La dictature des banquiers

De l’immoralité des taux d’intérêt négatifs

Je ne suis pas expert en économie, mais cet article écrit par Charles Gave (Institut des Libertés) m’a semblé de bon sens. Comme il est un peu long, je sauterai directement à la conclusion, conseillant à chacun de lire l’article in extenso directement sur le site.

« Abraham Lincoln avait coutume de dire que l’on ne pouvait enrichir les pauvres en appauvrissant les riches. Nous avons fait des progrès depuis ces temps reculés.  Nos banquiers centraux suivent depuis des années une politique visant à appauvrir les pauvres pour enrichir les riches (et j’ai appelé cela le capitalisme de connivence). Ils vont découvrir qu’appauvrir les pauvres pour enrichir les riches ne marche pas non plus, et que les pauvres ont une fâcheuse tendance à se révolter lorsque les laquais des riches les ont par trop pressurés. Nous y sommes en Grèce, au Portugal, en Finlande….En réalité les taux d’intérêts négatifs sont contraires à tous les principes juridiques et moraux qui sous tendent nos sociétés.

  • Ils attaquent le Droit de Propriété
  • Ils favorisent la croissance de l’État
  • Il s’agit d’impôts déguisés, qui n’ont été voté par personne et qui frappent les pauvres plus que les riches.
  • La BCE n’a AUCUN Droit à prélever des impôts. C’est pourtant ce qu’elle fait, ce qui est profondément illégitime et illégal.
  • Prélever un impôt sans vérification du Parlement, payer les frais de l’Etat par la création monétaire sont des atteintes pures et simples à la Démocratie et sont des pratiques contraires aux Traités Européens.
  • Ils vont amener à terme à un écroulement économique inéluctable, à la résurgence des dissensions Européennes et à la domination de l’Allemagne sur le reste de l’Europe, ce qui se terminera mal comme cela s’est passé chaque fois qu’un Etat Européen a été dominant.

Et tout cas pour préserver la vanité de quelques grands incompétents et jamais élus par quiconque tels Delors ou Trichet qui nous ont collé dans cette aventure démente qu’est l’Euro.

« Errare humanum est, perseverare Diabolicum » »

La dictature des banquiers

GLORIA IN EXCELSIS DEO ET PAX HOMINIBUS BONAE VOLUNTATIS.

Lors de l’Incarnation du Fils de Dieu, du Verbe les anges ont entonné ce cantique, c’est avec un peu d’avance sur la fête prochaine et dans un contexte plus que jamais chaotique qu’il est bon de bien comprendre ce message, toujours valable.

La primauté est évidemment à la gloire de Dieu, à sa Miséricorde, à Celui qui nous a donné son Fils pour nous sauver alors que nous étions encore ses ennemis, alors que nous étions dans les ténèbres de la mort éternelle.

La Voie, la Vérité et la Vie, c’est Incarnée pour notre salut, pour notre réconciliation, pour nous donner la connaissance véritable salutaire de Dieu, de l’Adorable Trinité.

La paix est donc promise aux hommes de bonne volonté, car ce qui fait l’homme bon c’est sa volonté, c’est par elle qu’il s’ordonne à la fin et, la fin, la cause finale est la cause des causes comme le dit l’École : Iª q. 5 a. 4 ad 3 Ad tertium dicendum quod quilibet habens voluntatem, dicitur bonus inquantum habet bonam voluntatem, quia per voluntatem utimur omnibus quae in nobis sunt. Unde non dicitur bonus homo, qui habet bonum intellectum, sed qui habet bonam voluntatem. Voluntas autem respicit finem ut obiectum proprium, et sic, quod dicitur, quia Deus est bonus, sumus, refertur ad causam finalem.

L’optimisme thomiste nous dit que le bien est ce que tous désirent bonum sit quod omnia appetunt, or malheureusement nous ne pouvons que constater que, si tous désirent le bien, tous ne savent pas ce qu’il est véritablement, et les erreurs dans ce domaine ont des conséquences dramatiques. Celui qui ne désire pas le Seul vrai Bien, n’est finalement pas dans l’ordre, n’est finalement pas de bonne volonté.

D’où il ressort que la bonne volonté est ordre à la fin, à la seule vraie fin qui peut être dite bonne et qui est le Seul vrai Dieu.

