croire que le meilleur résultat potentiel pour le Synode sur la synodalité impliquerait la minimisation de certaines nouveautés à l’étude, telles que l’ordination sacerdotale des femmes. Aussi louable que ce réflexe puisse paraître, il convient de considérer quelques unes des façons dont il encourage ceux qui cherchent à infliger autant de dommages que possible à l’Église catholique par le biais du Synode sur la synodalité.

La coopération signifie l’acceptation de l’Église synodale. S’il est vrai que l’Église synodale et l’Église catholique sont fondamentalement opposées l’une à l’autre, les dirigeants et les partisans du Synode veulent que le plus grand nombre possible de catholiques croient qu’il s’agit d’une seule et même entité. Du point de vue de Satan, cela constitue la plus grande insulte possible à Dieu et conduit le plus grand nombre d’âmes en enfer. Du point de vue des mondialistes, cela conduit le plus grand nombre de personnes à croire que l’Église a muté en un protestantisme uni à l’évêque de Rome.

Le Synode sur la synodalité est à la fois la fête de sortie de l’Église synodale et un procès-spectacle pour l’Église catholique. Aux yeux du monde, chaque triomphe de l’Église synodale représente un reproche de l’Église catholique. En conséquence, les fidèles catholiques qui participent au Synode – que ce soit directement lors de ses réunions ou par leurs interventions informelles – doivent reconnaître que toute approbation de l’Église synodale équivaut à une condamnation de l’Église catholique.

La négociation implique le consentement au processus. Toute acceptation de l’Église synodale impliquerait généralement une suggestion selon laquelle les aberrations du Synode conviennent à l’Église catholique. Ainsi, si nous avons besoin de raisons supplémentaires pour rejeter entièrement le Synode, nous pouvons considérer les implications de la négociation visant à obtenir les résultats les moins outrageants possibles. Pour les besoins de l’argumentation, nous pouvons imaginer que les participants conservateurs au synode ont été en mesure d’éliminer les nouveautés menaçantes du Synode, qui font la une des journaux, telles que l’ordination des femmes et une plus grande adhésion à l’idéologie LGBTQ+. À première vue, de nombreuses personnes considéreraient un tel résultat comme une incroyable victoire.

Cependant, une telle « victoire » laisserait intacte l’apparente légitimité du processus synodal d’ »écoute » des idées non catholiques pour déterminer comment doit évoluer l’Église catholique. Dès lors, pourquoi un chrétien raisonnable ferait-il confiance aux prétentions de l’Église catholique de sauvegarder les vérités qui lui ont été confiées par Notre Seigneur ? De ce point de vue, nous pouvons voir que les ennemis de l’Église catholique peuvent infliger d’énormes dégâts avec leur Synode, même si les participants « conservateurs » devaient surmonter toutes les propositions substantielles de changement.

Le silence contribue à ridiculiser l’Église catholique. L’ensemble du processus synodal est une parodie délibérée de l’Église catholique. Avant même que François n’annonce son Synode, l’étude de la Commission théologique internationale sur la synodalité dans la vie et la mission de l’Église décrivait la manière dont l’Église synodale constitue une inversion de l’ordre :

« 57. En reprenant la perspective ecclésiologique de Vatican II, le pape François esquisse l’image d’une Église synodale comme une « pyramide renversée » qui comprend le peuple de Dieu, le collège épiscopal, et dans celui-ci, le Successeur de Pierre avec son ministère spécifique au service de l’unité. En elle, le sommet est situé sous la base. »

Nous savons maintenant que François et son Synode ont défini le Peuple de Dieu comme incluant tous les baptisés, de sorte que le sommet de la pyramide est composé d’une majorité de personnes qui rejettent ouvertement les vérités de l’Église catholique.