Celui qui refuse son adhésion de foi à la Vérité incarnée, Jésus-Christ, n’est pas de bonne volonté, sa volonté n’est pas droite et par conséquent il ne peut trouver la paix. Voilà pourquoi il est impossible de trouver la paix en dehors de la Vérité, de la Vérité révélée par Notre Seigneur Jésus-Christ Le Père lui-même ne juge personne, mais il a donné au Fils le jugement tout entier, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé. Jn 5, 22-23

Cette simple considération pour conclure, qu’il ne peut y a voir de paix sans l’adhésion au Seul vrai Bien, au Seul vrai Dieu. Et que les artisans de paix qui prêchent autre chose sont des menteurs.

GLORIA IN EXCELSIS DEO ET PAX HOMINIBUS BONAE VOLUNTATIS.

La guerre autrement

Manipulation, subversion, déstabilisation

Cet entretien, bien que datant de 1985, est d’une rare actualité. Yuri Bezmenov, ex-agent du KGB passé à l’Ouest dans les années 1970 y raconte par le menu les techniques de déstabilisation et de manipulation de l’opinion. Il révèle ainsi comment le bloc socialo-communiste :

  1. a sciemment mis en œuvre une politique globale de manipulation de l’opinion et des élites au niveau mondial.
  2. a conditionné les écoliers et étudiants occidentaux aux idéaux socialistes sur au moins trois générations. Cette tâche représentait selon lui 85% de l’activité du KGB.
  3. a systématiquement recruté tous les faiseurs d’opinion à l’ouest pour influencer et déstabiliser le monde non-communiste.
  4. a conditionné et “dé-moralisé” (perte des valeurs) des pans entiers de la société, devenus les “idiots utiles” du socialisme.
La guerre autrement

Le Qatar ne finance pas que le PSG

Le prédicateur Qaradawi avait prôné les attentats dans le monde entier

 Le cheikh qatari, prédicateur vedette de la chaîne Al Jazeera, a rebaptisé les attentats-suicides « opérations-martyrs ». Il justifie l’assassinat de femmes et d’enfants, sans que les organisations islamiques en Europe ne prennent leurs distances avec lui.

Le théologien Youssef Qaradawi s’est montré discret depuis les derniers attentats parisiens. Deux raisons à cela : il a fêté en septembre dernier ses 89 ans et le pouvoir à Doha lui conseille depuis quelques mois de mettre la pédale douce. Même si le Qatar appelle à la chute du président syrien Bachar al-Assad, l’émirat n’entend tout de même pas cautionner les délires de son prédicateur qui réclamait le « meurtre de tous les fonctionnaires syriens, de tous les soldats de l’armée régulière (…) et en général tous ceux qui soutiennent le pouvoir syrien ». Youssef Qaradawi ne fait pas dans la dentelle : selon lui, il faut tuer tous les Alaouites, ce groupe religieux musulman, au pouvoir à Damas, rattaché à l’islam chiite. Peu importe que sa religion interdise de s’en prendre aux femmes et aux enfants, ce frère musulman, né en Égypte et formé à Al-Azhar, la prestigieuse université du Caire, lui, il sait tout justifier.

Les nécessités absolues de la guerre

À commencer par le suicide, interdit en islam. Pour Youssef Qaradawi, il ne s’agit pas d’attentats-suicides, mais d’«opérations-martyrs », considérant que ces opérations « sont l’arme que Dieu a donnée aux pauvres pour combattre les forts. C’est une compensation divine ». Au départ, le théologien cautionnait les opérations-suicides du Hamas contre Israël. Non seulement, ceux qui les accomplissent « sont considérés comme des martyres », mais il n’y a pas de civils israéliens innocents. Car, en Israël, « tous, hommes et femmes, sont soldats. Ils sont dans leur totalité des troupes d’occupation » (*). Quant aux enfants ou aux personnes âgées tués dans les opérations, ils ne sont pas visés directement. Ce ne sont que des victimes collatérales, en raison des nécessités absolues de guerre. Et les nécessités absolues « lèvent les interdictions ».

Conseil européen de la fatwa

Cette autorisation de tuer ne s’adresse pas qu’aux Palestiniens, le prédicateur vedette de la chaîne qatarie Al-Jeezira l’étend à tous ceux qui luttent contre les pays en guerre contre les musulmans, comme les États-Unis et la France (et même la Serbie lorsqu’elle combattait les musulmans du Kosovo). Curieusement, les diatribes de Youssef Qaradawi ne paraissent guère préoccuper outre mesure la Fédération des organisations islamiques en Europe, et notamment l’Union des organisations islamiques de France (UOIF). Au contraire, elles le présentent comme un savant prestigieux, qui cherche à promouvoir un islam du « juste milieu ». Qaradawi a créé en 1997 à Londres le Conseil européen de la Fatwa et de la Recherche, qui prodigue sur le Vieux Continent des conseils pouvant faciliter la pratique des prescriptions de l’islam dans le cadre européen.