De plus, comme nous pouvons le lire dans l’Instrumentum Laboris pour la session d’octobre 2023 du Synode, ceux qui ont rédigé les documents les plus importants du Synode détestent l’Église et insistent pour qu’elle se réforme dans le repentir de ses péchés passés :

« 4. (…) Dans de nombreuses régions, les Églises sont profondément affectées par la crise des abus : abus sexuels, abus de pouvoir et de conscience, abus économiques et institutionnels. Il s’agit de plaies ouvertes, dont les conséquences persistent encore. En plus de demander pardon aux victimes des souffrances qu’elle a engendrées, l’Église doit continuer d’avancer sur un chemin de conversion et de réforme afin d’éviter que des situations similaires ne se reproduisent à l’avenir. »

Qu’ils le veuillent ou non, ceux qui pensent qu’ils peuvent suivre le Synode – et simplement plaider pour les résultats les moins terribles – contribuent à cette parodie de l’Église.

Pour éviter ces maux énormes, ceux qui cherchent à participer au Synode n’ont qu’à suivre l’exemple des innombrables saints catholiques qui ont combattu, ou même sont morts, pour la foi catholique inaltérée. En proclamant, par exemple, les vérités suivantes, ils pourraient édifier les âmes qui ont tant souffert de ceux qui coopèrent avec les ennemis de l’Église :

● Indépendamment de ses résultats éventuels, l’ensemble du processus synodal a été une abomination qui offense Dieu et conduit les âmes en enfer.

● La foi catholique immuable a été donnée à l’Église par Dieu et ne peut évoluer par un processus d' »écoute ».
● De plus, l’insistance du Synode à regrouper tous les baptisés – en tant que « Peuple de Dieu » – est un grave scandale pour ceux qui savent qu’ils doivent adhérer à l’enseignement non falsifié de l’Église catholique pour sauver leur âme.


En outre, le moment semble venu pour les pasteurs fidèles d’appeler leurs ouailles à la prière et à la pénitence en réparation des graves offenses du Synode faites à Dieu. Il est vrai, bien sûr, que les laïcs pourraient simplement rappeler qu’une telle réparation suivrait l’exemple de tous les saints et l’enseignement constant de l’Église, mais nous voulons (et de nombreux catholiques ont peut-être besoin) que nos fidèles pasteurs prennent les devants.

Nous savons que Dieu a permis cette crise douloureuse pour une raison et qu’Il en tirera du bien. Le Synode est un instrument de torture et d’humiliation dans cette Passion du Corps mystique du Christ. Nous devons peut-être l’endurer pour le moment, mais le Ciel nous interdit d’aider les ennemis de Notre Seigneur à l’utiliser contre Lui et son Corps mystique. Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous ! Robert Morrison 25 septembre 2023 The Remnant

Vous avez aimé l’église œcuménique vous adorerez l’église synodale

A qui appartiennent les terres ukrainiennes ?

Les terres d’Ukraine

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Ce tableau montre qui sont les plus grands propriétaires de terres agricoles ukrainiennes. Les chiffres, de 2023, sont donnés en milliers d’hectares.

Le premier est « Kernel », domicilié au Luxembourg. C’est la société créée et dirigée par l’oligarque Andrey Verevskiy (député de 2002 à 2023, victime de la loi interdisant aux hommes d’affaires d’être députés, à savoir de faire de l’ombre à la clique du président).

Le deuxième est UkrLandFarming, basé à Chypre. C’est la société fondée et dirigée par l’oligarque Oleg Bakhmatyouk, le grand producteur ukrainien d’œufs.

Le troisième est MHP, sigle qui en ukrainien désigne la « boulangerie industrielle de Mironivka ». Il est basé à Chypre. MHP a gardé son nom et son logo (un moulin à vent), mais s’est spécialisé dans la volaille. Son PDG est l’oligarque Iouri Kosiouk, c’est lui qui inonde l’Europe de ses poulets à bas prix.

Le quatrième est TNA Corporate Solutions, basé dans le Wyoming. Le PDG est l’Américain Nick Piazza. Il est lié à Bakhmatyouk et ses terres ukrainiennes viennent en majorité du « transfert » sur son compte de quatre sociétés de UkrLandFarming, dans le cadre de la restructuration de la dette de l’entreprise de Bakhmatyouk aux dépends de son créancier américain…

Le cinquième est NCH Capital, la société de George Rohr, homme d’affaires américain qui a été l’un des premiers à profiter de l’opportunité de l’achat de terres à la chute de l’URSS. George Rohr est connu pour avoir créé des organisations de culture juive et un prix littéraire juif.