Le parrain de Tariq Ramadan

Ce Conseil, qui accueille une trentaine de “savants“, est ouvert à des oulémas ne résidant pas en Europe. Il a ainsi longtemps ouvert ses portes au Tunisien Rachid Ghannouchi. Est-ce le prestige dont jouit Youssef Qaradawi, grâce à son émission-fétiche « La charia ou la vie » sur Al-Jezira, qui incite les représentants des musulmans de France à se montrer particulièrement discrets dans leurs critiques? Alors que Tariq Ramadan se présente comme un réformateur de l’islam, capable de jeter les ponts d’un dialogue serein des civilisations entre l’Orient et l’Occident, il n’a pas hésité à demander à Qaradawi de parrainer son Centre de recherche sur la législation islamique et l’éthique (CILE), créé en 2012 au Qatar…

Les représentants des musulmans n’ont sans doute jamais entendu les propos tenus par le prédicateur le 30 janvier 2009 sur Al-Jazeera : « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé [aux juifs] des personnes qui les punissaient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler (…) C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des croyants ».

(*) Matthias Küntzel, « Jihad et haine des juifs », éditions du Toucan, page 173.

 

Le Qatar ne finance pas que le PSG

La naïveté tue

« Si vous étiez conscients de ce qui menace très prochainement la France, vous passeriez vos jours et vos nuits à genoux, à implorer ma miséricorde. »

Ancien responsable du Pôle judiciaire antiterroriste, le juge Marc Trévidic, vice-président du tribunal de grande instance de Lille, livre une analyse inquiétante de la situation actuelle de la France:

« La menace terroriste est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu’alors. D’abord, nous sommes devenus pour l’EI (EI) l’ennemi numéro un. La France est la cible principale d’une armée de terroristes aux moyens illimités. Ensuite, il est clair que nous sommes particulièrement vulnérables du fait de notre position géographique, de la facilité d’entrer sur notre territoire pour tous les djihadistes d’origine européenne, Français ou non, et du fait de la volonté clairement et sans cesse exprimée par les hommes de l’EI de nous frapper. Et puis, il faut le dire: devant l’ampleur de la menace et la diversité des formes qu’elle peut prendre, notre objectif de lutte antiterroriste est devenu perméable, faillible, et n’a plus l’efficacité qu’il avait auparavant.

Enfin, j’ai acquis la conviction que les hommes de Daech ont l’ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d’ampleur, incomparables à celles menées jusqu’ici. Je le dis en tant que technicien: les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l’EI entend porter sur notre sol n’a pas encore commencé. Nous avons en face de nous un groupe – terroriste plus puissant que jamais et plus déterminé. La France est, de fait, confrontée à une double menace. Celle du déferlement de ce que j’appelle les ‘scuds’ humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l’action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite (cellules dites dormantes), comme on a pu le voir ces derniers temps. Et celle, sans commune mesure, que je redoute: des actions d’envergure que prépare sans aucun doute l’EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables… Les hommes de Daech ont les moyens, l’argent et la faculté d’acquérir facilement autant d’armes qu’ils veulent et d’organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort… Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l’Hexagone… Les Américains sont plus difficiles à atteindre. La France, elle, est facile à toucher. Il y a la proximité géographique, il y a des relais partout en Europe, il y a la facilité opérationnelle de renvoyer de Syrie en France des volontaires aguerris, des Européens, membres de l’organisation, qui peuvent revenir légalement dans l’espace Schengen et s’y fondre avant de passer à l’action…« 

Le chrétien est un homme de paix et de conciliation mais il ne doit pas être un naïf. Si vous étudiez sérieusement l’histoire, vous constaterez que depuis 12 siècles, l’Islam ne s’est répandu dans le monde que par la violence, une violence ‘sacralisée’ au Nom de Dieu. Distinguons bien, cela ne veut pas dire que tous les croyants musulmans sont des violents, il y a parmi eux des hommes de paix et de prière. Mais il y a des versets du Coran que nous ne pouvons pas ignorer:

XLVII, 4 Lorsque vous rencontrez ceux qui ont refusé de croire (en Allah) frappez-les à la gorge.