Le sixième est Astarta, basé aux Pays-Bas. C’est la société de l’oligarque Viktor Ivanchyk, spécialisée en Ukraine dans le sucre de betterave.

Le septième est la « Compagnie laitière industrielle », IMC, basée au Luxembourg, en fait spécialisée dans les céréales et le tournesol. C’est la société d’Alexis Lissitsa, qui est aussi le fondateur et président du Club ukrainien de l’agro-industrie, le président du Centre ukrainien pour la politique européenne, le président du Conseil pour l’éducation agraire au ministère ukrainien de l’Éducation, etc.

Le huitième est le Fonds d’investissement public d’Arabie saoudite.

Le neuvième est Agroton, groupe de sociétés basé à Chypre, fondé au départ par un médecin de Lougansk qui voulait élever des abeilles, Iouri Jouravlev, qui en est toujours le patron.

Le dixième est Niboulon, le seul parmi les dix premiers qui soit basé en Ukraine. C’est la première société ukrainienne de logistique céréalière (puis aussi de bateaux de passagers, puis de construction navale), fondée par Oleksi Vadatourski. En 2014 il avait créé une milice de 2.000 hommes avec des blindés pour défendre Nikolaïev. Il est mort lors du bombardement de diverses installations de Nikolaïev le 31 juillet 2022, et a été remplacé par son fils.

Source Daoudal

A qui appartiennent les terres ukrainiennes ?

C’était pour votre santé

Des embaumeurs révèlent l’horreur des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

THE EPOCH TIMES revient dans son édition des États-Unis mise à jour le 3 septembre 2022, sur les découvertes de plusieurs embaumeurs : des « caillots caoutchouteux et fibreux » dans les cadavres qu’ils ont eus à traiter, dont les plus longs « sont aussi longs qu’une jambe humaine » et la plus épaisse « plus épaisse qu’un petit doigt ».

Jusqu’à présent, c’était surtout l’embaumeur Richard Hirschman qui avait joué le rôle de lanceur d’alerte (voir infra), et ce qu’il y a de nouveau selon THE EPOCH TIMES, c’est que de « nombreux embaumeurs de différents États » révèlent, qu’eux également ont vu « ces étranges caillots, à partir de 2020 ou 2021. »

Autre fait nouveau, des caillots « caoutchouteux et fibreux » découverts par Richard Hirschman ont été analysés et les résultats des analyses ont été comparés aux résultats des mêmes analyses effectuées sur du sang de personnes non « va xi nées » et en vie (analyses effectuées par Mike Adams, qui dirige un laboratoire accrédité ISO-17025 au Texas).

« Il manque des éléments clés présents dans le sang humain sain ».

Mike Adams a déclaré qu’il manque dans les caillots analysés des « éléments clés présents dans le sang humain sain, tels que le fer, le potassium et le magnésium », ce qui pourrait suggérer selon Mike Adam que « ces caillots sont formés à partir d’autre chose que du sang ».

Quant à Richard Hirschman qui a embaumé des milliers de corps en 20 ans, il a répété ce qu’il a déjà dit à de nombreuses reprises : « Le sang que j’ai vu dans les corps que j’ai embaumés ces deux dernières années a changé. […] Avant 2020, 2021, nous trouvions des caillots sanguins dans 5 à 10 % des corps que nous embaumerions, maintenant nous en trouvons dans 50 à 80 % des corps ; en fait embaumer un corps sans aucun caillot, maintenant c’est rare (…) C’est une exception d’embaumer un corps sans caillot ».

Mike Adam précise que les principaux marqueurs élémentaires du sang humain, tels que le fer, le magnésium, le potassium et le zinc manquent dans le caillot : « Ce sont des marqueurs clairs pour le sang humain. Le sang humain vivant aura toujours une teneur élevée en fer, sinon la personne serait morte. Ces caillots ne contiennent presque pas de fer, ni de magnésium, etc. »

« Il n’y avait pas de flux sanguin dans ces vaisseaux. »

THE EPOCH TIMES rapporte les propos du cardiologue Wade Hamilton qui a étudié les caillots sanguins : « Le fait que le magnésium, le potassium et le fer soient très faibles dans les échantillons pourrait suggérer qu’il ne s’agit pas des caillots post-mortem habituels, qu’en fait il n’y avait pas de flux sanguin dans ces vaisseaux. »

Il déclare encore : « Ces zones [du corps] où les structures en forme de cordes sont visibles dans les vaisseaux sanguins n’ont pas reçu de circulation [sanguine]. »

La protéine Spike impliquée ?

Autre déclaration du cardiologue Wade Hamilton « Ce ne sont pas des caillots post-mortem normaux, mais plutôt de longues cordes minuscules qui peuvent avoir été la cause des décès en empêchant la circulation [sanguine] là où elles sont apparues. » Il précise également que des analyses ont montré que la protéine Spike peut se déplier et contribuer à la formation de « structures liées en forme de cordes serrées avec une torsion longitudinale ainsi qu’une liaison croisée ».

« Des anomalies chez les femmes enceintes et les fœtus : Cela ne ressemble à rien de ce que nous avons déjà vu en médecine ».

Cette fois, c’est un expert en médecine materno-fœtale qui s’exprime, le docteur James Thorp qui a observé des anomalies chez les femmes enceintes et les fœtus : « Les très gros caillots sanguins qui sont retirés avant et après la mort ne ressemblent à rien de ce que nous avons déjà vu en médecine […] Le vaccin COVID-19 détourne l’énergie des processus physiologiques du corps vers la production de la protéine Spike qui est toxique. Cela détourne l’énergie du processus normal de digestion interne également connu sous le nom d’autophagie. Cela entraîne un mauvais repliement des protéines et la propagation de gros caillots sanguins intravasculaires ainsi que diverses maladies connexes, notamment la maladie à prions, la maladie de Creutzfeldt-Jakob, l’amylose et les démences, notamment la maladie d’Alzheimer et autres. Bien qu’il soit possible que la maladie COVID-19 en elle-même puisse potentiellement contribuer à ces maladies, cela paraît peu probable et si tel est le cas, l’effet du vaccin serait 100 à 1 000 fois supérieur à celui de la maladie COVID-19. »

Richard Hirschman révèle qu’il a trouvé ces matériaux caoutchouteux dans les gros vaisseaux des cadavres de personnes « va xi nées ».
« En vingt ans d’embaumement, je n’avais jamais vu ces structures fibreuses blanches dans le sang, ni d’autres dans mon domaine » a-t-il précisé.
En parlant des morts qu’il embaume, il a encore déclaré à THE EPOCH TIMES :
« Ils ne sont même pas morts du COVID. Ils meurent de crises cardiaques soudaines, d’accidents vasculaires cérébraux, de cancers. Peu importe de quoi ces gens meurent de nos jours, tant d’entre eux ont les mêmes anomalies dans le sang. »
« Le sang est différent. Quelque chose fait changer le sang. Et mon but est d’essayer de dire : écoute, quelque chose ne va pas. Essayons de comprendre ce que c’est afin que nous puissions peut-être trouver un moyen d’aider à décomposer ce genre de choses et à sauver la vie des gens. Si ce n’est pas le vaccin, très bien ! Qu’est-ce que c’est ? Essayons de comprendre, car quelque chose en est la cause et cela ne peut pas être sain. »

Source : Perma.cc

C’était pour votre santé

Attention un révolutionnaire peut en cacher un autre

Le révolutionnaire gauchiste, coco, lgtb, woke….., est assez bien cerné; cependant il peut en cacher un autre plus subtil, le révolutionnaire de droite, auquel on pense moins souvent, mais qui est aussi néfaste, apparemment opposés ils sont, en fait, complices dans la destruction de la société catholique. Gallicans, jansénistes, néo-pélagiens, libéraux, les apparences peuvent souvent tromper, ils pourraient passer pour de vrais catholiques, mais la réalité est autre.