IX, 5 Quand les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles (chrétiens) où que vous les trouviez !

VIII, 39: Combattez-les jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Allah!

VIII, 67 Un prophète, mène le combat (jihâd) contre les infidèles et les hypocrites, et sois dur à leur égard.

IX, 30 Les Chrétiens disent: ‘Le Christ est le fils d’Allah‘ – Qu’Allah les anéantisse!

Ce sont ces ‘ordres d’Allah’ que les partisans de l’EI proclament ouvertement aujourd’hui, il suffit de regarder certaines videos sur you-tube. Leurs armes traditionnellement préférées étant la flagellation, l’égorgement et la décapitation. Dans les révolutions, ce sont les extrémistes qui entrainent les modérés avec les mêmes arguments idéologiques. Les cheiks et imams qui s’expriment sur la TV Al Jazzera ne se cachent pas de leur volonté de conquérir le monde entier à l’Islam….. Source http://christroi.over-blog.com/

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La naïveté tue

La guerre « sainte »

http://gloria.tv/media/FbcPK3Dytu5déclarationislam

Rappelons que la secte Mahométane a pour dieu: Satan, Allah, chose qui se reconnait aisément par ses fruits : haine, meurtres, luxure, sans parler du « paradis » promis qui est commun aux porcs et aux lapins, qui est purement charnel.

 

LA VRAIE CAUSE DES TRIOMPHES DE L’ISLAMISME

 Ainsi, n’en doutons pas, l’islamisme n’est pas seulement une révolution d’Arabes qui s’ennuient sous la tente, et auxquels un chef habile a imprimé une surexcitation qui les pousse tout à coup à la conquête des villes les plus luxueuses de l’Orient. Non ; mais Dieu a laissé prévaloir pour un temps l’antique ennemi de l’homme, et lui a permis de choisir un organe duquel il séduira les peuples, en même temps qu’il les asservira par le glaive. De là, Mahomet, l’homme de Satan, et le Coran, son évangile. Or, quel est le crime qui a poussé ainsi à bout la justice de Dieu, et l’a portée à abandonner ces peuples à un esclavage dont nous ne prévoyons pas encore la fin ? L’hérésie est ce crime odieux, qui rend inutile la venue du Fils de Dieu en ce monde, qui proteste contre le Verbe de Dieu, qui foule aux pieds l’enseignement infaillible de l’Église. Il faut qu’il soit puni et que les nations chrétiennes apprennent qu’un peuple ne s’élève pas contre la parole révélée sans s’exposer à voir châtier, même dès ce monde, son audace et son ingratitude. Alors succombent et Alexandrie, second siège de Pierre, et Antioche, où il siégea d’abord, et Jérusalem, qui garde le tombeau glorieux. […]

Le flot s’arrête devant Constantinople et n’inonde pas encore les régions qui l’avoisinent. L’empire d’Orient, devenu bientôt l’Empire grec, est mis à même de profiter de la leçon. Si Byzance eût veillé à la foi, Omar n’eût ni visité ni Alexandrie, ni Antioche, ni Jérusalem. Un délai est accordé ; il sera de huit siècles ; mais lorsque Byzance aura comblé la mesure, le croissant vengeur reparaîtra. Ce ne sera plus le Sarrasin, il est usé ; mais le Turc, et Sainte-Sophie verra badigeonner ses images chrétiennes et peindre par dessus les sentences du Coran, parce qu’elle est devenue le sanctuaire du schisme et de l’hérésie. […]

Quant à son audace de pénétrer sur le sol français, il l’expiera durement dans les champs du Poitou. L’Islam s’est trompé ; là où l’hérésie ne règne pas, il n’y a pas de place pour lui. […]

Arrêtons-nous ici, après avoir salué la justice de Dieu sur l’hérésie et reconnu la vraie cause des triomphes de l’islamisme, et l’unique raison de la permission divine à laquelle il doit d’avoir existé, de n’avoir pas été une secte obscure et éphémère au fond de l’Arabie. (Dom Guéranger, Jésus-Christ Roi de l’Histoire, Collection sens de l’Histoire, Association saint Jérôme, 2005, p. 95-97)

Le châtiment de notre apostasie

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S’il y avait un référendum à faire ce n’était pas à ce sujet, le Règne de Dieu sur la société n’est pas facultatif, il suffit de voir où cela nous a conduit.