La maçonnerie

« Cette société infernale existe, elle travaille, elle conspire, elle écrit, elle pérore, elle légifère, elle gouverne, elle lutte, elle étend son empire, et elle porte en elle-même la clef de la majeure partie des événements modernes. Son œuvre est ce monde officiel établi partout, ou directement contre Dieu, ou honteusement, en faisant abstraction de Dieu ou hypocritement, en voulant que Dieu partage avec ses ennemis sa souveraine domination. »

Le Maçonnisme

« Le Maçonnisme est quelque chose de plus que la Maçonnerie c’est un mot, comme on dirait dans le langage de l’école, qui a une signification plus étendue c’est un concept plus général, plus large, d’une plus vaste compréhension. Le Maçonnisme, c’est la doctrine de la Maçonnerie, c’est son esprit, son influence c’est cette atmosphère qui s’étend dans tous les sens et parvient à infecter de son poison le monde entier et a faire de nombreuses victimes même parmi ceux qui ne sont pas Maçons. Le Maçonnisme est un ensemble de principes, de maximes, de théories, de procédés, d’applications, qui ont réussi à former un courant qui entraîne le monde moderne, après l’avoir fait sortir complètement, au moins dans sa partie officielle, de la voie antique que lui avaient tracée Dieu et l’Église Le Maçonnisme est cette chose qui fait qu’un chrétien ferme, et qui voudra persévérer dans sa fermeté, semble aujourd’hui un prodige, un phénomène, une singularité exotique qui contraste avec tout ce qui l’entoure. Le Maçonnisme enfin, c’est, à peu de chose près, ce que trouveront naturel et acceptable les hommes du monde à l’heure actuelle, et même, hélas! de nombreux catholiques obligés en conscience à raisonner selon d’autres principes. Et ils le jugent naturel et acceptable, parce qu’ils se sont formé, souvent sans y penser, un critère maçonnique a la place d’un critère catholique ils voient, apprécient, jugent, décident, agissent selon les principes maçonniques et ils font tout cela sans être Maçons, et persuadés peut-être qu’ils abhorrent très cordialement la Maçonnerie. C’est là le plus horrible caractère de l’époque actuelle 1’ignorance complète de leur véritable situation, dans laquelle vivent un grand nombre d’hommes catholiques à leur façon, en qui la Révolution trouve ses auxiliaires les plus actifs et les plus puissants. Tel est le triomphe véritablement satanique que se propose d’obtenir la Maçonnerie, et que disons-le franchement, elle a déjà obtenu en grande partie.« 

« Le Maçonnisme domine tout aujourd’hui. En face de lui, au milieu de ces ruines qu’il a amoncelées, il ne reste debout que le Catholicisme. »

« Le Maçonnisme s’efforce de se maintenir dans la sphère habitée par les conservateurs honnêtes et sages à leur manière: il veut que la société repose sur ses fondements il est partisan de l’ordre, de l’équité, du respect mutuel des classes et des intérêts, seulement, il veut tout cela sans Jésus-Christ, sans le christianisme, complètement en dehors de l’atmosphère chrétienne. »

Le naturalisme est un antichristianisme complet et parfait.

« Tout l’ordre chrétien est fondé sur le dogme de la chute originelle de l’homme et sur celui de sa réhabilitation par l’Incarnation du Fils unique de Dieu. L’homme naturel est donc L’homme de péché, qui n’a aucun moyen, ni pour être convenablement bon sur la terre, ni pour arriver à sa fin dernière au sortir de cette vie. Pour être convenablement bon et obtenir sa fin dernière, l’homme doit être, non l’homme naturel qui est tombé, mais l’homme surnaturalisé que Jésus-Christ a relevé et soutient par sa grâce.

Pour parler plus clairement, il ne suffit pas aujourd’hui à l’homme d’être l’homme de la création, il doit être en outre l’homme de la rédemption. L’existence de l’homme ne lui donne pas son entière perfection, il faut encore qu’il soit chrétien. C’est sur les principes de la vérité éternelle, pressentis un jour par la philosophie humaine elle-même, mais mis en lumière seulement par la révélation divine, qu’est fondé le catholicisme, et c’est de ces mêmes principes qu’il tire logiquement toutes ses conséquences. »

Don Sarda y Salvany Extraits Le mal social 1890

Attention un révolutionnaire peut en cacher un autre