La guerre « sainte »

C’est la guerre

128 morts, 200 blessés, 8 terroristes tués

8 terroristes sont morts dans les attentats :

  • 3 se sont fait exploser aux alentours du Stade de France.
  • 3 se sont fait exploser à l’intérieur du Bataclan, et un quatrième à avoir été tué lors de l’assaut des forces de l’ordre.
  • Un autre s’est fait exploser boulevard Voltaire.

6 lieux ont été attaqués simultanément :

  • Bataclan : 82 morts<. Plusieurs hommes armés à visage découvert font irruption et ouvrent le feu, aux cris de « Allah Akbar », dans la salle de spectacle du Bataclan où se produit le goupe de blues américain Eagles of Death Metal. Une prise d’otages de près de trois heures.
  • Stade de France : 4 morts. Une première explosion se produit à 21H20 aux abords du Stade de France. Le président français François Hollande, qui assistait à un match de football France-Allemagne, est immédiatement évacué, les entrées et sorties du stade sont bouclées. Trois explosions retentissent au total autour de l’enceinte sportive. Une personne est morte, ainsi que trois terroristes.
  • Rue de Charonne : 18 morts. Un homme dit avoir entendu des tirs pendant « deux, trois minutes », « des rafales ».
  • Rue Alibert : au moins 12 morts. Un peu plus au nord, une fusillade éclate à l’angle des rues Bichat et Alibert, sur la terrasse du restaurant Le Petit Cambodge.
  • Rue de la Fontaine au roi : au moins cinq morts. A quelques centaines de mètres du Bataclan, rue de la Fontaine au roi, la terrasse d’une pizzeria, La Casa Nostra, est visée. Cinq personnes sont abattues par plusieurs rafales d’une « mitrailleuse automatique ».
  • Boulevard Voltaire : un mort. Une attaque a également eu lieu boulevard Voltaire, pas très loin du Bataclan. Le terroriste est mort.

Bachar Al-Assad, que des députés doivent rencontrer aujourd’hui, a déclaré :

« La France a connu hier ce que nous vivons en Syrie depuis 5 ans« .

La justification politique et religieuse

La justification politique et religieuse des attentats, qui a pu être entendue par les victimes d’hier – l’action de la France en Syrie ayant été désignée – fait écho aux attentats de Charlie Hebdo dans lesquels A. Coulibaly présentait son action comme une réponse aux opérations militaires françaises contre les groupes djihadistes en Afrique et au Moyen-Orient et contre les islamistes sur le territoire national. Pour les attentats contre Charlie Hebdo, les terroristes avaient pris soin de légitimer scrupuleusement et rationnellement leur action religieuse. Pour ces attentats toutefois, les victimes avaient été soigneusement choisies, à l’inverse de celles d’hier, dont l’élimination répond davantage à l’injonction de Boubakar al-Hakim qui écrivait dans Dar-al-islam n°3 de mars 2015, le journal de propagande de l’EI, « ne pas chercher de cibles spécifiques. Tuez n’importe qui. Tous les mécréants sont des cibles pour nous »[Dar-al-islam n°3, mars 2015, « Interview du frère Abou Mouqâtil al-Tounsi : djihad en Tunisie », p. 18-21.].

Les attentats du 13 novembre pourraient s’expliquer par le fait que l’État islamique soit de plus en plus réticent à accueillir des djihadistes européens en son sein. Ceux-ci sont encouragés à faire la guerre chez eux. En tout état de cause, l’objectif est le même : forcer les États occidentaux à déployer des forces de sécurité supplémentaire tout en désignant comme ennemi le terrorisme en lieu et place du projet de subversion politique qui le sous-tend. »

C’est la guerre, mais il y a trois fronts, celui des islamistes, celui des complices, celui des tireurs de ficelle.

Les islamistes sont financés par l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui achètent aussi nombre de politiques.

Les complices sont les politiques qui depuis plus de trente ans islamisent la France en douceur et qui n’ont jamais lus le Coran, ceux qui nous parle « d’islam modéré », « d’islam de France », « d’Islam compatible avec les « valeurs » de la République », ceux qui nous tasèrisent avec le « pas d’amalgame ».

Il y a aussi les complices religieux qui depuis Vatican II nous invitent à dialoguer, qui nous présentent un islam irréel des soi-disant enfants d’Abraham, ceux qui ont détruit la chrétienté de l’intérieur en refusant la Règne du Christ-Roi.

Et puis il y a ceux qui vont encore, comme toujours, tirer profit du chaos pour faire leurs affaires, pour pousser leurs pions.

Le prix de l’inconscience :

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C’est la guerre